Nos Gloires militaires , texte et dessins, par Dick de Lonlay,...
Accessiblité Une question ? Espace personnel Recherche avancée Aucun mot recherché, veuillez saisir un terme. Fermer Accueil Consultation Nos Gloires militaires , texte et dessins, par Dick de Lonlay,... 1888 Informations détaillées Notice complète Titre : Nos Gloires militaires , texte et dessins, par Dick de Lonlay,... Auteur : Lonlay, Dick de (1846-1893) Éditeur : A. Date d'édition : 1888 Type : monographie imprimée Langue : Français Format : Gr. in-8° Format : application/pdf Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k6349686d Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-LH1-55 Relation : Provenance : bnf.fr Date de mise en ligne : 06/11/2012 Zoom Feuilleter en plein écran Affichage Table des matières Aller à la page de la table des matières 643 Page (Vue 464 / 692) Télécharger / Imprimer Téléchargement Contribuer Signaler une anomalie Vous souhaitez signaler une anomalie sur le document suivant :
L'Histoire autrement
Service militaire en France
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il a connu plusieurs formes depuis la Révolution. Dans sa dernière forme, il est devenu théoriquement « universel et égalitaire », mais n'était en réalité obligatoire que pour les hommes. Historique[modifier | modifier le code] Sous l'Ancien Régime, le service militaire est réservé à des professionnels. 5 septembre 1798 : au Conseil des Cinq-Cents, le député Jean-Baptiste Jourdan fait voter la loi qui rend le service militaire obligatoire. Loi Jourdan[modifier | modifier le code] Conscription[modifier | modifier le code] En date du 19 fructidor an VI (5 septembre 1798), la loi Jourdan-Delbrel porte les noms du général Jourdan et du député Pierre Delbrel, instituant un service militaire obligatoire permanent. Article 1 - Tout Français est soldat et se doit à la défense de la patrie. Article 4 - Le Corps législatif fixe, par une loi particulière, le nombre des défenseurs conscrits qui doivent être mis en activité de service. Réfractaires Réformés
riaudmedecinecombat
La médecine napoléonienne au combat par Xavier Riaud (*) , FINS Après les combats, le sol est jonché de débris de cadavres et de blessés. Le champ de bataille est un spectacle si désolé, si terrible, en particulier lors de batailles particulièrement meurtrières comme Wagram (1809) par exemple que Napoléon en a des larmes aux yeux. Percy et Larrey interviennent auprès de l’Empereur pour lui faire sentir combien la situation est intolérable. En 1799, Percy met en place le Wurtz avec l’armée du Rhin. Pendant toutes les guerres napoléoniennes, les blessés sont négligés, abandonnés à leur propre sort. Des locaux insalubres, une absence totale d’hygiène et d’asepsie, des pansements sommaires sans suivi, des chirurgiens débordés par le nombre des blessés, un mépris total de l’homme et de l’Humanité en général, voilà dans quelles conditions évoluent les opérants et les opérés. D’ailleurs, des études archéologiques le démontrent. En 1806, 16 000 hommes sont blessés et malades.
Carte de Piri Reis . Théorie et Analyse. Dinosoria
Quand l’Antarctique n’était pas recouvert de glace Piri Reis de son vrai nom « Piri Ibn Haji Memmed, l’amiral Reis, est un Turc. Dans les notes qui accompagnent le document, il affirme que certaines des vingt cartes qui lui ont servi de sources datent d’Alexandre le Grand et que d’autres sont fondées sur les mathématiques. Cette carte a été étudiée par le capitaine Mallery qui découvre que cette carte représente une partie de l’Antarctique. Ce continent est pourtant recouvert de glaces depuis au moins 10 000 ans et n’a été découvert officiellement qu’en 1818. Carte de Piri Reis Zoom Pourtant, la côte de la terre de la reine Maud est cartographiée sans glace ce qui est incroyable. Le développement des premières civilisations connues ne s’est produit que bien longtemps après cette date. La carte de Piri Reis Piri Reis reconnaît qu’il n’est pas responsable du relevé et de la cartographie d’origine. Il ne connaissait pas l’identité des cartographes. Détail central de la carte de Piri Reis
Structure de l'armée Française
En août 1914, l'infanterie de l'armée d'active compte 173 régiments. Le 1er R.I. est constitué à Cambrai, le 173 ème à Bastia. Ces régiments sont assemblés aux seins de 44 D.I. a) La D.I. : Chaque D.I. compte 380 officiers, 15500 hommes, 2800 chevaux, 36 canons et 523 voitures. Elle est dirigée par un état-major, se compose de 2 brigades, parfois elle est renforcée d'une brigade de réserve. Chaque brigade compte 2 régiments , parfois 3, de 3400 hommes et 70 officiers. Un régiment est constitué de 3 bataillons, eux-mêmes constitués de 4 compagnies de 240 hommes. Une compagnie compte 4 sections de 60 hommes, elles-mêmes divisées en 4 escouades de 15 hommes chacune. Ce dispositif est appuyé par : - 1 escadron ( compagnie ) de cavalerie de 150 chevaux répartis en 4 pelotons, - 1 compagnie de génie ( 210 sapeurs ), - 2 ambulances de 50 hommes, - 1 section d'hospitalisation de 8 hommes, - 1 sous intendance divisionnaire de 36 hommes, b) La mobilisation : La loi du 7 août 1913 porte à : iabem@free.fr
SEHRI - documentaire
Dictionnaire des soldats du Bas-Rhin par Alain "Gd67" Klein De 1791 à 1815, une véritable armée, estimée à environ 120 000 hommes, est partie des deux départements d'Alsace. Les archives qui nous sont parvenues, ne permettent pas d'effectuer une estimation exacte sur le nombre de volontaires, de réquisitionnaires, de conscrits, d'enrôlés volontaire et de gardes nationaux partis sous les drapeaux. Ce dictionnaire se veut le recensement de tous militaires de tout grade, nés dans le département du Bas-Rhin, qui ont servi dans les armées de la Révolution, du Consulat et du Premier Empire. Ce travail gigantesque ne pouvant être publié en un seul volume, j'ai choisi de découper le résultat en canton. Les documents d'archives à consulter pour réaliser ce travail se comptent par milliers. Pour cette raison, j'ai fait le choix de ne pas mettre dans chaque fascicule, les références des documents utilisés, car elles auraient doublé le volume de chacun.
Régiment d'infanterie territoriale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pendant la Grande Guerre, le régiment d’infanterie territorial, ou RIT, était une formation militaire composée des hommes âgés de 34 à 49 ans, considérés comme trop âgés et plus assez entraînés pour intégrer un régiment de première ligne d’active ou de réserve. Les Territoriaux ou Pépères, initialement chargés de différents services de gardes, ont joué un grand rôle pendant la Première Guerre mondiale. Préambule[modifier | modifier le code] Entre 1914 et 1918, huit millions d’hommes entre 18 et 45 ans sont mobilisés soit 20 % de la population[1]. Selon son âge, chaque homme doit s’acquitter de ses obligations militaires, passant par trois armées réglementaires différentes : l’armée d’active : Sont mobilisés dès le début du conflit les régiments d’active : numérotés de 1 à 176. Elle est composée des hommes âgés de 21 à 23 ans c’est-à-dire nés en 1891, 1892, 1893 et au delà. l’armée de réserve : l’armée territoriale : la cavalerie l'artillerie le génie
De 1789 à 1815