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« Facebook, c’est pour les vieux »

« Facebook, c’est pour les vieux »
L’ado, cet être énigmatique (aux yeux de toute personne née avant 2000). Que fait-il ? Que veut-il ? Que craint-il ? Surtout quand il est collé à un écran, à commencer par celui de son smartphone ? L’association éducative Génération Numérique a mené une étude sur les « 11-18 ans et les réseaux sociaux ». Sur la scène du grand amphi de la Station F, temple parisien de la culture start-up logé dans l’ancienne Halle Freyssinet du 13e arrondissement, deux adolescentes, Manon et Capucine, énumèrent les réseaux sociaux qu’elles utilisent tous les jours : « Snapchat, Instagram, Musical.ly, Whatsapp » pour la première, et la seconde ajoute « Skype ». Les deux ados sont présentes à l’invitation de Génération Numérique, une association d’éducation au numérique qui emploie 13 personnes et qui intervient dans les écoles, collèges, lycées pour aider les ados à devenir des « adultes numériques ». Plusieurs chiffres* ont été présentés par Génération Numérique. Related:  Vie privée

Baromètre du numérique 2017 : équipement, usages et compétences numériques des Français L’ARCEP, le CGE et l’Agence du Numérique publient chaque année le Baromètre du numérique, réalisé par le CRÉDOC. Un document précieux, qui permet de faire le point sur les pratiques des Français. Les résultats 2017 sont disponibles : ils sont basés sur les réponses de 2209 personnes, interrogées en face à face en juin 2017, sélectionnées sur la méthode des quotas, afin de représenter les pratiques numériques des Français âgés de 12 ans et plus. 73% des Français possèdent un smartphone Plusieurs enseignements peuvent être tirés du Baromètre du numérique 2017. Le premier d’entre eux est la progression « fulgurante » des smartphones. 73% des Français en possèdent un (+8 points en un an) alors que seuls 17% des Français possédaient un smartphone en 2011. Si les taux d’équipement des téléphones mobiles et fixes sont relativement proches, de fortes différences sont observables concernant l’usage de ces équipements : Le smartphone préféré à l’ordinateur pour accéder à Internet

Surveillance : quel bilan tirer, cinq ans après le début des révélations d’Edward Snowden ? Dans la nuit du 5 au 6 juin 2013, le monde découvre sur le site du quotidien britannique The Guardian un document classé secret issu de la National Security Agency (NSA) révélant que l’opérateur américain Verizon transmet à cette agence de renseignement des wagons entiers de données sur ses clients. Ce document stupéfie les observateurs : c’est la première fois dans l’histoire récente qu’une pièce aussi secrète est publiée dans la presse. Ce qu’ils ne savent pas encore, c’est que des centaines d’autres documents tout aussi sensibles vont suivre et alimenter une série encore en cours aujourd’hui, cinq ans plus tard. Quelques jours après ce premier coup d’éclat, Edward Snowden, l’agent du renseignement américain qui a fourni ce document aux journalistes, révélera son identité et donnera un nom et un visage à l’une des plus grandes fuites de documents secrets de l’histoire. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Les révélations d'Edward Snowden, un séisme planétaire Toujours en Russie

Onavo Protect – Le VPN qui vous traque pour le compte de Facebook – Korben J’ai appris via Techcrunch que Facebook faisait maintenant la promo dans son application mobile, d’une autre application baptisée « Protect » qui est tout simplement un VPN. Facebook a racheté le service de VPN Onavo Protect en 2013 pour une simple raison : Vous traquer encore plus. Je vous explique… Lorsque vous utilisez un VPN, l’ensemble de votre connexion au net transite de manière chiffrée par un serveur tiers. Ce qui veut dire que seul votre fournisseur VPN connaît le contenu de vos paquets IP et les méchants qui s’incrustent entre vous et ce fournisseur de VPN ne peuvent observer que des données chiffrées. Petite parenthèse pendant que j’y pense. Allez jeter un œil, ça vous plaira peut-être. Le VPN est donc super pratique pour sécuriser un peu son usage d’internet, pour se protéger du tracking publicitaire (puisque vous changez souvent d’IP, et passez parfois par différents pays), et surtout pour utiliser par exemple des connexions wifi d’hôtel sans subir un Man In The Middle.

Google séduit les médias avec « News Initiative » Alors que Facebook réduit la visibilité des médias sur son fil d’actualité, Google essaie quant à lui de se positionner comme un allié. Ce mardi, la firme de Mountain View a annoncé un projet baptisé « Google News Initiative » qui, comme l’a décrit Philip Schindler, le Chief Business Officer, durant une conférence de presse à New York, est une façon de rassembler tous les efforts de la firme de Mountain View pour travailler avec les médias. Trois objectifs sont cités par Google : « Élever et renforcer le journalisme de qualité », « Évoluer les modèles économiques pour favoriser une croissance durable » et « Renforcer les organisations de presse grâce à l’innovation technologique ». On pourrait se dire que c’est le genre de discours que toutes les grandes plateformes comme Google tiennent. Mais la firme explique que celle-ci a intérêt à ce que les médias en ligne se portent bien. En substance, Google News Initiative est surtout un message fort adressé à la presse en ligne. (Source)

Kids are not better at technology than adults. The term “digital immigrants” and “digital natives” is almost as annoying as the fights are about the terminology. These terms are often credited to Marc Prensky, and from when I have had the opportunity to have heard him speak, he doesn’t believe that kids have an innate ability to use technology over adults. They have not known a world with anything different. So then why do we continue to say things like, “Kids are sooooo much better with technology than adults are”? The difference between kids that are deemed better than adults with technology is not some innate ability; it is their willingness to push buttons. I was working with a group recently and showing them how to “embed” media from different sites. So instead of saying, “Those kids are so much better than technology than I am”, why not say, “Those kids are so much more willing to push the buttons and act on their curiosity than I am.” Yes, things are not going to work right away.

Facebook a partagé les données de ses utilisateurs avec 60 constructeurs de smartphones Une nouvelle polémique est apparue concernant Facebook. Elle concerne des accords passés entre le réseau social et les constructeurs de smartphones pour leur donner accès à des données personnelles. Facebook assure que tout est légal. Le temps passe et les controverses impliquant Facebook se succèdent. Alors que le scandale Cambridge Analytica est encore dans tous les esprits, voilà qu’une enquête du New York Times du 3 juin expose en plein jour l’existence d’accords passés entre le réseau social américain et au moins 60 constructeurs de smartphones au sujet du transfert de données personnelles. Le journal américain a remarqué, en liant un compte Facebook à Hub, qui est le nom donné à l’application de messagerie unifiée présente notamment dans le BlackBerry Z10, que les échanges entre le réseau social et le téléphone n’incluaient pas que des renseignements sur son propriétaire : en réalité, le propriétaire du compte Facebook rattaché à Hub a aussi donné accès à tout son graphe social.

Facebook condamnée à détruire des données sous peine d'une astreinte de 100 millions d'euros Publié le 19/02/2018 par Etienne Wery - 0 vues La justice a tranché : Facebook devra cesser de suivre et d’enregistrer le comportement de navigation des personnes qui surfent depuis la Belgique tant qu’elle ne met pas ses pratiques en conformité avec la législation belge en matière de vie privée. Facebook doit aussi détruire toutes les données à caractère personnel obtenues illégalement. La Commission belge pour la protection de la vie privée (équivalent de la CNIL) a entamé il y a 3 ans une action judiciaire contre Facebook. L’originalité du dossier tient dans l’angle d’attaque : au-delà de la protection des utilisateurs qui ont accepté les conditions générales, c’est la situation des non-utilisateurs qui est visée au travers de la question de la légalité des cookies, plug-ins sociaux et pixels. Après une ordonnance de référé rendue en 2015, c’est la décision au fond qui vient de tomber. Quatre éléments principaux ont été soumis à la justice :

Social Media · Media Use in the Middle East, 2017 Arab nationals are avid social media users. WhatsApp tops the list of social media used by nationals across the region with two-thirds of nationals using it, compared to a marginally lower rate for Facebook and only one-half using YouTube (67% WhatsApp, 63% Facebook, 50% YouTube). Tunisians, however, prefer Facebook and YouTube (57% Facebook, 41% YouTube vs. 7% WhatsApp). Instagram, Snapchat, and Twitter form a second tier, with penetration rates between 20% and 35% (33% Instagram, 23% Snapchat, 20% Twitter). However, Twitter penetration is particularly low in Lebanon, Jordan, and Tunisia (13% Lebanon, 9% Jordan, 8% Tunisia). Facebook use is high everywhere except in Qatar and Saudi Arabia, where penetration dropped by over 20 percentage points since 2015 to 22% in Qatar and 55% in Saudi Arabia. Despite general increasing social media use across the region, significant portions of Jordanians and Tunisians say they do not use any social media (20% Jordan, 30% Tunisia).

Les usages des 10-13 ans, ces clandestins du web social | Meta-media | La révolution de l'information Par Barbara Chazelle, France Télévisions, Prospective et MediaLab de l'Information Bien que légalement ils ne devraient pas y être, il n'est un secret pour personne que les moins de 13 ans ont investi les réseaux sociaux en mentant sur leur âge pour s'inscrire : les 7-12 ans passent 6h10 connectés chaque semaine, un chiffre en hausse de 30 minutes par rapport à 2016 et 45 minutes par rapport à 2015 selon Ipsos. Très influente bien que clandestine, cette « génération tête baissée » fascine par ses usages des plateformes que l'agence Heaven décrypte dans son deuxième baromètre « Born Social »*. Qui sont les clandestins des réseaux sociaux ? L'inscription sur les réseaux sociaux est déjà majoritaire dès la 5e (62,3%) et incontournable à la fin du collège, à 85,4% d'inscrits. Heaven note une stagnation du taux d'inscription entre 2016/2017, peut-être le signe que l'âge d'une certaine autonomie numérique ne peut baisser indéfiniment. Quelques verbatim sur les usages : YouTube, la télé des jeunes

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