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Révolution industrielle

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Louise Weiss, militante et journaliste [] - La cause du droit de vote des femmes en 1936. Durant la première guerre mondiale, la grande majorité des associations féministes françaises mettent leurs revendications entre parenthèses. Pendant le conflit, nombre de femmes font cependant leur entrée dans le monde du travail où elles remplacent des hommes absents ou tombés au front, acquérant par ailleurs des responsabilités et une autonomie nouvelles qui nourrissent un désir d’émancipation. Malgré quelques avancées, 1918 marque pour les femmes une sorte de retour à la « normale » en France, et ce alors même que leur poids démographique comme leur rôle économique n’ont jamais été aussi importants dans la société. Le 20 mai 1919 pourtant, la Chambre des Députés adopte pour la première fois une proposition de loi instaurant le vote des femmes aux élections locales qui est finalement rejetée par le Sénat en 1922. Centre de propagande pour le vote des femmes, a été prise en février 1936. Une jeunesse d'une AlsacienneModifier LegsModifier

La locomotive a vapeur Louise Weiss Et Le Droit De Vote Des Femmes - Dissertations Gratuits - hrsfim50 Dossier d’histoire Programme : le droit de vote en France Comment a-t’elle participé à l’obtention par les femmes du droit de vote ? Pour se faire, dans une première partie, je présenterai Louise WEISS et les raisons de son combat, puis j’examinerai la façon dont elle s’est organisée pour mener ce combat et je conclurerai par l’acquisition du droit de vote. « Je procédai en hâte à l'aménagement de mes vitrines. « Les Américaines votent, les Anglaises votent, les Allemandes votent, les Autrichiennes, les Tchécoslovaques, les Hongroises, les Chinoises votent. « Femmes, disais-je, aux passantes, dès que vous vous mariez, la loi vous déclare incapables. Or, vous n'êtes pas consultées sur l'emploi des fonds que vous versez ainsi au budget.

Louise Weiss, féministe des années 1930 Contexte historique La cause du droit de vote des femmes en 1936. Durant la première guerre mondiale, la grande majorité des associations féministes françaises mettent leurs revendications entre parenthèses. Malgré quelques avancées, 1918 marque pour les femmes une sorte de retour à la « normale » en France, et ce alors même que leur poids démographique comme leur rôle économique n’ont jamais été aussi importants dans la société. Le 20 mai 1919 pourtant, la Chambre des Députés adopte pour la première fois une proposition de loi instaurant le vote des femmes aux élections locales qui est finalement rejetée par le Sénat en 1922. Pour les différents mouvements suffragistes, les élections locales ou nationales deviennent l’occasion de grandes campagnes de sensibilisation et de propagande qui prennent de multiples formes : pétitions, campagnes de presse, tracts, affiches, votes et élections « parallèles », etc., comme aux municipales de 1925 à Paris ou de 1935 dans toute la France.

Louise Weiss Mère de l’Europe, Louise Weiss mena un long combat pour l’Europe, les droits des femmes et la paix. Dès 1918, après des voyages en Europe Centrale et en URSS, Louise Weiss crée la revue hebdomadaire de politique française et internationale « L’Europe Nouvelle » où elle défend les nationalités opprimées. Elle répand l’idée d’un rapprochement franco-allemand et œuvre en faveur des premiers projets d’Union Européenne. Elle anime un réseau d’hommes politiques français proches du mouvement pan-européen autour de sa revue. Louise Weiss mena un long combat pour l’Europe, les droits des femmes et la paix. Dès la création de sa revue elle s’intéresse au droit de vote des femmes. En 1936, Louise Weiss est candidate symbolique aux élections législatives pour protester contre l’interdiction de vote des Françaises.

Oradour, la mémoire en ruines En présence du dernier survivant, Robert Hébras, et d'enfants venus assister à la cérémonie, le Président a déclaré que "les ruines d'Oradour ne font pas rempart contre cette barbarie". Déjà, en avril, en pleine campagne présidentielle, Emmanuel Macron se présentait à Oradour-sur-Glane. Il était fortement critiqué sur les réseaux sociaux : on lui reprochait l'utilisation démagogique de ce drame pour se donner une belle image. Il avait trouvé cette façon de contrer Marine Le Pen qui venait de déclarer que la France n'était pour rien dans la rafle du Vel d'Hiv, exécutée pourtant par la police française au profit des Nazis. Oradour était un village de 1574 habitants, dont seuls 330 habitaient le bourg, les autres étant répartis dans 53 hameaux et lieux-dits. Intérieur de l'église : 99 morts déjà (sur le champ de bataille) lors de la première guerre mondiale : "N'aurez-vous pas, Seigneur, des faveurs spéciales pour ceux qui vous arrivent enveloppés dans les plis du drapeau." Lidice .

"Paris outragée, Paris brisée, Paris martyrisée ! Mais Paris libérée !" - Dossier Bienvenue ! {* welcomeName *} {* loginWidget *} Bienvenue ! {* #signInForm *} {* signInEmailAddress *} {* currentPassword *} {* /signInForm *} Votre compte a été désactivé Vous devez vérifier votre adresse email pour finaliser votre inscription. {* #resendVerificationForm *} {* signInEmailAddress *}{* /resendVerificationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter {* #socialRegistrationForm *} {* firstName *} {* lastName *} {* emailAddress *} {* displayName *} {* phone *} {* addressCity *} {* addressCountry *} En cliquant sur "Créer un compte", vous confirmez que vous acceptez nos conditions générales et que vous avez lu et approuvé la politique de protection de données personnelles.{* /socialRegistrationForm *} Merci de confirmer les informations ci-dessous avant de vous connecter Nous vous avons envoyé un email de confirmation à l'adresse suivante {* emailAddressData *}. Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |}

La rafle du Vél' d'Hiv', symbole de la collaboration avec le régime nazi VIDÉO - Le 16 juillet 1942, plus de 13.000 juifs parisiens sont réveillés brutalement à l'aube et arrêtés par la police française. Une moitié est déportée à Drancy, l'autre est parquée au Vélodrome d'Hiver avant d'être conduite dans les camps de la mort. Quelques dizaines de personnes seulement en reviendront. «La grande rafle des 16 et 17 juillet 1942 n'a été ni la première ni la dernière de ces opérations raciales conduites par la police française. Alors que la France est occupée par l'Allemagne depuis l'armistice du 22 juin 1940, la répression envers les Juifs est de plus en plus violente. • Cibler les Juifs étrangers... mais aussi des Français En accord avec les autorités allemandes, les hauts gradés de la police française décident d'arrêter les hommes et femmes juifs, de 15 à 50 ans, originaires d'Allemagne, d'Autriche, de Pologne, de Tchécoslovaquie, de Russie et les apatrides. • Le camp de Drancy ou l'internement au Vélodrome • Pourquoi les Juifs ne se sont pas enfuis

Rafle du Vel d'Hiv Monument élevé en mémoire de la Rafle du Vel d'Hiv, rue de Grenelle à Paris. La rafle du Vel d'Hiv est l'arrestation à Paris de 13 000 Juifs le 16 juillet 1942. Vel d'Hiv est l'abréviation populaire du « Vélodrome d'Hiver » (un bâtiment où avaient lieu des rencontres sportives). La rafle a été menée par la gendarmerie et la police françaises, sous ordre des SS. Le Vélodrome d'Hiver[modifier | modifier le wikicode] Un vélodrome est un stade dans lequel a lieu des compétitions de vélo. En juillet 1942, plusieurs milliers de Juifs arrêtés le 16 juillet furent emprisonnés dans ces bâtiments pendant cinq jours. Le Vélodrome d'Hiver a été détruit en 1959 par un incendie. La rafle[modifier | modifier le wikicode] Durant la Seconde Guerre mondiale, une rafle est une arrestation massive de Juifs, suivie d'une déportation vers des camps d'extermination. Contexte[modifier | modifier le wikicode] En juin 1940, le maréchal Pétain accède au pouvoir. Déroulement[modifier | modifier le wikicode]

16 juillet 1942 - La rafle du Vél d'Hiv À l'aube du 16 juillet 1942 débute à Paris la « du Vél d'Hiv». Elle voit l'arrestation par surprise de plus de treize mille Juifs parisiens de 2 à 60 ans, tous Juifs apatrides (il s'agit notamment de Juifs anciennement Allemands, Autrichiens ou Polonais). La plupart sont déportés au camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau. Quelques dizaines en reviendront... À l'origine de ce crime contre l'humanité, il y a le projet hitlérien d'arrêter un grand nombre de Juifs dans toute l'Europe occupée. C'est ainsi que sont mobilisés à Paris 7 000 policiers et gendarmes sous les ordres du délégué en zone nord de René Bousquet, jeune et efficace fonctionnaire du gouvernement de Vichy. La rafle 13 152 personnes sont appréhendées par la police française les 16 et 17 juillet 1942, y compris 4 000 enfants de moins de 16 ans qu'il n'avait pas été initialement prévu de déporter. C'est beaucoup... et néanmoins deux fois moins que le quota fixé par les Allemands et la préfecture de police !

24 octobre 1940 - Rencontre de Montoire Le 24 octobre 1940, Philippe Pétain, chef de l'État français, rencontre Hitler dans la petite gare de Montoire-sur-le-Loir. Le vice-président Pierre Laval a eu l'idée de ce rendez-vous en apprenant que Hitler revenait en train de Hendaye où il était allé rencontrer Franco, dictateur en Espagne. Par une poignée de main très médiatisée, le vieux maréchal célèbre officiellement la « collaboration » entre la France vaincue et l'Allemagne triomphante. Il s'en explique à la radio comme à son habitude, quelques jours plus tard, le 30 octobre 1940 : « C'est dans l'honneur et pour maintenir l'unité française, une unité de dix siècles, dans le cadre d'une activité constructive du nouvel ordre européen, que j'entre aujourd'hui dans la voie de la collaboration (...) . Cette collaboration doit être sincère... ». Entrevue historique du Chancelier Hitler avec le Maréchal Pétain, source : INA La France sous l'Occupation Cliquez pour agrandir L'entrevue

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