background preloader

Rêve

Rêve
Le rêve est une «disposition de l'esprit généralement nocturne, survenant au cours du sommeil, et qui procure à l'individu éveillé des souvenirs nommés eux aussi rêves». Au cours de l'histoire et des civilisations, le rêve a été un moyen de s'affranchir du temps et de l'espace ordinaire, pour accéder au surnaturel, aux ancêtres, au divin, ou encore comme un moyen de guérison, de connaissance et de révélation. L'approche rationnelle et scientifique en fait un processus ancré dans le corps et lié à l'activité cérébrale au cours du sommeil. Le rêve pose toujours la question de son sens et de sa signification, ou de son rôle et de sa fonction (approches philosophique, psychodynamique, neurobiologique...). Dans les arts et la littérature, le rêve représente la « vie rêvée » au sens de projet chimérique ou de représentation d'un autre possible. Ce peut être aussi bien de l'agir (espoir, recherche...) que du pâtir (errance, déception...). Étymologie du mot « rêve »[modifier | modifier le code] W. Related:  Bizarre R-Z

Surréalisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le surréalisme est un mouvement littéraire, culturel et artistique du XXe siècle, comprenant l’ensemble des procédés de création et d’expression utilisant toutes les forces psychiques (automatisme, rêve, inconscient) libérées du contrôle de la raison et en lutte contre les valeurs reçues. En 1924, André Breton le définit dans le premier Manifeste du surréalisme comme un « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale [...] ». Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Histoire Le musée Gustave Moreau à Paris, qu'André Breton aimait visiter. André Breton Étymologie

Une brève histoire du rêve Psycho Des civilisations antiques au Moyen-Age Le rêve, message divinLa Bible, comme les auteurs grecs, sont pleins de rêves prophétiques : le songe est le moyen de prédilection des Dieux pour transmettre leurs souhaits ou leurs menaces aux humains. Déjà, on fait appel à des personnes "qualifiées", sybilles ou magiciens, pour interpréter correctement les rêves, auxquels on accorde beaucoup d'importance. Du XVIe au XIXe siècle Rêver n'est pas jouer Vive le rationalisme ! Dans cette ère marquée par les progrès scientifiques et philosophiques, le rêve, considéré comme un résidu de superstitions obscures, n'a plus de place. Tenu pour un déréglement passager et futile de la raison, il n'intéresse plus personne, sauf peut-être quelques romantiques qui voient en lui un état poétique (mais toujours dénué de sens). 1900 Le rêve, expression de nos désirs les plus secretsA la fin du XIXe siècle, quelques précurseurs commencent à remettre en question les fonctions du sommeil. En savoir plus

John Willie John Alexander Scott Coutts (9 December 1902 – 5 August 1962), better known by the pseudonym John Willie, was the artist, fetish photographer, editor, and publisher of the soft-porn cult magazine "Bizarre." Willie is best known for his bondage comic strips, specifically "Sweet Gwendoline", featuring the villain Sir Dystic d'Arcy. Coutts was able to avoid controversy in censorship through careful attention to guidelines and the use of humor. Though "Bizarre" was a small format magazine, it had a huge impact on later kink publications and experienced a resurgence in popularity along with well-known fetish model, Bettie Page, in the 1980s. Early life[edit] John Coutts was born in 1902 to a British family in Singapore, but moved with his family to England in 1903, where he grew up during the Edwardian era. Early career[edit] John Willie's Work and "Bizarre"[edit] Bizarre magazine began in 1946, while Coutts was living in Canada. G-string tie[edit] Step by step G-string tie instructions

Histoire du rêve de l'antiquité à l'époque moderne Dr Jean-Michel CrabbéMis à jour le 26 février 2015jmc@sitemed.fr Pendant 2000 ans, le rêve a été rejeté de la civilisation occidentale avant d'être repris en considération et étudié scientifiquement au XXe siècle. Résumé Tout au long de ces pages vous allez trouver les différents aspects historiques du rêve, depuis les anciennes traditions jusqu'à la conception jungienne du rêve en passant par la neurobiologie du sommeil. La découverte du sommeil paradoxal par le Pr Michel Jouvet, en 1958, donne au sommeil et au rêve une nouvelle importance . Mais pour notre civilisation occidentale, dominée par l'intellect, le rêve est un phénomène négligeable. Il appartient à la nouvelle génération de retrouver un équilibre entre ces deux extrêmes, pour que le rêve guide l'intelligence et que l'intelligence s'applique au rêve. Importance historique du rêve Image : le songe de Saint Joseph, G. de la Tour Les temples d'incubation La Bible et les rêves Quête du Graal, rêves et mythologie celte Science et rêve S.

Codex Seraphinianus Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Codex Seraphinianus est un livre écrit vers la fin des années 1970 par Luigi Serafini et publié en 1981 par l’éditeur à Franco Maria Ricci qui accepta tout de suite la publication dans son catalogue Les signes de l’homme ce travail original, graphique, et littéraire. Le codex est en fait conçu comme une sorte d'encyclopédie extraterrestre composée de onze chapitres traitant de la nature, des hommes, des minéraux, des mathématiques, de l'architecture et de l’écriture. Le codex est rempli de dessins surréalistes qui semblent décrire le monde des extraterrestres et le nôtre. L'écriture[modifier | modifier le code] L'écriture « Serafinienne » n'a pas pu être déchiffrée à ce jour, malgré les efforts de plusieurs linguistes[réf. souhaitée]. On a réussi à percer le système de numérotation des pages : il s'agit d'un système en base 21 avec quelques variantes. Liens internes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Comment mesurer l’intériorisation du temps ? (Paris, début XIXe siècle) Emmanuel Poulle, « La mesure du temps et son histoire », Bibliothèque de l’École des Chartes, 1999, tome 157, p. 221-229. Gerhard Dohrn-van Rossum, Die Geschichte der Stunde: Uhren und modeme Zeitordnungen, Muenchen, Carl Hanser Verlag, 1992, traduction française L’histoire de l’heure. L’horlogerie et l’organisation moderne du temps, Paris, Éd. de la Maison des Sciences de l’Homme, 1997. David Landes, Revolution in Time: Clocks and the Making of the Modern World, Cambridge (Mass.), Harvard University Press, 1983, traduction française L’Heure qu’il est. Les horloges, la mesure du temps et la transformation du monde moderne, Paris, Gallimard, 1987. Catherine Cardinal, François Jequier, Jean-Marc Barrelet et André Beyner [dir.], L’homme et le temps en Suisse, 1291-1991, La Chaux-de-Fonds (Suisse), Institut L’homme et le temps, 1991. Norbert Elias, Über die Zeit, Frankfurt am Mai, Suhrkamp, 1984, traduction française Du Temps, Paris, Fayard, 1996, p. 28. Idem, p. 108. Arch. dép. Arch. dép.

Une saison en enfer Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une saison en enfer est un recueil de poèmes en prose d'Arthur Rimbaud, rédigé en juillet 1873, après une période de crise dans la vie du poète — l'accident de Bruxelles avec Verlaine et le retour à Roche dans la ferme familiale — à partir d'une ébauche commencée quelques mois auparavant, le Livre païen ou Livre nègre. Chant païen halluciné, le poème est aussi une profession de foi, marquée par la quête du salut[réf. nécessaire], les déceptions sentimentales et artistiques, et un réquisitoire contre la civilisation occidentale et ses valeurs. « Prodigieuse autobiographie psychologique, écrite dans cette prose de diamant qui est la propriété exclusive de son auteur », selon les termes de Paul Verlaine[1]. Une Saison en enfer est la seule œuvre de Rimbaud dont il ait entrepris la publication, à compte d'auteur. Mais, vraisemblablement parce qu'il avait manqué d'argent pour payer l'imprimeur, elle ne fut pas diffusée.

Bruno Dumézil : «Le calendrier était un outil de pouvoir» Caler le rythme de nos jours sur celui des planètes : c’est l’utilité première de notre calendrier. Avec ses 365 jours et ses années bissextiles, il permet de respecter scrupuleusement le temps que met la Terre à tourner autour du Soleil. Transposition de la mécanique des planètes, le calendrier transcrit aussi une partie de notre héritage culturel. Si c’est bien le cours des planètes qui règle nos jours et nos nuits, la façon de mesurer le temps est loin d’être immuable. Notre calendrier est-il vraiment né dans l’Antiquité romaine ? Beaucoup de choses ont été fixées à cette époque, à tel point que l’on pourrait dire qu’en termes de civilisation, nous sommes encore dans l’Empire romain. Les modifications de César ont un intérêt scientifique : en instaurant une année de 365 jours au lieu de 355, et en prévoyant une année bissextile tous les quatre ans, son calendrier se rapproche des 365,25 jours que met la Terre à tourner autour du Soleil. César invente donc le calendrier politique ?

Félicien Rops Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rops. Félicien Rops Portrait de Félicien Rops Félicien Rops est un artiste belge, peintre, dessinateur, illustrateur, aquafortiste et graveur, né à Namur le 7 juillet 1833 et mort à Essonnes (aujourd'hui Corbeil-Essonnes) le 23 août 1898 (à 65 ans). Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et jeunesse à Namur[modifier | modifier le code] Façade de la maison natale de Rops, 33 rue du Président à Namur. Félicien Rops est le fils unique de l'industriel Nicolas-Joseph Rops (1782-1849) et de Sophie Maubille (1794-1872). Dès 1838, Rops est scolarisé chez les Jésuites, au Collège Notre-Dame de la Paix. Nicolas-Joseph, son père, meurt le 7 février 1849. Carrière bruxelloise[modifier | modifier le code] Rops quitte Namur en 1851. Après ces débuts de caricaturiste, Rops entame une carrière d'illustrateur. Il devient membre de la loge maçonnique namuroise "La Bonne Amitié", le 1er juillet 1861.

Mesure du temps et histoire des techniques : les débuts de l'horlogerie en Normandie (xive-xvie siècles) Notes G. Dorhn-van Rossum, L’histoire de l’heure. L’horlogerie et l’organisation moderne du temps, Paris, Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme, 1997 (traduction), p. 48. Tardy, Dictionnaire des horlogers français, Paris, Tardy, 1971. Les paines et sallaires des Batisseurs de l’Orloge, 1491-1991, Catalogue de l’Académie Paléologique de l’Eure ; 1497-1997 cinq millions d’heures autour de l’Horloge, Évreux et son beffroi, exposition réalisée par les services culturels de la Ville d’Évreux : archives municipales, bibliothèque-médiathèque et musée d’Évreux, 24 mai-30 novembre 1997 ; A. Ch. de Beaurepaire, « Les horloges et horlogers de Rouen », Bulletin de la Commission des Antiquités de la Seine-Maritime, t. J. A. et S. L. « L’heure du temps » à Rennes d’août à novembre 2006. Les paines et sallaires des Batisseurs de l’Orloge, op. cit. 1497-1997 cinq millions…, op. cit. A. E. de La Quérière, L’ancien Hôtel de Ville et la Grosse Horloge de Rouen, op. cit. R. R. P. J. J. J. A. P. O. J. J.

Related: