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Internet, révolution culturelle

Internet, révolution culturelle
Numéro coordonné par Mona Chollet et Philippe Rivière Lire le compte rendu de ce numéro, paru dans Le Monde diplomatique de février 2010, par Philippe Quéau. Changement de sociétéMona Chollet Jargon de geeks (glossaire) I. En modifiant en profondeur les habitudes culturelles, Internet déstabilise tout l’édifice social. Alors que les innovations permises par l’irruption des réseaux restent tâtonnantes et peu organisées, les anciens équilibres sont balayés. Pour les salariés, la connexion permanente et l’exigence de réactivité qu’elle entraîne font voler en éclats la frontière entre vie professionnelle et vie privée. La bibliothèque universelle, de Voltaire à GoogleRobert Darnton Le livre dans le tourbillon numériqueCédric Biagini et Guillaume Carnino Une révolution en trompe-l’œilEric Klinenberg Journaliste, ou copiste multimédia ? Télétravail à prix bradésPierre Lazuly Le Monde diplomatique et Internet Des salariés esclaves de l’urgenceMartine Bulard Qui contrôle les concepts ? II. III.

La culture Web expliquée aux gens de la vraie vie WEB Titiou Lecoq et Diane Lisarelli publient une Encylopédie de la Web Culture chez Robert Laffont. Elles y décortiquent les particularités de cette nouvelle culture... Charlotte Pudlowski Publié le Mis à jour le Bienvenue au pays de l'Internet, ce monde étrange que vous ne comprenez pas toujours - et que deux journalistes, Diane Lisarelli (Les Inrocks, Le Mouv’) et Titiou Lecoq (Slate.fr, girlsandgeeks) sous perfusion Google, ont pris le parti d'expliquer dans une «Encyclopédie de la Web Culture» (Robert Laffont). Parce qu'il ne faut pas croire: il existe une vraie culture Internet. «Ce livre s'adresse à la fois aux béotiens qui en ont marre de pas comprendre les conversations sur Twitter mais aussi à ceux qui savent déjà tout parce que ça fait le point de manière détachée et que geeker (faire le geek) en lisant un livre c'est rigolo», avance Diane Lisarelli. Le LOL, cœur de la culture Web Tout cela paraît très codifié? Mots-clés : Aucun mot-clé

Internet pour tous, tous contre Internet - LeMonde.fr Journalistes, politiques, hommes d'affaires, les personnalités de tout poil n'hésitent plus à pourfendre publiquement Internet. Ce drôle de media au contenu dilué et émietté par celui des "vrais gens" déplaît. Il faut dire, qu'Internet rogne les acquis de bon nombre d'acteurs. Internet prend des parts de marché à la télévision, place la presse écrite dans l'embarras, envoie les encyclopédistes à la morgue, provoque la colère des artistes, concurrence les opérateurs de téléphonie, force les entreprises à revoir leurs modèles de vente... Tous contre Internet. Internet, source de tous nos maux, deviendrait donc la vache à lait de notre société. Les attaques pécuniaires se multiplient mais cela ne suffit pas, les attaques personnelles pointent maintenant leur nez. Taxer, punir, sanctionner, décourager.

Liberté d’expression et ses limites | Internet responsable Page mise à jour le 04 octobre 2016 En France, la liberté d’expression est consacrée par l’article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. En revanche, la liberté d’expression n’est pas un droit absolu et elle se trouve affectée de nombreuses limites que les internautes ne doivent pas ignorer. Présentation La liberté d’expression est un droit fondamental. Il n’est donc pas ici question de brider la liberté d’expression de quiconque, enseignant, personnel non enseignant, chef d’établissement, élève ou parent, mais d’effectuer un rappel des limites fixées par la loi. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 énonce : « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme, tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. » Le principe est ainsi posé mais encore faut-il connaître les limites. Illustration En savoir plus...

Intelligence artificielle, danger réel ? Leurs opposants les appellent des «robots tueurs», les hommes de l’art des «systèmes d’armes létaux autonomes». Anatomie de ces machines au pouvoir de vie et de mort. Est-ce qu’il en existe déjà ? Au sud de la frontière entre les deux Corée, des gardes étranges surveillent la zone démilitarisée. Ils ont été fabriqués par l’industriel Samsung, qui les a baptisés d’un acronyme : SGR-A1. L’Allemagne a employé un système similaire pour protéger ses bases militaires en Afghanistan. Vers où nous mènent les recherches actuelles ? Vers des systèmes armés plus «intelligents», capables d’agir de façon plus rapide et précise face à des événements complexes. Lire le site de l’agence américaine de recherche militaire (Darpa) suffit à se convaincre que les choses bougent dans ce domaine. «Les recherches en intelligence artificielle peuvent servir à construire des armes totalement autonomes dans un futur pas si lointain», prévient toutefois Thomas Stuetzle, de l’Université libre de Bruxelles.

Transhumanisme H+, un symbole du transhumanisme. Le transhumanisme est un mouvement culturel et intellectuel international prônant l'usage des sciences et des techniques afin d'améliorer la condition humaine notamment par l'augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains. Les transhumanistes considèrent certains aspects de la condition humaine tels que le handicap, la souffrance, la maladie, le vieillissement ou la mort subis comme indésirables. Le transhumanisme partage de nombreux éléments avec l'humanisme, y compris le respect de la raison et de la science, une volonté de progresser et une valorisation de l'existence humaine (ou transhumaine). Le terme « transhumanisme » est symbolisé par « H+ » (anciennement « >H »[3]) et est souvent employé comme synonyme d'« amélioration humaine ». Pour résumer la FAQ transhumaniste d'Humanity+ développée dans les années 1990, un des documents transhumanistes les plus reconnus, le transhumanisme est défini par Max More comme suit[4] :

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