Réseaux et frontières: Internet aux marges C’était il y a vingt ans. Les Cahiers du CREPIF rendaient compte d’un colloque sur la communication électronique [1] Cahiers du CREPIF, n° 8, novembre 1984. [1] . Dans l’introduction Jean Bastié s’interrogeait : «…le progrès technique se précipite… Comment tirer le maximum de parti de cette avalanche d’informations et chacun sera-t-il capable de les sélectionner?». La géographie semblait alors très discrète sur les incidences des nouvelles technologies d’information et de communication alors qu’aux États-Unis le protocole Internet était déjà en vigueur depuis dix ans et que les militaires venaient de livrer leur réseau ARPANET aux civils, scientifiques et universitaires. C’était il y a dix ans, en 1995 : les Annales innovaient parmi les grandes revues géographiques en consacrant un numéro thématique aux «Réseaux de communication», signe de l’intérêt des géographes pour la révolution que l’on n’appelait pas encore «numérique» [2] Annales de géographie, n° 585-586, sept.
Qu'est-ce que la mondialisation ? - Sylvie Brunel, article Géographie Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Un examen attentif montre que ce phénomène n’est ni linéaire ni irréversible. « Avant, les évènements qui se déroulaient dans le monde n’étaient pas liés entre eux. Depuis, ils sont tous dépendants les uns des autres. » La constatation est banale, hormis le fait que celui qui la formule, Polybe, vivait au IIe siècle avant J.-C. ! Dès l’Empire romain, une première mondialisation s’est organisée autour de la Méditerranée. Mais le processus n’est pas linéaire : la Première Guerre mondiale puis la grande dépression des années 1930 suscitent la montée des nationalismes étatiques, une fragmentation des marchés, le grand retour du protectionnisme. • L’internationalisation, c'est-à-dire le développement des flux d’exportation ; D’abord et avant tout une globalisation financière L'avènement des doctrines libérales Notes
La carte des pays qui n'utilisent pas Facebook Des cartes qui montrent la pénétration et les usages de Facebook et des réseaux sociaux dans le monde, il y en a des dizaines, dont certaines sont presque artistiques. D’où l’idée de proposer une vision quelque peu différente: celle des endroits sur la planète où Facebook n’a pas encore réussi à conquérir les foules. Des cartes qui montrent la pénétration et les usages de Facebook et des réseaux sociaux dans le monde, il y en a des dizaines, dont certaines sont presque artistiques. C’est ce que propose FlowingData, reprenant une carte réalisée par Ian Wojtowicz, la « UnFacebook Map », un étudiant en arts graphiques, qui a utilisé pour cela une carte de la NASA montrant la Terre de nuit. Comme le rappelle RWW, Facebook est bloqué en Chine depuis 2009, ce qui n’empêche pas plus de 530.000 chinois d’être membres du réseau par des moyens détournés. (source)
Ikea, la mondialisation vue de l'intérieur En 70 ans, Ikea s'est imposé dans 41 pays. La marque suédoise connaît mieux que personne les habitudes domestiques de ses millions de clients. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Laure Belot Quel est l'ouvrage le plus publié au monde après la Bible et le Petit Livre rouge ? Et pourtant, personne n'est au courant : dimanche 28 juillet, le fabricant de meubles suédois fêtera ses 70 ans. Il est vrai que le fringant septuagénaire, au capital sympathie certain – allez trouver ailleurs un canapé convertible à 131 euros ! Faut-il y voir un lien ? Les informations enfin obtenues sont saisissantes. Premier constat : telle la Grande Muraille de Chine visible de la lune, Ikea marque déjà la planète de son empreinte. Une mécanique marketing bigrement efficace : prix abordables, astuces foisonnantes, lignes épurées... les 9 000 produits maison ont révolutionné l'habitat jeune et moderne de la fin du xxe siècle. Le jeu de la mondialisation en quatre familles, donc.
L’indice Big Mac Depuis 1986, le magazine britannique The Economist publie un indice permettant de comparer le coût de la vie dans différents pays. Cet indice porte sur un seul produit bien particulier : le hamburger Big Mac de Mac Donald’s. Explications. Un indice de référence Au départ, c’est une boutade de quelques journalistes du très sérieux magazine The Economist. Des monnaies sous-évaluées L’indice Big Mac permet de savoir si une monnaie est sous-évaluée ou sur-évaluée par rapport au dollar, à l’euro, à la livre, au yen et au yuan. Le taux de change fictif Ils appliquent ensuite ce pourcentage de sous-évaluation ou surévaluation au taux de change réel et calculent ainsi un taux de change fictif. De ces résultats, le magazine tire le schéma suivant retraçant les principales monnaies sous-évaluées et surévaluées. Les comparaisons de salaires nécessaires pour se payer un Big Mac L’indice Big Mac a essuyé de vives critiques du fait de son excessive simplicité.
Les réfugiés écologiques En liant la question de la population et celle de l'environnement, un des sujets importants et source de réflexion, on aborde la relation entre migration et environnement. On parle à ce propos de réfugiés écologiques ou de réfugiés de l'environnement. C'est l'idée que les conditions de vie des populations, à un instant donné, ne leur permettent pas de survivre et les obligent à quitter leur territoire pour aller ailleurs. Cela pose des problèmes qui peuvent être très difficiles.
La grande rupture du commerce mondial Thèmes et idéesNos invitésNos analysesÉmissions Les incontournables Est-il vraiment rentable d'investir dans l'immobilier ? Ghislain Deslandes Mobiliser l'intuition pour décider : de Bergson à Mintzberg Guillaume Duval Emploi, formation, code du travail Thibault Le Texier Le maniement des hommes : Taylor, et après ? Accueil > Nos émissions > Le graphique > La grande rupture du commerce mondial La grande rupture du commerce mondial Partager TéléchargerRegarder plus tardEn savoir plus Nous vivons actuellement une nouvelle rupture pour le commerce mondial qui préfigure l’entrée dans une nouvelle ère de la mondialisation. Mots clés : Economie mondiale, Mondialisation, Commerce international, Exportations, Commerce mondial, Echanges extérieurs Ceux qui ont aimé ont aussi apprécié Olivier Passet L'euthanasie rampante des épargnants Kathryn McFarland Téléphonie mobile : l'industrie mondiale Olivier Passet Pourquoi les Etats-Unis font chuter délibérément le prix du pétrole Les dernières émissions Twitter x x
Pôles, aires de puissance et périphéries Pôles, aires de puissance et périphéries ? Eloise Osmonde propose cette activité en géographie destinée aux lycéens qui a pour objectif de comprendre l’organisation géographique du monde. Jouer l’activité en pleine pageAncrage au programme scolaire Niveau : Tout le lycéeDiscipline : GéographieThème : Pôles, aires de puissance et périphériesDéfinitions : teste tes connaissances !Un indicateur statistique à connaître…Le système-mondeLe commerce mondialEtude du trafic aérien mondialFacebook dans le mondeLes pays émergentsPerformanceLes métropoles mondiales Partagez cette activité Copier ce lien html : Importer cette activité dans votre ENT ? Vous souhaitez créer vos propres activités E&N ? Ressources pédagogiques complémentaires en Géographie Séquence : pôles et aires de puissance, sur le site de l’académie d’Aix-Marseille Des remarques, des questions sur cette activité ?
Les migrations internationales atteignent un niveau record WASHINGTON, 18 décembre 2015 – Le nombre de migrants internationaux devrait dépasser le chiffre record de 250 millions de personnes cette année, alors que les populations concernées sont en quête de meilleures opportunités économiques et que les pays en développement qui connaissent une croissance rapide continuent d’attirer en grand nombre les populations d’autres régions du monde en développement. Preuve de leur impact économique, les migrants internationaux enverront cette année 601 milliards de dollars à leurs familles restées dans les pays d’origine, portant le montant des envois de fonds reçus par les pays en développement à 441 milliards de dollars. Cette information paraît dans l'édition 2016 du Recueil des statistiques sur les migrations et les envois de fonds publié par le Partenariat mondial pour les connaissances sur le développement et les migrations (KNOMAD), une initiative du Groupe de la Banque mondiale. Point sur les migrations et les envois de fonds par région du monde
Plus de 1,1 milliard de touristes ont voyagé à l’étranger en 2014 Selon le dernier Baromètre OMT du tourisme mondial, les arrivées de touristes internationaux ont atteint 1 milliard 138 millions en 2014, une augmentation de 4,7 % par rapport à l’année précédente. Pour 2015, l’OMT prévoit une croissance de 3 à 4 % du tourisme international, consolidant encore un peu plus la reprise économique mondiale. Le nombre de touristes internationaux (visiteurs qui passent la nuit) s’est élevé à 1 milliard 138 millions en 2014, soit 51 millions de plus qu’en 2013. Cette hausse de 4,7 % traduit pour la cinquième année consécutive une croissance supérieure à la moyenne depuis la crise économique de 2009. « Ces dernières années, le tourisme s’est avéré être une activité économique étonnamment forte et résiliente et un secteur apportant une contribution essentielle à la reprise économique, générant des milliards de dollars de recettes d’exportation et créant des millions d’emplois. Des perspectives favorables pour 2015 Liens utiles : Contacts :
Comprendre la mondialisation par la géographie Café géographique de Saint-Brieuc du 13 octobre 2016 Daniel Oster, a longtemps enseigné la géographie en classes préparatoires au lycée Henri IV (Paris). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages universitaires dont « La mondialisation contemporaine » (Nathan, 2013, seconde édition à paraître en 2016) et « La Cartographie » (Nathan, 2014). Daniel Oster se propose de nous donner ce soir quelques clefs pour comprendre ce que l’on appelle la mondialisation ; si elle nous concerne tous, elle n’est pas si simple à définir. Nous pouvons, dans un premier temps, définir la mondialisation comme un processus de mises en relation et d’interactions des territoires dans une logique de production et d’échanges. C’est cette complexité que Daniel Oster se propose de mettre en évidence dans la 1ère partie de son intervention. 1 – Définir la mondialisation pour mieux comprendre le processus 1 – Est-il possible de définir et de dater la mondialisation ? 3 – Quelques éléments sur la mondialisation économique…
Résultats Google Recherche d'images correspondant à images Site Web pour cette image Cartographie publiée avec l'aimable autorisation de l'atelier de ... clio-carto.clionautes.org Recherche par imageImages similaires Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. Le classement 2016 des 100 plus grandes entreprises de la planète LE SCAN ÉCO - Pour la première fois, le secteur des technologies devient le plus gros du monde en Bourse, et dépasse celui de la finance. Dans le paysage du business, les États-Unis dominent toujours plus le reste du monde, tandis que l'Europe continue de s'effacer. Classement des plus grosses capitalisations boursières du monde. Pour la première fois, dans le classement annuel PwC des plus grosses capitalisations boursières du monde, le secteur des technologie dépasse celui de la finance. Sur les 10 entreprises les mieux valorisées de la planète, toutes sont américaines, et quatre sont des géants de la technologie, avec en tête Apple, suivi par Alphabet (ex-Google), et Microsoft qui trustent les trois premières places, puis Facebook en 6e position. En bleu, le secteur de la tech. • Le rattrapage d'Alphabet sur Apple • Recul de la puissance du top 100 Mais depuis, les principales Bourses mondiales se sont ressaises, en particulier le Nasdaq. • La suprématie américaine