background preloader

Liste des additifs alimentaires

Liste des additifs alimentaires
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les additifs alimentaires [1]sont définis par une directive de l'Union européenne[2] : « On entend par additif alimentaire toute substance habituellement non consommée comme aliment en soi et habituellement non utilisée comme ingrédient caractéristique dans l'alimentation, possédant ou non une valeur nutritive, et dont l'adjonction intentionnelle aux denrées alimentaires, dans un but technologique au stade de leur fabrication, transformation, préparation, traitement, conditionnement, transport ou entreposage, a pour effet, ou peut raisonnablement être estimée avoir pour effet, qu'elle devient elle-même ou que ses dérivés deviennent, directement ou indirectement, un composant des denrées alimentaires ». Colorants alimentaires[modifier | modifier le code] Les colorants alimentaires ajoutent artificiellement de la couleur aux aliments, pour les rendre théoriquement plus appétissants ; seuls ceux-ci sont répertoriés ici[3].

Additifs Alimentaires - Webadditifs Les additifs alimentaires 1. Introduction L’usage des additifs alimentaires inquiète toujours les consommateurs. Malgré leurs caractéristiques modernes, les additifs alimentaires sont employés depuis des siècles. Ces 50 dernières années, les développements scientifiques dans l'alimentation et les avancées technologiques ont abouti à la découverte de nouvelles substances qui peuvent remplir de nombreuses fonctions dans des produits alimentaires divers. 2. Un additif alimentaire est défini comme "n'importe quelle substance habituellement non consommée comme un aliment en soi et non employée comme un ingrédient caractéristique de l’aliment, qu’il ait une valeur nutritionnelle ou non, dont l’addition intentionnelle à l’aliment pour un but technologique dans la fabrication, le traitement, la préparation, l'emballage, le transport ou le stockage devient, ou peut s’attendre raisonnablement à devenir, lui ou un de ses dérivés, directement ou indirectement, un composant de cet aliment (Directive 89/107/EEC). 3. 4. 5. 6.

Produits sains & enracinés - Au Bon Sens Edulcorants Contexte. L’EFSA (agence européenne pour la sécurité de l’alimentation) a rendu son rapport sur la réévaluation de l’aspartame. Cette réévaluation fait suite à la demande formulée par le RES en 2011 et prise en compte par la Commission Européenne en 2012. Un pré-rapport avait été publié par l’EFSA le 8 janvier 2013 dont le RES avait fait la critique[1]. Le RES a participé à l’audition organisée par l’EFSA le 9 avril 2013 à Bruxelles. L’avis de l’EFSA ne répond pas aux critiques graves qui lui ont été faites publiquement par le RES. L’EFSA publie la conclusion de l’avis du RES (N° 188), mais ne répond pas aux critiques formulées, qui sont pourtant des critiques particulièrement graves. Le rapport conclut ainsi que « que la dose journalière acceptable (DJA) actuelle de 40 mg/kg de poids corporel/jour constitue une protection adéquate pour la population générale ». A aucun moment cette critique particulièrement grave n’est même discutée. Le RES demande : Annexe : Lire la suite de cette entrée »

Pour éviter les substances chimiques, mangez équilibré - Les news Nutrition de Doctissimo L'Agence de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) prône la diversification et l'équilibre, seul moyen de limiter la sur-exposition à certaines substances chimiques. En effet, d'après l'étude EAT2, qui a passé au crible le contenu de notre assiette et notre comportement alimentaire, 11 catégories de substances (cadmium, dioxines, PCB, mycotoxines, acrylamide...), sont présentes à des taux qui dépassent les valeurs toxicologiques de référence. "Dans l'ensemble, il y a un bon niveau de maîtrise des risques sanitaires", a estimé toutefois le directeur général de l'agence, Marc Mortureux, lors de la présentation des résultats le 29 juin 2011. Il rappelle néanmoins que de nombreux points restent en suspens, notamment l'effet des cumuls de substances et des voies d'exposition, le risque lié au bisphénol A et aux phtalates (actuellement à l'étude), ainsi que celui lié aux perturbateurs endocriniens. Une étude d'une ampleur considérable Du poisson oui, mais pas plus de 2 fois par semaine

Bjorg.fr Bio-Nutrition Les 2 Vaches bio - Produits laitiers

Related: