Imprimantes 3D Bring Performance Prototyping In-House The Dimension 1200es features the largest build envelope of any Stratasys Design Series performance 3D printer. Running on Fused Deposition Modeling (FDM) Technology, it prints in nine colors of real ABSplus thermoplastic. This 3D printer lets you choose fine resolution or faster printing, with layer thicknesses of 0.254 mm (0.010 in.) or 0.33 mm (0.013 in.). Image Gallery Dimension 1200es 3D Print Pack The 3D Print Pack is everything you need to start building 3D models. The SST 1200es 3D Printer The SCA-1200 support removal system A startup supply of materials Materials and Bases Dimension 3D printers use ABSplus thermoplastic to build your models. Modeling bases provide a stable platform where your prototype builds. More Design Series Performance 3D Printers Dimension 1200es Printer Specs Model material: ABSplus in nine colors Support material: Soluble (SST 1200es); breakaway (BST 1200es) Build size: 254 x 254 x 305 mm (10 x 10 x 12 in.) BST 1200es
Gigabot : la plus grande imprimante 3D destinée aux particuliers Coïncidence ou véritable désir de faire connaître à tous cette nouvelle technologie, vous aurez pu constater qu’il ne se passe pas un jour sans que l’industrie annonce de nouvelles avancées en matière d’impression 3D. Aujourd’hui, un projet Kickstarter est à la recherche de fond pour proposer au grand public une imprimante 3D grand format baptisée Gigabot. Conçut par Re:3D et capable de concevoir des objets d’un volume maximal de 216000 cm³ (soit des objets de 600x600x600 mm maximum) posé sur un plateau d’un peu moins de 60 cm de large, l’imprimante 3D Gigabot devrait permettre la réalisation de pièces de grande taille sans pour autant manquer de précision. Ceci grâce à la technologie FFF (Fused Filament Fabrication) permettant d’utiliser des fils de PLA ou d’ABS dans des diamètres allant de 1,75 à 3 mm d’épaisseur. Enfin, pour voir la bête en action, glisser simplement dans la suite.
Matérialiser l’inexistant La majorité des logiciels de conception intègrent désormais des fonctionnalités 3D. Il est ainsi possible de concevoir et de visualiser un projet dans l’espace, de tourner autour et de le visiter à travers un écran. L’avènement de la 3D a été applaudi car elle permet à tous de comprendre un projet, dans tous les cas plus facilement qu’en 2D. Pourtant certains nécessitent encore de ce rapport au physique, de voir en vrai le projet. Ils font réaliser des maquettes relativement longues et coûteuses à fabriquer. La révolution vient tout droit du secteur de l’industrie habitué à la réalisation rapide de prototypes avec les imprimantes 3D. Reportage réalisé sur le salon Midest 2008 par Xavier Fodor et Alexandre Martin. Mécanique, architecture, design, packaging, fonderie, plasturgie, etc. Les quelques fabricants qui se partagent le marché développent des solutions basées sur plusieurs techniques: la stéréolithographie, le frittage et la fusion laser. Voir aussi: www.cadvision.fr
Impression 3D et société: applications et prospectives On a vu précédemment comment l’impression 3D, qui à l’origine servait une application industrielle, avait su se faire une place de choix dans l’art et du design. Dans quelles autres domaines la sculpture numérique est-elle déjà employée? Qu’en est-t-il pour ce qui concerne la vie quotidienne (oui oui nous ne vivons pas uniquement dans un monde fait d’œuvres d’art et de mobilier hors de prix!) ? La reproduction : sculpture numérique, patrimoine culturel et recherche La sculpture numérique est particulièrement utilisée dans le cadre de la reprographie de sculpture ou encore d’ornements décoratifs. Stéréolithographie de la structure interne de l’oreille d’un babouin fossilisé de 2,8 millions d’années En paléontologie, la stéréolithographie associée avec la tomodensitométrie (navré…encore un terme barbare), a ouvert de nouveaux champs de recherche. En médecine, les méthodes de « prototypage rapide » sont utilisés pour créer des prothèses sur mesure. Articles similaires:
L'impression 3D, ce sera formidable... s'ils ne foutent pas tout en l'air ! L’impression 3D est en train de naître sous nos yeux. Demain il sera ainsi possible de reproduire toute sorte d’objets chez nous aussi facilement, ou presque, qu’un texte numérique se couche sur le papier à l’aide de notre bonne vieille imprimante 2D. Les conséquences potentielles de la démocratisation d’un tel outil donnent le vertige et suscitent espoir et enthousiasme parmi les makers du monde entier[1] Pour rappel, l’impression 3D est une technique qui permet de produire un objet réel à partir d’un fichier CAO en le découpant en tranches puis en déposant ou solidifiant de la matière (plastique, cire, métal…) couche par couche pour, en fin de compte, obtenir la pièce terminée. C’est l’empilement de ces couches qui crée un volume. Si le concept et la technologie vous semblent encore un peu obscurs, je vous invite à regarder cette courte vidéo. Pour le moment on se déplace donc chez ceux qui disposent d’une telle imprimante, imprimante encore rudimentaires dans ses possibilités.
L’impression 3D, futur outil de marketing alternatif ? Je m’interrogeais il y a quelques jours sur ce que pourrait être la future marotte des marques en quête de nouveauté pour leurs opérations de marketing alternatif... Après la réalité augmentée, les flashmobs, les lipdubs, les projections 3D… et si elles commençaient bientôt à utiliser l’impression 3D (dont la définition wikepedia est disponible ci-dessous) ? Impression 3D : L’impression 3D, ou stéréolithographie, est une technique de production industrielle développée pour le prototypage rapide en plastique, cire ou métal1. Issue du MIT (Massachusetts Institute of Technology), elle permet de produire un objet réel à partir d’un fichier CAO en le découpant en tranches puis en déposant ou solidifiant de la matière couche par couche pour, en fin de compte, obtenir la pièce terminée. Le principe est donc assez proche de celui d’une imprimante 2D classique : les buses utilisées, qui déposent de la colle, sont d’ailleurs identiques aux imprimantes de bureau.
Imprimantes 3D couleurs L’impression 3D en couleur Voici un petit interlude technologique après tous ces articles traitant de la politique de l’innovation ! En plus, au lieu de gamberger sur l’immatériel, nous allons traiter de la rematérialisation ! Dans mon dernier rapport de visite du Consumer Electronics Show 2009, j’avais consacré deux pages aux solutions d’impression 3D (pages 135 et 136 du PDF) . J’y décrivais trois imprimantes “3D” sorties dans le courant de l’année 2008 ou sur le point de sortir et qui visaient à faire descendre le prix de ce genre de technologie destinée au prototypage d’objets pour l’industrie et la recherche : Desktop Factory qui cible un prix inférieur à $1000 sachant que leur premier modèle n’est toutefois pas encore commercialisé et qu’il démarrera plutôt dans les $5K. Il se trouve que j’ai découvert récemment un peu par hazard qu’il existait un solution d’impression 3D en couleur à base de jet d’encre. Ces imprimantes “3D couleur” permettent de réaliser des prototypes de pièces en couleur dans la masse.
Impression 3D : tout y passe ! C’est toujours le même manège ! Vous tombez sur LE vêtement qu’il vous faut, et au moment de l’essayer, il y a toujours un truc qui ne va pas. Le tour de taille est trop ample ou c’est trop serré aux épaules. L’implication à long terme est claire : vos mesures en tête, vous n'aurez qu'à imprimer des vêtements tout droits sortis de votre imagination et parfaitement adaptés à votre taille. L'impression en 3D bientôt dans votre salon Le procédé devrait rapidement se démocratiser avec l'arrivée sur le marché d'imprimantes 3D très performantes à moins de 2000 dollars (1600 euros environ) d'ici à 2016, selon le cabinet Gartner. L'impression 3D a le vent en poupe. Elle est même présentée par certains comme la prochaine révolution industrielle. Le principe de l'impression 3D peut être comparé à celui de l'impression jet d'encre. L'impression 3D «va permettre de relocaliser» «L'impression 3D va rapidement être disponible dans des kiosques ou des boutiques, créant de nouvelles opportunités pour les détaillants et d'autres business», prédit Pete Basiliere, analyste chez Gartner. Un des vecteurs de développement de l'impression en 3D passe par la baisse des prix des imprimantes 3D. » Une arme à feu faite maison avec une imprimante 3D » Des oreilles artificielles obtenues grâce à la 3D » Sculpteo mise sur l'impression d'objets en 3D
L'impression 3D peut sauver des vies humaines L’impression 3D, vous en avez certainement déjà entendu parler, avec un étudiant réalisant des sculptures en verre grâce au sable et au soleil égyptiens du désert de Siwa ou avec des chercheurs britanniques utilisant du chocolat comme matière première. Mais si cette impression 3D pouvait avoir une réelle utilité pour l’Homme ? C’est ce que des chercheurs de l’institut de Fraunhofer en Allemagne vont mettre en avant lors du salon des biotechnologies et des sciences du vivant Biotechnica qui aura lieu les 11, 12 et 13 octobre prochains à Hanovre en Allemagne. Le modèle d’imprimante 3D sur lequel ils ont planché et sur lequel ils ont récemment donné quelques détails s'appuie sur une technologie nommée polymérisation multiphotonique pour créer des vaisseaux sanguins ultra fins destinés à vasculariser des organes artificiels qui seront proposés aux personnes en attente de greffe.
Un nouveau procédé de lissage révolutionne l'impression 3D Austin Wilson et Neil Underwood de Caroline du Nord ont inventé un nouveau procédé permettant de totalement lisser les impressions en 3D en utilisant de l'acétone. Ce processus, en plus de l’obtention d’une finition d’excellente facture, permet également de contourner tout un tas de complexes brevets propres au polissage. La technique reste perfectible et demande encore quelques modifications mineures. L’annonce a été faite à cause (grâce) du résultat impressionnant qui en découle, l’excitation en somme. Et on comprend pourquoi, les images parlent d’elles-mêmes, voyez. Comment fonctionne-t-il ? Depuis leur premier succès, le duo a fait des expériences en contrôlant les plages de température et les durées d’exposition, mais il subsiste encore quelques réglages.
Des vaisseaux sanguins fabriqués par... une imprimante 3D ! - Les news Santé de Doctissimo La fabrication d'organes artificiels en laboratoire se heurtait jusqu'à présent à un obstacle de taille : comment fabriquer les vaisseaux ultra-fins permettant de les vasculariser ? Une équipe de l'Institut Fraunhofer, en Allemagne, semble avoir trouvé une solution en utilisant une imprimante 3D. Les résultats de leurs travaux, partiellement dévoilés le 13 septembre et très préliminaires, seront présentés à Hanovre en octobre prochain, lors de la Foire Biotechnica. Le bioprinting, une technologie prometteuse Le bioprinting, utilisé par ces chercheurs allemands, utilise une imprimante 3D qui va reconstituer un objet biologique en le recréant couche par couche via une programmation informatique. Cette technologie, encore balbutiante, représente un espoir pour réparer demain la peau ou des organes lésés, voire pour se substituer aux greffes classiques. Le bioprinting combiné à la photopolymérisation Des opportunités pour la médecine du futur Jean-Philippe Rivière
L'impression 3D menacée par des brevets Il existe une crainte croissante chez les bidouilleurs qui s'enthousiasment pour les possibilités offertes par l'impression 3D : qu'elles soient un jour minées par des brevets qui freinent la mise à disposition des imprimantes 3D et/ou qui les mettent sous le contrôle de quelques entités commerciales qui chercheront à imposer des formats propriétaires (notamment de consommables) rendant l'impression plus ruineuse. Pour s'assurer que l'impression 3D reste aux mains des hackers qui ont largement contribué à la populariser, à base de ressources libres et open-source (en particulier le projet RepRap), l'Electronic Frontier Foundation (EFF) a décidé de tirer intelligemment partie d'une nouvelle procédure offerte aux Etats-Unis lors de l'examen des brevets, avec l'aide des internautes. Pour le moment, l'EFF a identifié trois brevets déposés entre 2010 et 2012 pour laquelle elle demande au public de soumettre des antériorités :