Des plans de métro littéraires pour intéresser les ados aux livres Sophie Gagnon-Roberge est une blogueuse canadienne plus connue sous le nom de Sophielit. Cette ancienne enseignante de français en secondaire au Québec et passionnée de littérature jeunesse tente par tous les moyens d’intéresser les jeunes à la lecture. Depuis 2014, elle crée des cartes de métro littéraires sur son blog. Editions Thierry Magnier Que veut donc dire ce mot, genre et dans quel contexte se sont élaborées les diverses définitions ? Quelle est la différence entre « genre », « sexe », « sexualité », et ces mots sont-ils interchangeables ? Surtout, n'y a-t-il là que jeux de langage ? Prix littéraire théâtre Collidram Moi, Arcan de Henri Bornstein (Éditions Théâtrales Jeunesse)Au pied du Fujiyama de Jean Cagnard (Éditions Espaces 34)Folkestone de Sylvain Levey (Éditions Théâtrales Jeunesse)Cupidon est malade de Pauline Sales (Éditions Les Solitaires intempestifs) « Dans le train, tout à l’heure, en pensant à ce moment où j’allais me trouver devant vous, je me suis fait cette réflexion qu’écrire une pièce de théâtre était un processus étonnant et singulier. Écrire, pour moi, c’est révéler des morceaux de moi-même. Tous les personnages de Moi, Arcan, excepté vraisemblablement Louis Loizeau, sont des bouts de moi. Du coup, qu’un adolescent qui s’appelle Arcan né à Bagatelle dans un quartier toulousain qu’aucun de vous ne connait puisse vous émouvoir autant dans sa recherche d’identité témoigne d’un partage assez extraordinaire entre des bouts de nous. […] » Pour lire l’intégralité de la lettre d’Henri Bornstein, cliquer ici
TOPO - la revue d'actualité en bande dessinée pour les moins de 20 ans TOPO est une revue d’actualité en bande dessinée pour les moins de 20 ans. Sous forme de grands reportages, de chroniques ou de vulgarisation scientifique, en inscrivant les informations dans une continuité historique, TOPO décrypte le monde contemporain. TOPO a quatre objectifs : Raconter l’actualité en contextualisant systématiquement les informations.Redonner une profondeur historique aux faits culturels et sociétaux.Aider le lecteur à développer un sens critique et citoyen en lui donnant les outils nécessaires pour devenir un acteur du monde.Apprendre à lire les images en général et le dessin en particulier TOPO, c’est 144 pages et c’est tous les deux mois.
45 BD incontournables à lire Comme pour le genre romanesque, la bande dessinée possède aussi ses grands classiques. Elle se décline pour tous les âges : enfants, ados, adultes, et plait pour la qualité de ses dessins, la large part réservée à l'humour et le grand nombre d'aventures. Vous ne vous y connaissez pas trop en BD ? Voici un article qui devrait satisfaire votre curiosité en la matière. Nous vous avons préparé une liste non exhaustive de 45 BD ou séries de BD à avoir lu dans sa vie.
L'égalité, ça s'apprend ! Parce que parler d'égalité est l'affaire de toutes les éducations, pourquoi ne pas profiter du cadre de l'école pour l'aborder... Si la question de l'égalité vous intéresse en tant qu'enseignant·e et que vous souhaitez sensibiliser et travailler avec votre classe sur ce sujet, les médiathèques de Plaine commune vous proposent plusieurs formes de travail collaboratif : Un engagement simple comme la présentation et le prêt de documents sous forme de malles pour petits et pour plus grands. Un engagement plus soutenu sous forme de projets à plus ou moins long terme. Vous pouvez rencontrer votre bibliothécaire et lui soumettre vos propositions ou composer un projet ensemble. Création de livres, organisation de concours d'éloquence antisexiste, et même création de booktubes... les champs du possible sont variés !
- Pièce (dé)montée Les dossiers pédagogiques en ligne « Pièce (dé)montée » accompagnent des spectacles de l’actualité théâtrale en partenariat avec les grands lieux de création aussi bien de la région parisienne (Théâtre du Rond-Point, la Comédie-Française, l’Odéon-Théâtre de l’Europe, Théâtre du Soleil, Théâtre de La Ville...) que partout en France (Centres dramatiques nationaux d’Angers, La Criée à Marseille, Comédie de Reims ou de Dijon-Bourgogne, etc.). « Pièce (dé)montée » est également partenaire du Festival d’Avignon et du Festival d’Automne. Initiés en 2003 par le Canopé de l’académie de Paris avec le soutien de l’Inspection Générale Lettres-Théâtre, ces dossiers sont le fruit d’une étroite collaboration entre les équipes artistiques et les enseignants de différentes académies. Ils permettent une approche vivante et concrète des œuvres avant et après la représentation, dans la perspective d’une « École du spectateur » qui redonne toute sa place au processus de création scénique.
Des élèves impliqués dans la vie du CDI Par Caroline Delsart En collège, un groupe d’élèves volontaires et motivés s’est réunit en Communauté des Lecteurs Engagés Créac-Tifs. Ce groupe développe la coopération et s’implique dans la vie du CDI. « ça veut dire quoi pour les élèves : s’impliquer dans la vie du CDI ? Créer l’identité numérique de personnages de fiction Ce projet s’inscrit dans le cadre des TraAM EMI sur le thème “Apprendre par le jeu”. Nous vous proposons une séquence d’étude d’une œuvre intégrale. Il s’agit de réfléchir à l’identité numérique d’une œuvre, via un ou plusieurs personnages, tout en permettant aux élèves d’approfondir leurs connaissances de l’œuvre et de s’interroger sur leurs propres traces numériques. Cadre Noms et disciplines des enseignants impliqués : Benjamin AUBRY – Lettres Modernes – Collège Boulloche (Bart, 25)Marie-Paule FAIVRE – Documentation – Collège Pasteur (Jussey, 70)François JACQUEMIN-GUILLAUME – Lettres Modernes – Collège Pasteur (Jussey, 70)Catherine WOLF-CUPILLARD – Documentation – Collège Boulloche (Bart, 25)
Parler d’égalité filles/garçons avec des CM2 J’ai eu l’occasion récemment d’intervenir dans deux classes de CM2 pour parler d’égalité filles garçons. Et j’ai eu envie de vous parler un peu de mon intervention, même si c’était une première expérience et qu’elle est largement perfectible. J’avais demandé qu’une instit demande aux élèves de sa classe, de me dessiner « une fille et un garçon », sans plus de consigne que ça. Le but c’était de partir de leurs représentations (et j’en ai tiré plein d’enseignements). On a démarré de deux façons différentes.