Timisoara bis : le faux charnier d’Abu Salim (Libye) 2 octobre 2011 Article en PDF : Le faux charnier de Timisoara, Roumanie, 1989. Les fosses communes virtuelles des côtes de Tripoli avaient déjà très bien fonctionné en février dernier : avec une vidéo et quelques photos, le site internet américain One day on Earth avait fait passer comme telles la remise à neuf d’un cimetière en août dernier. Tout le monde y a cru, et même si la tromperie fut dévoilée quelques jours plus tard, qui l’a remarqué ? Ainsi que l’a enseigné la propagande nazie, dire d’énormes mensonges et les répéter comme un disque rayé paie ; les démentis ne sont plus entendus. Aujourd’hui, tous les membres belligérants de l’OTAN ne se sont pas encore entendus sur le renouvellement de l’opération Unified Protector, déjà reconduite par l’OTAN pour les trois derniers mois de cette année. Puis le CNT a pensé bon d’envoyer les journalistes sur place. Mais ça ne s’arrête pas là : CNN précise que, selon les “révolutionnaires” d’Abdel Jalil, le site a été identifié le 20 août.
La réaction des initiés et leurs doutes à propos de la version de la CIA concernant le 11/9 Les déclarations de l’ex-chef du contre-terrorisme à la Maison Blanche Richard Clarke continuent de faire des remous et de lever un peu plus le voile sur les dissimulations de la CIA avant et après le 11-Septembre. L’activiste Rory O’Connor et Ray Nowosielski, co-auteur du documentaire "Who is Richard Blee" (voir le site SecrecyKills), reviennent ici sur les déclarations des uns et des autres, et sur la façon dont ils ont eu à gérer à la fois les informations sur l’identité des deux agents de la CIA au coeur de cette dissimulation, et sur les menaces de la part de l’Agence s’ils les révélaient. Tom Kean, George Tenet, Richard Clarke, et le bâtiment du Pentagone en feu après l’attaque du 11 septembre 2011 La réaction des initiés et leurs doutes à propos de la version de la CIA concernant le 11-Septembre par Rory O’Connor et Ray Nowosielski, sur Salon.com, le 14 octobre 2011 Traduction Vincent pour ReOpenNews Tenet s’est-il trompé ? "Non, je ne pense pas qu’il se soit trompé," a répondu Kean.
La mission secrète des médias dominants Après avoir moussé la propagande de guerre contre la Libye de Mouammar Kadhafi, les médias dominants occidentaux feignent désormais la neutralité en « révélant » des faits ayant déjà été l’objet de nombreux reportages dans la presse alternative dès le début des combats l’an dernier : les pays de l’OTAN ont armé l’insurrection en Libye, assurant ainsi leur victoire, et les bombardements de l’Alliance ont tué des civils. Le New York Times constitue LA référence médiatique occidentale. Pourtant, le quotidien est tristement célèbre pour avoir eu des liens étroits avec la CIA. En octobre 1977, Carl Bernstein écrivait dans le Rolling Stone : « De toutes ces associations [avec la CIA], les plus précieuses étaient de loin celles avec le New York Times, CBS et Time Inc. » (Carl Bernstein, The CIA And The Media. Tactique semblable à celle du Times du côté de la BBC. Les médias canadiens suivent aussi cette tendance.
11-Septembre : L’ex-sénateur Bob Graham dénonce les dissimulations du FBI, documents à l’appui Voici une information de poids venant de l’ex-sénateur Bob Graham : ce dernier met directement en cause le FBI pour avoir dissimulé des informations avant septembre 2001 sur les liens possibles entre certains des pirates de l’air du 11/9 et le couple al-Hijji, de riches Saoudiens vivant à l’époque à Sarasota en Floride, et qui faisait l’objet d’une surveillance par le Bureau. Et il le fait en s’appuyant sur le contenu de documents classifiés auquel il a pu avoir accès récemment, et qui contredisent la version du FBI. L’ex-sénateur de Floride Bob Graham Bob Graham : Les déclarations publiques du FBI sont en contradiction avec les documents de l’enquête sur le volet « Sarasota » du 11-Septembre Par Dan Christensen et Anthony Summers, pour BrowardBulldog, février 2012 Traduction GV pour ReOpenNews « Il existe des incohérences substantielles entre les déclarations publiques faites par le FBI en septembre et ce que j’ai lu dans les documents classifiés, » a déclaré Graham. A lire aussi :
Comment la CIA pénètre nos médias. par Maxime VIVAS Est-il permis, sans se voir clouer au pilori des « conspirationnistes », de dire que les consommateurs de la « grande » presse française devraient réfléchir à ce qu’ils vont lire ici ? Que sait-on (de sources sûres) de l’infiltration de nos médias par la CIA ? Prenons le cas d’une richissime ONG que j’ai étudiée de près depuis quelques années et qui inonde les médias français d’un millier de communiqués par an, informations qui seront reprises, souvent sous forme de coupé-collé. Ainsi va se façonner l’opinion française, rendue méfiante à l’égard des pays dont les choix politico-économiques dérangent l’Oncle Sam. Mais d’abord, laissons la parole à des témoins peu suspects d’imprégnation marxiste : « La CIA contrôle tous ceux qui ont une importance dans les principaux médias. » William Colby, ancien directeur de la CIA. Et enfin un mot du journaliste New Yorkais John Swinton qui, le 25 septembre 1880, refusa de porter un toast à la liberté de la presse et s’en expliqua ainsi : Maxime Vivas.
L’ex-agent du FBI Ali Soufan accuse la CIA de dissimulation d’information avant les attentats du 11-Septembre [+ Vidéo] Ce témoignage-choc de l’ex-agent du FBI Ali Soufan – déjà cité dans nos pages pour avoir notamment interrogé le chauffeur de Ben Laden - devrait nous amener à une question simple et pourtant centrale dans ce qui ressemble fort à une immense opération de dissimulation de la part des agences de renseignement US et notamment de la CIA avant les attentats du 11-Septembre, et cette question est la suivante : "les choses se seraient-elles passées différemment si les pirates de l’air avaient été "employés" par la CIA ?" Car il faut bien mettre les points sur les i. La CIA les a protégés, leur a fourni des visas pour entrer aux USA, a tenté de les recruter (selon l’ex-chef du contre-terrorisme lui-même), a empêché toute fuite de remonter trop haut, et a soigneusement caché aux autres Agences de renseignement US les informations en sa possession sur ces futurs terroristes. Bref, hormis l’aspect évidemment immoral de cette hypothèse, par quels faits concrets est-elle démentie exactement ?
Il y a vingt ans, le faux charnier de Timisoara En décembre 1989, à la veille du réveillon de Noël, alors qu’en Roumanie tombait la dictature de Nicolae Ceausescu, les téléspectateurs occidentaux découvraient avec horreur les images d’un charnier où, affirmaient les envoyés spéciaux, gisaient des corps affreusement torturés. On parlait alors de quatre mille morts pour la seule ville de Timisoara. L’émotion soulevée était immense ; les éditoriaux solennels et les appels à l’action se multipliaient. En fin de compte, il s’avéra que les cadavres exhibés devant les caméras avaient été déterrés dans le cimetière des pauvres. Partisans de Ceausescu compris, la « révolution roumaine » avait fait quelque sept cents morts – moins de cent à Timisoara. Le bilan de l’attaque américaine au Panamá, qui s’était déroulée au même moment dans l’indifférence générale, s’élevait à près de deux mille morts… L’affaire de Timisoara devait jeter le discrédit sur des médias qui, jusqu’alors, bénéficiaient de la confiance de leur public.
A 24 ans, il construit un réacteur nucléaire à fusion dans son appartement ! Lundi 19 novembre 2012 1 19 /11 /Nov /2012 19:15 Julien S., 24 ans, vient de terminer la fabrication artisanale d’un réacteur nucléaire à fusion « froide » (à température ambiante) pour produire de l’énergie. Il veut, maintenant, convaincre la communauté scientifique. Le début de la réaction. C’est en glanant des informations sur le Web que Julien S., 24 ans, s’est formé à la fusion froide. Intense lumière blanche. Le laboratoire artisanal du chercheur en fusion froide. Production inexpliquée de chaleur. © Guillaume Pierre Un système 10 fois plus puissant en vue « La fusion froide n’est jamais qu’une astuce pour piéger deux atomes et les obliger à fusionner », estime Julien S. Principe de la fusion froide.
Affaire des couveuses au Koweït Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’affaire des couveuses au Koweït désigne le scandale du faux témoignage fait le , lors de l'invasion du Koweït par les forces armées irakiennes de Saddam Hussein, qui alléguait d'atrocités commises contre des nouveau-nés koweïtiens. Le témoignage se révèlera être mensonger et avoir servi à favoriser l'entrée en guerre des Occidentaux. Description[modifier | modifier le code] Le 14 octobre 1990, une jeune femme koweïtienne, appelée par les médias « l'infirmière Nayirah », témoigne, les larmes aux yeux, devant une commission du Congrès des États-Unis. « Monsieur le président, messieurs les membres de ce comité, je m'appelle Nayirah et je reviens du Koweït. En fait, ce témoignage était entièrement faux. La machination a fonctionné grâce à l'intervention de Lauri Fitz-Pegado, qui a convaincu les députés que l'identité n'était pas révélée pour protéger la famille de la jeune femme[4]. Voir aussi[modifier | modifier le code]
Quelques vidéos en slow motion Les vidéos filmés au ralentis continuent de me fasciner. Pas seulement parce que c’est beau et presque poétique, mais aussi parce qu’on voit des choses qu’on a pas le temps de voir en temps normal et c’est ça qui est la clé pour comprendre le monde : arriver à tout voir, y compris l’invisible. Par exemple, sur cette vidéo d’un disque dur filmé au ralenti on voit la tête de lecture faire un aller-retour sur le disque. Si on filme ça à grande vitesse, on voit qu’il en fait en réalité exactement 22. Voici une sélection de phénomènes filmés au ralentis : Je suis loin d’avoir tout mis, donc si vous voulez quelque chose en particulier, cherchez sur YouTube, il y a absolument de tout !
La science > le crime La science > le crime Ça va, ça digère ? Faites une pause dans votre procrastination et jetez un œil à ce court métrage baptisé TEMPO et réalisé par Seth Worley, qui fera plaisir à tous les scientifiques qui me lisent ;-) Merci à Simon pour le partage Source Vous avez aimé cet article ? Stargate et la science Stargate et la science Je continue de mater Stargate dans l'ordre en mixant SG1 et Atlantis et je me régale... Et là, je viens de tomber sur un reportage où Carter (Amanda Tapping) passe en revue les points communs entre cette série de SF et la science actuelle... Très sympa à regarder ! Vous avez aimé cet article ?
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