Comment produire des informations calibrées pour le mobile?
Crédit: Flickr/CC/leppre D’ici 2015, la majorité du trafic sur Internet pourrait se faire à partir d’un terminal mobile, et non plus d’un ordinateur fixe. En France, déjà 16,1 millions de personnes se sont connectées à Internet depuis un téléphone portable. «Le mobile n’est pas le prochain “gros truc”, déclare Ian Carrington, de Google . C’est déjà bien au delà de cela.» En plein essor, le téléphone distribue des contenus d’actualité, sous une autre forme et une autre temporalité que celle pratiquée sur les sites Web. Premières ébauches de réponses. Accompagner la mobilité Selon Jérôme Stioui, président de la société Ad4Sreen, qui donnera à la rentrée un cours sur les contenus mobiles à l’Ecole de journalisme de Sciences Po, «il faut se poser la question suivante: qu’est-ce qui fait que les utilisateurs vont éprouver le besoin de lire une information sur mobile plutôt que d’attendre d’être sur leur ordinateur?». Alpaguer des lecteurs sollicités en permanence S’adapter au tout petit écran
Les critères d’un contenu facebookable
Crédit: Flickr/CC/dkalo Il y a les titres «Google friendly». Maintenant, il y a les contenus «facebookables». Encore un mot anglais que j’aurais pu ajouter au jargon des journalistes en ligne. Selon le dictionnaire urbain, cet adjectif signifie que le contenu vaut la peine d’être publié sur Facebook et peut générer de l’intérêt auprès des 500 millions de membres et quelques du réseau social. Alors que le réseau social de Mark Zuckerberg vient de lancer une page intitulée Journalists on Facebook, de la même façon que Twitter répertorie les meilleures pratiques journalistiques, il faut croire qu’il y a une audience, sur Facebook, intéressée par la consommation d’informations. «Qui vous dit d’aller voir cet article?» Sauf que, d’après les expériences menées ici et là, les contenus d’informations ne vont pas tous de pair avec Facebook. Critère numéro 1 : Le contenu doit être visible dans le newsfeed de Facebook Le edge rank repose sur trois éléments: 1. Les contenus les plus partagés?
Tous scotchés au live
Mort de Mouammar Kadhafi, G20 à Cannes, matchs de foot, débats politiques… Le «live», ce format éditorial qui permet de raconter en temps réel un événement en mixant textes, photos, vidéos, contenus issus des réseaux sociaux et interactions avec l’audience, est un appât à lecteurs. La preuve par (au moins) deux: 1. selon les estimations, il récolte minimum 30% du trafic général d’un site d’infos généralistes – un pourcentage qui peut augmenter très vite en fonction de paramètres décrits ci-dessous. 2. Le «live» est un facteur d’engagement de l’audience, les internautes restant plus longtemps, beaucoup plus longtemps, sur ce type de format. >> Lire cet article en anglais >> MISE A JOUR: Ce lundi 14 novembre, France Télévisions lance sa plate-forme d’informations en continu, disponible sur le Web et sur mobile (1). Pour Nico Pitney, éditeur exécutif du the Huffington Post interrogé par le Nieman Lab, le «live» intéresse deux personnes sur trois. Le live est la nouvelle télé Et après?
Quel impact a le SEO sur l’écriture journalistique?
Ce dialogue n’est pas fictif. Il désigne l’impact de la titraille, comme on dit dans le jargon, sur le référencement d’un contenu journalistique dans Google – et l’agacement que, parfois, le phénomène suscite chez certains rédacteurs pour qui l’art de trouver un bon titre se situait plus du côté du jeu de mot intellectuel que de l’indexation robotique de contenus via mots-clés. Ce phénomène, en bon anglais, s’appelle le SEO, «search engine optimization». Crédit: Flickr/CC/BrunoDelzant Si les mots «Sarkozy», «Facebook», «Domenech» et «météo» sont cités comme des appâts, c’est parce que ces termes font partie des recherches les plus fréquentes en France, sur Google, depuis le début de 2010. Comprendre, d’abord, et s’adapter, ensuite Dans certaines rédactions est apparu petit à petit un nouveau métier: le spécialiste du référencement. Reste à expérimenter, à comprendre, et à savoir s’adapter. En avant les contenus! Prendre des gants Répondre aux questions des internautes Un scoop?
How Online Reading Has Evolved in 2011
This time last year I wrote a post outlining how online reading patterns had changed over 2010. The habits and products for reading on the Web have continued to evolve over 2011. This year, for example, Google+ arrived on the scene and changed the way many people find and discuss topical articles. In this post I identify two key trends in online reading over 2011, plus two main ways that our online reading habits have changed. Twelve months ago, when reviewing online reading over 2010, I concluded that "consuming content has become a more social, mobile experience." Remember that the iPad only launched in April 2010 and Flipboard in July. Two Key Online Reading Trends in 2011 1. Facebook and Twitter were joined this year by Google+, which has become particularly popular as a topic-based social network. 2. Apple released version 2 of the iPad in March. Last year's most popular reading apps, Flipboard and Instapaper, have also seen more competition in 2011. 1. 2.