Les salariés moins engagés, moins satisfaits et plus souvent absents en 2011 Les salariés étaient moins engagés au travail, plus souvent absents et globalement moins satisfaits de leur vie professionnelle en 2011 que l'année précédente, selon une enquête menée par le groupe de protection sociale Malakoff Médéric, rendue publique mardi. Selon cette étude annuelle "Santé en entreprise" réalisée depuis trois ans, 37% des salariés ont rapporté être fortement engagés en 2011, alors qu'ils étaient 42% en 2010 (-5 points). Les auteurs notent que la baisse de l'engagement s'observe chez toutes les catégories de salariés et plus particulièrement les ouvriers, y voyant dans un contexte économique tendu, le signe d'un "sentiment potentiel d'usure". L'indicateur de présence au travail s'érode également (à 45%, -4 points par rapport à 2010) tandis que les absences de courte durée augmentent de 5 points, 23% des salariés déclarant avoir pris un ou deux jours non prévu contre 18% en 2010.
Absentéisme en entreprise L'absentéisme au travail coûte 45 milliards d'euros par an L'absentéisme des salariés progresse: il atteint 16,7 jours en moyenne par an, selon une étude publiée ce 8 septembre. Si la santé est le principal motif invoqué, l'organisation, la charge de travail et le manque de reconnaissance sont aussi cités. "A l'hôpital, l'absentéisme est un cri d'alarme" Frédéric Kletz, enseignant à l'Ecole des mines et coauteur d'une étude sur le phénomène, alerte sur la nécessité de revoir l'organisation en profondeur. L'absentéisme est un fléau, mais pas une fatalité Lorsque l'absentéisme augmente, l'entreprise a, elle aussi, sa part de responsabilité. Comment soigner l'absentéisme ? Les absences à répétition coûtent cher à l'entreprise et pénalisent les salariés sur lesquels retombe le travail supplémentaire. Absentéisme au travail: 7 leviers pour réduire la facture Le présentéisme en entreprise bien plus coûteux que l'absentéisme L'absentéisme s'aggrave dans les PME L'absentéisme au travail
«À cause de la pression, je prenais sans cesse des congés maladie» VOS RÉACTIONS - Selon une récente étude, un salarié sur trois s'est arrêté de travailler au moins une fois en 2012. Comment comprendre que ce chiffre soit si élevé ? Réactions et témoignages. Lassé de la mauvaise qualité de ses conditions de travail? Empêtré dans ses difficultés pour concilier vie professionnelle et vie personnelle? Ou tout simplement... vraiment malade? Certains, comme Raboulis , ne se mettent en arrêt qu'en cas d'extrême nécessité: «Moi je n'ai eu deux jours d'arrêt maladie en 28 ans d'activité et c'était pour une fièvre de cheval.» Pour d'autres, les arrêts maladie surviennent à cause d'une pression professionnelle trop importante. «Il y a les vrais malades et les malades imaginaires» Qu'en est-il de ceux qui profitent du fait de ne pas avoir une réglementation claire pour s'absenter ? «Remettez le jour de carence, les maladies disparaîtront d'elles-mêmes» Et si le vrai problème était la suppression du jour de carence dans la fonction publique ?
Absentéisme au travail : haro sur les collectivités territoriales ? | Secteur Public & Santé Le sujet a émergé dans le débat public ces derniers temps, le plus souvent analysé comme la conséquence de la suppression du jour de carence dans la fonction publique, chiffres à l’appui. Certes, l’établissement du jour de carence avait permis de réduire de 10% en deux ans (2012 – 2013) le nombre d’arrêts maladie dans les collectivités territoriales, et ces arrêts sont repartis à la hausse de 6% dans l’année qui a suivi sa suppression[2]. Mais ce constat indéniable ne suffit pas à expliquer le phénomène, car même si l’analyse des remèdes à l’absentéisme, dont le jour de carence est un exemple, est utile et indispensable, elle ne doit pas prendre le pas sur un examen de la pathologie elle-même. L’absentéisme, un « virus du fonctionnaire » ? La tentation est grande de définir avant tout l’absentéisme comme le « virus du fonctionnaire », ce qui constitue une qualification simpliste et réductrice. Fonctionnaires territoriaux : des profils a priori plus exposés L’exigence croissante des usagers
Notions et enjeux de l'absentéisme en entreprise - Malakoff Médéric L’absentéisme (dû à la maladie) est un indicateur d’alerte, révélateur d’un dysfonctionnement dans la capacité des salariés à être présents au travail. Les causes des absences peuvent être liées à un état de santé déficient, à des formes de retrait plus ou moins prononcées, à des difficultés à articuler le temps de travail avec les obligations familiales, à l’usure et aux maladies professionnelles invalidantes. Les nombreuses explications varient fortement d’une entreprise à l’autre, et d’un secteur d’activité à un autre. L’absentéisme maladie n’est pas une fatalité. L’entreprise, quelle que soit sa taille, peut agir et prévenir durablement l'absentéisme maladie de ses salariés. L’absentéisme a un impact sur l’organisation du travail, les relations entre les salariés, la relation clients et la situation financière de l’entreprise. Anne-Sophie Godon, Directrice Innovation, études, veille Malakoff Médéric Pour comprendre l’absentéisme, un travail d’analyse fine des données s’impose.
La Dares souligne le rôle important des conditions de travail dans les absences au travail | Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact) Les enquêtes statistiques exhaustives sur l’absentéisme sont rares. L'étude "Les absences au travail des salariés pour raisons de santé : un rôle important des conditions de travail" publiée par la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) contribue à combler ce manque. Ses auteurs dressent un panorama de l'absentéisme professionnel au regard de différents facteurs, tels que la nature du contrat de travail, l'âge et le sexe, la catégorie socioprofessionnelle ou le secteur d'activité. En soulignant que l'exposition aux contraintes physiques et psychosociales est un facteur détérminant. Les caractéristiques des absences au travail des salariés sur la période 2003-2011 L’analyse de la Dares repose sur l’exploitation des données déclaratives de l’enquête Emploi en continu de l’Insee. Un taux d’absentéisme remarquablement stable dans le temps... ...mais qui connaît des des variations selon les caractéristiques des populations au travail
Absentéisme des fonctionnaires territoriaux : en 2014, plus d'arrêts courts et des absences longues qui s'allongent En 2014, 42% des agents ont été absents au moins une fois. Cependant, la suppression du jour de carence, en 2013, n’a pas provoqué une explosion des absences de courte durée : « En maladie ordinaire, le nombre d’arrêts pour 100 agents est passé de 48 à 54 en un an, et, si un peu plus d’agents ont été absents au moins une fois en 2014, on ne peut pas parler de flambée », souligne Pierre Souchon, directeur du département ingénierie services de Sofaxis. En 2014, les arrêts d’un jour ont représenté 8,7% du total des arrêts. Pierre Souchon souligne d’ailleurs qu’il y a probablement eu un effet de vases communicants, un certain nombre d’agents ayant préféré en 2012 et en 2013 prendre un jour de congé ou de RTT, plutôt que de se voir appliquer ce jour de carence. Le nombre total des jours d’arrêt, toutes natures confondues, est en moyenne de 24 jours par agent employé, soit une progression de 12 % en 5 ans. Un taux d’absentéisme de 8,7 % Des accidents du travail plus longs
Comment réduire le taux d'absentéisme en entreprise L’absentéisme est un comportement affectant la productivité au travail, défini comme des absences qui ne sont pas prévues à l’horaire, sont habituelles et évitables. Ces absences peuvent notamment inclure des journées de maladie, des congés imprévus et même des retards au travail. Inutile de dire que l’absentéisme est très coûteux pour les organisations, affecte leur productivité et diminue le moral général dans l’entreprise. Alors, comment pouvez-vous réduire votre taux d’absentéisme et éviter les conséquences qui y sont associées? Les quatre stratégies et tactiques qui suivent vous aideront certainement à atteindre votre objectif afin de réduire le taux d’absentéisme dans votre entreprise. 1- Analyser la source et la cause de l’absentéisme Comme avec n’importe quel problème, l’étape la plus importante est de procéder aux analyses nécessaires pour livrer un bon diagnostic. Une fois que vous aurez identifié la source du problème, la prochaine étape évidente serait d’identifier la cause.
L’absentéisme au Travail: Fléau ou opportunité de changement? | Si j'étais DRH... La France n’est pas seulement championne du monde du nombre de jours de congés payés, elle l’est aussi avec les jours d’absence au travail. L’ANACT définit l’absentéisme comme « toute absence qui aurait pu être évitée par une prévention suffisamment précoce des facteurs de dégradations des conditions de travail entendues au sens large » (les ambiances physiques mais aussi l’organisation du travail, la qualité de la relation d’emploi, la conciliation des temps professionnel et privé, etc.). Deux études menées récemment en septembre 2015 de l’institut Alma Consulting Group et du groupe Malakoff Médéric (Assurance santé et Prévoyance), révèlent une augmentation de l’absentéisme de 7.5% dans le secteur privé en 2014. La moyenne d’absence est de 16.7 jours par an et 36% des salariés ont eu au moins un arrêt dans l’année. Pour les entreprises, cette absence a un coût énorme. Pourquoi un tel absentéisme? Toutefois, il faut nuancer cette situation. Les leviers pour lutter contre l’absentéisme
L'absentéisme au travail coûte 60 milliards d'euros aux entreprises L'absentéisme au travail a marqué une «légère hausse» en France en 2014, les salariés s'absentant en moyenne 16,7 jours par an, selon une étude de l'institut Alma Consulting Group. L'absentéisme au travail a marqué une «légère hausse» en France en 2014, les salariés s'absentant en moyenne 16,7 jours par an, selon le septième baromètre de l'institut Alma Consulting Group. Dans le secteur privé, le taux d'absentéisme s'est élevé à 4,59% en 2014 (contre 4,26 l'année précédente), proche des 4,53% atteint en 2012. Cette tendance à la hausse s'est accompagnée d'un «allongement de la durée des absences, à l'instar des chiffres publiés par la Caisse Nationale d'Assurance Maladie», assure l'étude. De même, la part de salariés n'ayant eu aucune absence a légèrement baissé, pour s'établir à 53% (-2 points), d'après les DRH consultés.
4 leviers à actionner pour réduire l'absentéisme dans votre entreprise En 2016, l’absentéisme moyen en France s’élevait à 16,8 jours d’absence par an, par salarié. S’il n’est pas toujours facile d’en évaluer le coût global, certaines études estiment toutefois que ces absences répétées représenteraient une perte de 60 milliards d’euros par an pour les entreprises. Conscientes du défi que représente la réduction de l’absentéisme au travail, de nombreuses entreprises ont choisi d’en faire leur priorité. Notre équipe vous dévoile 4 leviers d’action pour réduire l’absentéisme au sein de votre entreprise. Analysez les causes de l’absentéisme Pour résoudre un problème, il faut en comprendre les origines ! Il est également important de bien définir les types d’absences pris en compte : accidents de travail ou de trajet, maladies professionnelles, absences injustifiées ou mal motivées, congés enfants malades, absences pour maladie ordinaires… En cadrant votre analyse, vous serez en mesure de mieux comprendre les mécanismes de l’absentéisme au sein de votre entreprise.
Absentéisme : les enjeux L’absentéisme est un indicateur fréquemment évoqué en entreprise pour caractériser sa performance. Un taux d’absentéisme élevé témoigne de dysfonctionnements divers, d’une dégradation des indicateurs sanitaires et sociaux de l’entreprise. Cette thématique est fortement discutée. Au-delà de ses incidences directes (remplacements, retards, report de charges de travail sur les présents), l’absentéisme relève de causes structurelles : accidents de travail, maladies professionnelles, problèmes de santé divers et usure professionnelle, avancée en âge, problèmes de conciliation avec la vie extra-professionnelle, etc. Ce n’est pas toujours le cas et il est important d’en analyser les manifestations qui sont toujours spécifiques à certaines situations. Etat des lieux Cette question est fréquemment posée. En tout état de cause, il reste abusif de parler d’une épidémie d’absentéisme et d’une explosion de la progression de celui-ci dans l’ensemble de la population salariée française.