Infoguerre bulletins-electroniques.com 1 an AID : Editorial d'Emmanuel Chiva Cette première année a vu la montée en puissance de l’Agence et fut ponctuée d’événements fondateurs : la tenue du 1er Forum Innovation Défense, le lancement opérationnel par la ministre des armées de l’espace de l’Innovation Défense Lab, la présence de l’Agence au salon VivaTech… et le dernier en date : l’ouverture inédite du défilé du 14 juillet par un volet innovation de défense, offrant ainsi une forte couverture médiatique à l’Agence. En même temps, l’Agence, chef d’orchestre de l’innovation de défense, a fédéré les acteurs du ministère pour le doter d’un document fondateur : le DOID, Document d’Orientation de l’Innovation de Défense. Il présente les ambitions du ministère en matière d’innovation permettant de garantir la supériorité opérationnelle des armées et l’autonomie stratégique de la France. Il prend en compte les nouvelles priorités que sont l’espace et l’intelligence artificielle. Cette première bougie n’est qu’un premier jalon. « N’ayons pas peur.
Actualité à la Une ARTE - Le dessous des cartes France : la reconnaissance faciale bientôt imposée pour accéder aux services publics ? D’après le journal Bloomberg, la France se prépare à devenir le premier pays européen à utiliser la reconnaissance faciale pour ses services publics. Il suffira pour cela de créer un compte Alicem depuis son smartphone. L’utilisation de cette application n’est pas obligatoire pour le moment, mais elle entre dans un projet plus large, qui est celui de la dématérialisation administrative globale d’ici 2022. Certains organismes ont exprimé leurs réticences face à cette décision, car les utilisateurs de l’application n’auront pas d’autre d’alternative possible que l’identification par reconnaissance faciale. La reconnaissance faciale appliquée à l’accès aux services publics sur smartphone Le ministère de l’Intérieur a commandé le développement d’une application sur smartphone appelée Alicem (Authentification en ligne certifiée sur mobile). Crédit : FranceConnect Deux points importants méritent tout de même d’être mis en évidence. Crédit : interieur.gouv.fr/Ministère de l’Intérieur
Tom Waits China Is Selling Autonomous Killer Drones to the Middle East Killbots Chinese military contractors have already started to sell dangerous, autonomous killer robots to customers in the Middle East. For instance, a Chinese company called Ziyan is actively marketing its Blowfish A3 — an autonomous helicopter-like drone armed with a machine gun — to international buyers, according to Defense One. While several countries have been working towards this tech for years, this news means we’re finally, and unfortunately, living in the era of killer robots. Deadly Exports While Ziyan works to sell its autonomous killbots to Saudi Arabia and Pakistan, the Chinese government is already entrenched in the killer robot trade. “As we speak, the Chinese government is already exporting some of its most advanced military aerial drones to the Middle East, as it prepares to export its next-generation stealth UAVs when those come online,” said Defense Secretary Mark Esper, per Defense One. Mixed Feelings
JSS News - Israël - Diplomatie - Géopolitique Robots tueurs autonomes : malgré une mise en garde de l'ONU, leur développement continue > Lire notre article : Robots tueurs : le problème reste entier et alarme les spécialistes Au delà du barrage russe, le groupe d'experts ne semble pas parvenir à se mettre parfaitement d'accord sur la définition exacte d'une "arme mortelle autonome" et a visiblement longuement tergiversé sur les problématiques liées à l'intelligence artificielle (IA) : la crainte de freiner le développement de cette technologie en interdisant les systèmes d'armement autonomes occupe visiblement les esprits. La réunion a tout de même accouché d'un communiqué signé par 26 États appelant à bannir les armes "entièrement autonomes" tout en réaffirmant l'importance du contrôle humain. Pour autant, la capacité de cette interdiction à entrer en actes concrets semble plus qu'incertaine, pour ne pas dire nulle… Il y a deux ans, le forum mondial de Davos avait déjà posé la question de cette "rupture dans l'art de la guerre" encore peu médiatisée à l'époque : Course entre grandes puissances