Le travailleur nomade, ce travailleur des temps modernes - Pour travailler autrement Travailleur nomade, portrait-robot À quoi il ressemble ce travailleur nomade dont le nom invite au voyage et qui donne l’impression qu’il a tout compris à la vie et au travail, tellement il semble épanoui dans sa vie ? Tout d’abord, c’est un homme ou une femme, freelance de préférence, ayant surtout besoin d’internet et d’un téléphone pour exercer son art. Dans certains cas, il peut être salarié dans l’une des quelques entreprises françaises qui se sont laissées tenter par le télétravail et qui offrent des conditions plus souples à leurs collaborateurs. Enfin, dans des cas plus rares, le travailleur nomade (appelons-le Camille) est bien celui qui voyage, qui passe de New York à Tombouctou en passant par Shanghai dans le week-end, et qui passe la moitié de son temps dans les transports. Aspirations & Ambitions Dès lors, confort et liberté doivent rapidement rimer avec délais et efficacité. Demain, tous nomades ? Il faut savoir se quitter parfois, pour mieux se retrouver.
Les entreprises ont tout à gagner à plus impliquer leurs salariés Dans une entreprise traditionnelle comme au sein d'une communauté, la réussite de projets passe avant tout par la motivation des personnes qui le font. Ce qui nécessite un climat de confiance et l'appartenance à un but commun. Entretien avec Tristan Nitot, président Mozilla Europe. L'Atelier : Faut-il être engagé pour évoluer et s'épanouir dans une organisation ? Tristan Nitot :L'engagement est un élément essentiel pour n'importe quel type de projet, en particulier quand l'organisation est habitée par une mission. Comment motiver le salarié de telle sorte qu'il donne à l'entreprise plus que ce que son travail nécessite ? Il existe plusieurs types de mécanismes pour engager le salarié. Donnez une mission, un but, une finalité à une organisation - si vos collaborateurs y adhèrent, alors ils s'engageront par eux même car ils feront partie d'une aventure qui va au-delà d'un bouclage trimestriel ou de chiffres de ventes.
Travail numérique Le travail numérique regroupe toutes sortes de travail rémunéré, mal rémunéré ou non rémunéré, mais aussi d'activités non reconnues, de l'ombre, parfois atypiques ou anodines, ainsi que des activités assimilées à du loisir, du partage ou de la coopération[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Externalisation des processus d'affaires[modifier | modifier le code] L'histoire du travail numérique est étroitement lié à l'histoire d'Internet et de l'externalisation (outsourcing) des processus d'affaires ou business process outsourcing (BPO)[4]. Au milieu du xxe siècle, les premières formes d'externalisation à l'étranger commencent à apparaître. Dans les années 1980, des entreprises telles que General Electric et American Express ont commencé à internationaliser leurs processus d'affaires en Inde[5]. Plateformes de travail numérique[modifier | modifier le code] Diversité[modifier | modifier le code] Le travail numérique est marqué par une grande diversité d'activités.
Travail collaboratif : définition et outils Cet article explique dans les grandes lignes ce qu’on entend par travail collaboratif et les outils TIC qui y sont associés. Définition C’est un travail réalisé en commun par plusieurs personnes aboutissant à une oeuvre commune (travail en groupe ou en équipe). Il suppose que les personnes interagissent pour accomplir l’objectif fixé, chacun selon ses compétences et le rôle qu’il joue dans la dynamique de groupe. Dans le cas où le but a atteindre est l’acquisition de compétences, on parlera plutôt de travail coopératif ou apprentissage coopératif. "l’apprentissage coopératif est une activité d’apprentissage en groupe, organisée de façon à ce que l’apprentissage soit dépendant de l’échange d’informations socialement structuré qui s’effectue entre les apprenants du groupe. Les outils Selon ce qui précède, les outils de travail collaboratif sont des outils qui doivent permettre le fonctionnement d’un groupe de travail. Ces outils peuvent se classer en quatre types :
Partage de l'information en entreprise : 46 % des salariés craignent des sanctions selon une enquête de Krauthammer " Les salariés ont de l'or dans les mains : leur savoir faire. Or, si 73% en sont conscients et partagent leurs connaissances fréquemment et bénévolement, beaucoup ont le sentiment que leur hiérarchie ne les soutient pas, souligne Steffi Gande. Ils privilégient donc les échanges entre eux. L'entreprise risque de se priver ainsi de ses expertises internes à l'heure où elle a tant besoin d'adaptations rapides 46% ont peur des sanctions. 73% diffusent leurs savoirs... mais en petit comité. Seuls 49% se sentent reconnus... ... et seuls 29% se disent coachés par leur manager. 72% réclament des objectifs idoines... " Ceci parait contradictoire, puisque l'apprentissage informel doit être cultivé de façon subtile, en " bottom up ", observe Steffi Gande. ...malgré un climat de défiance pour 65%. (1) Enquête réalisée durant l'été 2011 auprès d'un échantillon de 260 salariés et managers de tout niveau en Europe, surtout La France, l'Allemagne, la Suisse et la Hollande.
Révolution numérique : les effets sur l’emploi et le travail Comment anticiper les conséquences de la révolution numérique sur l'emploi ? C'est l’ambition du rapport du Conseil national du numérique (CNNum) remis le 6 janvier à Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social. Intitulé "Travail, emploi, numérique : les nouvelles trajectoires", ce document devrait alimenter la prochaine réforme du droit du travail. Plus de 50 auditions (sociologues, juristes, économistes, associations, syndicats, entreprises, etc) et une journée contributive, organisée en novembre 2015 au Conseil économique, social et environnemental (Cese), ont donné lieu à 20 recommandations. Objectif : répondre aux enjeux liés à la transformation numérique des entreprises, à l'automatisation des activités ou encore aux nouvelles pratiques numériques du service public. Valoriser la formation professionnelle La formation professionnelle doit également être valorisée en France. "Redonner du sens au travail collectif"
Amélie Voirin (Voirin Consultants) : "Un réseau social d'entreprise doit s'affranchir de toute notion de hiérarchie" - Réseau social d'entreprise : bonnes pratiques - Journal du Net Solutions JDN Solutions. Quels sont les prérequis à la réussite de son projet RSE ? Amélie Voirin. Elle repose sur quatre grands piliers. Ensuite, il est important d'avoir un outil, et d'être au claire sur les besoins, l'innovation, l'intelligence collective, et le renforcement de la culture d'entreprise. Le troisième pilier est celui de la vision, tenant compte du contexte et du besoin de définir une grande vision des objectifs à atteindre pour que les énergies soient concentrées pour atteindre un objectif commun. Enfin, le dernier pilier est le plan d'accompagnement, avec la déclinaison en actions concrètes de la vision. "Il faut que la direction soit présente mais pas omniprésente" Quels sont les clés pour faire de son projet RSE un succès ? Tout dépend du contexte dans lequel le réseau social d'entreprise va émerger. Il faut également miser sur le face à face, le RSE ayant vocation à créer du lien, et mettre une touche humaine sur le numérique, en ne négligeant pas le contact en présenciel.
Transformation digitale : l’évolution des mentalités avant tout Lorsque l’on parle de transformation digitale, il est souvent commun de se concentrer sur l’évolution technologique, la mise à disposition de nouvelles technologies (le big data, les objets connectés …). En somme, on innove et on se modernise afin d’être plus efficace. Mais cela va plus loin et les mentalités jouent un rôle essentiel. Devenir une entreprise « digitale » demande une vraie volonté de changer. © Pixabay La transformation digitale est ainsi bien plus que la seule accumulation d’actions isolées (présence sur les réseaux sociaux, utilisation des médias digitaux, mise en place de nouvelles technologies dans les métiers de l’entreprise). L’humain au coeur de la transformation digitale 57 % des entreprises françaises déclarent que la transformation numérique fait partie de leurs axes stratégiques à moyen terme. Si l’objectif premier d’une entreprise reste la satisfaction de ses clients (sans négliger la profitabilité), l’enjeu est de savoir comment y répondre plus efficacement.
Enseigner l’écriture collaborative dans le secondaire Le projet PRECIP est un projet sur l’enseignement de l’écriture numérique, porté par l’UTC et financé par la Région Picardie. Le projet s’intéresse moins aux pratiques numériques pour l’enseignement qu’à l’écriture numérique comme objet d’enseignement. L’écriture numérique est l’écriture sur un support et avec des outils numériques. Travail collaboratif [Identifier les enjeux du travail collaboratif] L'amélioration de la coopération La conséquence du développement de l'intelligence collective est l'amélioration de la coopération. Une coopération est totale quand le travail collectif correspond à un but commun. Nous pouvons concevoir la coopération interentreprise idéale comme une situation où deux ou plusieurs agents partenaires, sous l'égide de contrats, mettent en commun des ressources et des moyens complémentaires pour la résolution de problèmes, afin d'accomplir une ou plusieurs activités en commun. De façon plus concrète, dans le cadre d'une coopération au sein d'un réseau d'entreprises, les partenaires sont amenés à: communiquercoordonner les tâches et les rôlesrésoudre en commun les problèmes Le développement de l'intelligence collective Savoir mobiliser l'intelligence collective et les connaissances des parties prenantes dans les entreprises (salariés, fournisseurs, clients,…) est un enjeu vitale pour la création de valeur. La gestion de la connaissance
Tous les métiers sont influencés par le numérique
Une diaporama réalisée par Anthony Poncier (Head of Social and Digital France & EMEA) qui décrit le travail collaborative avec les avantage pour les société et les salariés by vegh_groupeb Mar 10