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Le neuromarketing lit-il dans nos pensées ?

Le neuromarketing lit-il dans nos pensées ?
Dernier-né des transferts entre sciences humaines et publicité, le neuromarketing se présente comme l’outil ultime de manipulation du consommateur. Doit-on craindre que ceux qui explorent notre cerveau puissent un jour commander nos achats ? Le marketing a toujours adoré les sciences humaines. Dès ses origines, comme le rappelle le psychologue Didier Courbet (1), il y a trouvé dans les différentes théories successivement en vogue des éléments pour peaufiner sa conception du consommateur et développer de nouvelles techniques de vente. Alors qu’ils partaient d’une approche rationnelle de l’individu, qui commande de mettre en avant les aspects utiles du produit, les hommes de la mercatique ont ainsi découvert au début du XXe siècle la psychanalyse. À rebours de leur croyance, elle décrit un consommateur aux prises avec son ça, « réservoir des pulsions profondes de l’individu ». Les neurones du Coca-Cola Des applications vagues Related:  emartinver

Neuromarketing Auteur : Yvan Valsecchi A - Les origines du NeuroMarketing. Des études de marchés, aux stratégies en passant par le mix-marketing, tout a toujours tourné, pour les responsables du marketing, autour de deux obsessions : pénétrer dans votre esprit pour connaître vos pensées et activer le bouton qui vous fera acheter. Que dois-je faire pour que mon produit plaise, pour que ma marque reste gravée dans la mémoire des consommateurs et comment agir sur leur comportement d'achat ? Au fil du temps, les traditionnelles recherches de marché, questionnaires, sondages, groupes de discussion ont montré leur limite. Elizabeth Loftus (Professeur de psychologie, Irvine, CA) a pu démontrer que les souvenirs pouvaient être largement déformés par des événements plus tardifs et notamment par des questions ultérieures. Alors comment mesurer de façon sûre et objective l'impact d'une publicité, d'une marque, d'un message publicitaire ? B - Peut-on lire dans les pensées ? Rassurés ? C - Sommes-nous manipulés ? A.K.

Quand les affiches publicitaires deviennent interactives Le leader mondial du mobilier urbain et de l’affichage publicitaire JCDecaux, lance une application innovante afin de transformer les affiches en médias et donner un certain relief aux abribus et autres colonnes Moris. Au menu, aucune caméra inquisitrice ou flashcode à scanner, mais de simples affiches à photographier. L’affichage publicitaire 2.0 a t-il trouvé une seconde jeunesse ? Lancée le 13 octobre, l’application de reconnaissance d’image baptisée U-Snap est gratuite pour les utilisateurs : « A chaque ouverture de l’application, l’utilisateur découvre les campagnes interactives du moment sur un carrousel d’images. Il suffit ensuite de trouver sur son parcours l’une ou l’autre des affiches en question et de les prendre en photo. Pourquoi faire du flashcode quand on peut faire simple ? Pour populariser cette nouvelle façon d’aborder la pub, le groupe a avant tout voulu faire simple. Invasion publicitaire ? Alors, le flashcode est-il déjà dépassé ?

Neuromarketing : Lire dans le cerveau XEnvoyer cet article par e-mail Neuromarketing : Lire dans le cerveau XEnvoyer cet article par e-mailNeuromarketing : Lire dans le cerveau Une évolution, pas une révolution Image à résonance magnétique fonctionnelle (IRMF), agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS), neurosciences, analyses cognitives, marketing sensoriel. Les marketeurs en rêvent, la science y travaille. Protocole complexe et coûteux Réaliser des études neuromarketing n'est en effet pas à la portée du premier venu, et le chemin jusqu'au scanner est semé d'embûches. Moins complexes à mettre en place, d'autres méthodes existent qui se basent elles aussi sur les neurosciences, comme l'explique Michel Badoc, professeur émérite de marketing à HEC : “Il est par exemple possible d'étudier les réactions du cerveau par le biais de la sécrétion d'hormones.” Le cerveau ne ment pas ? Les limites de l'exercice Aussi, les méthodes de marketing traditionnelles gardent-elles leur pertinence ? Par Olivier Faure

cnrs-mars_avril2012 La notion de besoins La notion de besoins On entend par besoin un sentiment de manque, d’insatisfaction lié à l’origine à une nécessité physiologique non contrôlée (manger, boire, ...) puis élargi à des champs plus vastes par la psychologie.Non comblé, inassouvi, le besoin crée chez l’individu une tension, une frustration. Le besoin est le point de départ de la consommation : sans besoin, pas d’achat.La force de la publicité repose majoritairement sur ces besoins, réels ou créés. Le produit ou le service est présentés comme le moyen de ne plus être frustré. Ne confondons pas le besoin et l'envie ! La pyramide des besoins de MaslowElle exprime schématiquement les besoins présents chez tous les individus de façon latente. Cette pyramide illustre le mécanisme d’ascension dans le besoin. Les besoins selon H. Exemples de publicités conçues sur la réponse à un besoin Évidents besoins d'estime (prestige, reconnaissance) et de domination : 250 cv, la plus puissante de sa catégorie ! Besoin de domination.

NeuroFocus Uses Neuromarketing to Hack Your Brain Photo by Gene Lee A.K. Pradeep knows what you like and why you like it. Take the sleek, slick iPad. Pradeep is the founder and CEO of science-based consumer-research firm NeuroFocus, a Berkeley, California-based company wholly owned by Nielsen Holdings N.V. that claims to have the tools to tap into your brain (or, as Woody Allen called it, "my second favorite organ"). On this particular spring day, he's in New York to offer a presentation at the 75th Advertising Research Foundation conference. Speaking with the speed and percussive enunciation of an auctioneer, Pradeep is at the conference today to introduce his company's latest innovation: a product called Mynd, the world's first portable, wireless electroencephalogram (EEG) scanner. These corporations share the same goal: to mine your brain so they can blow your mind with products you deeply desire. NeuroFocus CEO A.K. Orange cheese dust. For example, imagine that you are asked to generate an action verb in response to the word ball.

Neuroscience cognitive - Orientation Psychologie Cognitive Le groupe de recherche "Neuroscience cognitive" est dirigé par la professeure Daphné Bavelier. La plasticité du cerveau, cette capacité de remodeler les communications entre circuits neuronaux , est à la base de tout apprentissage. Quels sont les facteurs qui favorisent la plasticité du cerveau humain et facilitent l'apprentissage ? Nos recherches combinent des approches comportementales avec l'imagerie cérébrale pour étudier comment les êtres humains apprennent. Tendances Com | Le blog des tendances de la communication (publicité, marketing, web 2.0, internet, nouveauté, usage, innovation) You Love Your iPhone. Literally. But should we really characterize the intense consumer devotion to the iPhone as an addiction? A recent experiment that I carried out using neuroimaging technology suggests that drug-related terms like “addiction” and “fix” aren’t as scientifically accurate as a word we use to describe our most cherished personal relationships. That word is “love.” As a branding consultant, I have followed Apple from its early days as a cult brand to its position today as one of the most valuable, widely admired companies on earth. This past summer, I gathered a group of 20 babies between the ages of 14 and 20 months. Friends who have accidentally left home without their iPhones tell me they feel stressed-out, cut off and somehow un-whole. So are our smartphones addictive, medically speaking? Earlier this year, I carried out an fMRI experiment to find out whether iPhones were really, truly addictive, no less so than alcohol, cocaine, shopping or video games. My best advice?

Prise de décision et conditions environnementales Summerfield C., et al. Neuron 2011 ; 71 (4) : 725-36 Les lobes frontaux servent à la prise de décision ainsi qu’au contrôle du comportement et de la pensée. Une question importante est de savoir si des mécanismes frontaux distincts sous-tendent la prise de décision selon la variabilité de l’environnement. L’imagerie par résonance magnétique (IRMf) combinée à la modélisation mathématique montre que, dans des environnements stables, les décisions prises en réponse à des stimuli visuels impliquent les régions prémotrices latérales et médianes. Activations cérébrales obtenues en IRMf lors des décisions prises dans des environnements stables ou changeants Section coronale des lobes frontaux humains au niveau du cortex prémoteur (haut, y=0) et du cortex préfrontal (bas, y=24).

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