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Comment nourrir 9 milliards d’humains sans détruire la planète

Comment nourrir 9 milliards d’humains sans détruire la planète
La démographie sera assurément l’un des enjeux majeurs de notre siècle. Alors qu’un milliard d’êtres humains souffrent déjà de malnutrition, la population mondiale ne cesse de croître, pour atteindre sept milliards à la fin octobre, et plus de neuf milliards d’ici 2050. Dans le même temps, l’agriculture, qui ne parvient plus à nourrir toutes ces bouches, pollue toujours plus la planète, en dégradant les sols, les nappes phréatiques, la biodiversité et en rejetant 20 % des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Alors, comment concilier population grandissante et préservation de l’environnement et du climat ? « C’est la première fois qu’un tel éventail de données a été rassemblé au cours d’une même recherche. L’équipe a ainsi élaboré un plan en cinq points pour nourrir une population affamée sans détruire une planète menacée : 1/ Améliorer les rendements agricoles. 2/ Optimiser les apports aux cultures. 3/ Privilégier la consommation humaine directe. 4/ Réduire le gaspillage. Related:  classe inversee

Comment fonctionnent les masques de protection respiratoire Norme FFP2, masque chirurgical ou encore masque fabriqué maison… Ces mots ont envahi notre quotidien avec la pandémie de Covid-19. En tant que physiciens, il ne nous appartient pas de donner des recommandations sur l’usage de ces protections pour minimiser les risques de contamination. En revanche, nous pouvons nous intéresser aux mécanismes physiques mis en œuvre dans leur fonctionnement. Filtrer les aérosols En toussant, en éternuant, en parlant, ou tout simplement en respirant, nous produisons des aérosols : autrement dit, nous émettons dans l’air expiré des particules de tailles diverses. Les particules les plus grosses tombent rapidement au sol. En situation épidémique, on peut filtrer l’air à l’aide d’un masque pour protéger notre système respiratoire de ces aérosols chargés de pathogènes.

L'état réel des eaux en France : une vérité qui dérange Pour Hélène Roche, présidente du Comité Scientifique du WWF France, spécialiste au CNRS de l’évaluation des effets des substances chimiques dans les écosystèmes aquatiques, "on va ainsi pouvoir officiellement déclarer que certaines rivières sont « en bon état chimique » alors qu’elles sont contaminées par des substances dont les protocoles de mesures sont mal codifiés ou par des molécules qui ne sont tout simplement pas prises en compte – les PCB par exemple. Les rivières seraient donc officiellement en bon état alors qu’une contamination importante menace les espèces aquatiques et la biodiversité. Avec une telle sous-évaluation de la situation, on ne s’étonnera pas qu’un certain nombre d’espèces très sensibles aux polluants chimiques, comme les batraciens, figurent parmi les espèces aquatiques les plus menacées". Une surveillance biaisée Le WWF France soulève trois problèmes majeurs à l’origine d’une surveillance biaisée des eaux superficielles et souterraines :

La Mondialisation selon les BTSA AP1 » Comment l’agriculture a-t-elle évoluée à l’ère de la Mondialisation ? 3.4 % de l a population active en France sont agriculteurs contre 40% il y a 50 ans. On assiste de décennie en décennie à une véritable « ‘fuite » des agriculteurs. Ayant un intérêt particulier pour l’agriculture, nous nous sommes tout de suite penchés sur ce sujet. Pour répondre à cette question, au travers de documents appropriés traitant sur ce sujet, nous nous efforcerons de vous éclairer à ce propos. Source de la photographie : 1. La mondialisation a fortement bouleversée la logique agricole. source du document : En effet l’agriculture biologique est de plus en plus attrayante pour les agriculteurs en raison aussi bien des subventions venant palier aux coûts plus importants de ce mode de production, qu’aux attentes écologiques des consommateurs. 2. agricole en régulant pour le monde entier le cours des prix de tel ou tel produit agricole. 3. Conclusion :

Il faut défendre le lait populaire en Inde « Nous prenons soin des vaches et les vaches prennent soin de nous » déclare Marayal, une agricultrice de Thalavady, au Kerala. Ses deux vaches donnent de 6 à 10 litres de lait par jour, qu'elle vend entre 30 et 40 cents le litre. D'un bout à l'autre de l'Inde, on trouve des millions de petits producteurs laitiers comme Marayal. En Inde, soixante-dix millions de ménages ruraux, soit plus de la moitié du total des familles rurales, élèvent des animaux pour leur lait. Le secteur laitier indien emploie environ 90 millions de personnes dont 75 millions de femmes. On a beaucoup insisté sur l'importance des coopératives laitières de l'Inde dans la "révolution blanche" qui a vu la production de lait tripler entre 1980 et 2006. Durant les années 1980 et 1990, le Conseil national de développement laitier a mis en œuvre les deuxième et troisième phases du programme destiné à augmenter la production et la consommation du lait. Avis aux grandes entreprises : pas touche au lait populaire !

Des fonds d'écrans originaux créés par le studio Ghibli et Pixar pour vos visioconférences Si vous souhaitez personnaliser le fond d'écran de vos visioconférences, car vous en avez marre que vos collègues puissent voir votre lieu de vie, le célèbre studio Ghibli et Pixar vous proposent leurs créations. Pour le premier, on retrouve donc l'univers des films d'animation Le Voyage de Chihiro, Le Château Ambulant, ou encore Princesse Mononoké pour en citer quelques uns parmi les 8 fonds Ghibli. Pour Pixar, on est sur un autre registre avec Cars 3, Monstres et Cie, Ratatouille, ou encore Nemo notre petit poisson préféré. Attention, il est stipulé qu'il est interdit de les utiliser à des fins commerciales ou pour la publicité d'entreprises ou de produits. Ghibli Nausicaä de la Vallée du Vent Le Château dans le ciel Le Voyage de Chihiro Arrietty, le petit monde des chapardeurs Ponyo sur la falaise Le Conte de la princesse Kaguya Princesse Mononoké Le Château ambulant Pixar Ratatouille Rebelle Les Indestructibles 2 La-haut Le Voyage d'Arlo Toy Story Le Monde de Nemo Cars 3 Monstres et Cie 1001 pattes

Non aux fruits et légumes laissés pour compte ! Sus au gaspillage dans les jardins et vergers ! Fautes d'être récoltés, de nombreux fruits pourtant parfaitement consommables finissent leur vie ratatinés sur un trottoir ou rabougris dans un jardin abandonné. Plus grave : ils n'arrivent pas jusqu'aux personnes en difficulté financière, qui pourtant en auraient besoin. Las de ce constat, Thierry Deiller est parti en guerre contre ce gaspillage [...] Abonnez-vous pour avoir accès à cet article immédiatement ! Abonnez-vous à dijOnscOpe à partir de 5 €/mois. Je m'abonne En savoir plus ici (PDF) Déjà abonné ?

autosuffisance alimentaire Détroit, symbole international de l’industrie automobile américaine est aussi le « symbole de la post-industrialisation » d’après Grace Lee Boggs, depuis que ses habitants essaient de réinventer leur ville à partir de l’agriculture urbaine et de l’autosuffisance alimentaire. Détroit, la ville des « Big Three » – Ford, General Motors, Chrystler – fut le berceau de l’industrie automobile américaine. Un des carrefours névralgiques de la ‘Manufacturing Belt‘ (ceinture des usines), cœur industriel des États-Unis. Devenue la ‘Rust Belt’ (ceinture de rouille), cette région est souvent citée en exemple comme le symbole de la désindustrialisation et de la crise économique. Détroit en est l’exemple le plus abouti. Depuis 1950, la ville a perdu la moitié de sa population, passant de 1,8 million d’habitants en 1950 à quelque 700 000 aujourd’hui.

Bienvenue dans l’agriculture de demain, libérée des pesticides et du pétrole, et créatrice de dizaines de milliers d’emplois Ce jour de printemps, Charles Hervé-Gruyer est accroupi au pied d’une butte de terre et repique des navets. Autour, une mare et un cours d’eau où viennent se réfléchir les rayons du soleil, de quoi augmenter légèrement la température de la butte cultivée. Nous sommes ici sur une petite île de la ferme du Bec Hellouin, à une cinquantaine de kilomètres de Rouen, dans l’Eure. Un peu plus loin, un jardin-forêt – entendez, des arbres et arbustes fruitiers mélangés à des plantes aromatiques et médicinales – abrite les cultures des vents dominants. « Nous avons créé des petits milieux qui interagissent entre eux, avec une circulation de la matière organique », explique Charles. « Un cocon de nature vivante, protégée. » Sur son île, Charles Hervé-Gruyer ressemble un peu à un aventurier… de l’alimentation de demain. Toutes les semaines, 65 paniers de légumes issus de 2 000 m2 dédiés au maraîchage vont régaler les habitants du coin, de la région de Rouen et de Paris. Une agriculture sans pétrole

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