Au bout du fil Miserere (Allegri) Ce motet a été interprété pour la première fois le 12 avril 1639 dans la chapelle Sixtine[1]. Le Miserere a été chanté dans la chapelle Sixtine pendant la Semaine sainte lors de l'office des Ténèbres, comme premier psaume des laudes, jusqu'en 1870. Par la suite, l'œuvre a été récrite et complétée à plusieurs reprises, notamment par Mendelssohn en 1831. Le manuscrit originel est perdu. Il est certain qu'il n'existe aucun manuscrit, hormis ceux des archives du Vatican et une notation issue de Charles-Henri de Blainville[go 7], avant 1770[go 8]. Il existe une édition à l'université de Malaga[3] : [partition en ligne [archive]], dans une transcription par Nancho Álvarez[4]. Transcription des premières mesures. La seule source était le journal de Burney, intitulé The Present State of Music in France and Italy[5]. Une autre transcription, qui était loin d'être correcte, se trouve dans une des écritures de Charles-Henri de Blainville († 1769).
Ludexo / Gérer sa collection de jeux vidéo et la partager avec ses amis heavy metal Fonds sonores Découvert simultanément en 1877 par Charles Cros en France, et par Thomas Alva Edison aux Etats-Unis, le principe de l’enregistrement sonore et de sa restitution fait partie des inventions qui ont révolutionné nos pratiques culturelles. Dès les années 1880, des ethnologues, des linguistes mettent à profit le phonographe pour enregistrer des chants, des musiques, des parlers traditionnels. Ils constituent ainsi des archives sonores, mémoire de l’humanité. Parallèlement, une industrie du disque se met en place dans les années 1890, qui connaît très rapidement ses premières stars et une diffusion mondiale. Archives sonores inédites d’un côté, édition phonographique « commerciale » de l’autre : tels sont les deux pôles qui structurent et caractérisent la collection sonore du département de l’Audiovisuel de la BnF.
Les instruments transpositeurs, un casse-tête musical Il existe au sein de l’orchestre une famille d'instruments, nommée les instruments transpositeurs, dont la pratique s’annonce plus complexe que pour d’autres car elle nécessite une véritable prouesse mentale. Lorsque vous demandez à un pianiste de jouer un Do, il appuie sur la touche du Do, et ainsi sonne un Do. Mais lorsque vous demandez à quelqu'un qui joue d'un instrument à vent de faire un Do, la note entendue ne sera probablement pas la note souhaitée. L’instrument n’est pas cassé, il fait tout simplement partie d’une vaste famille d’instruments, ceux dits « transpositeurs ». Cela signifie que la note jouée sur un instrument transpositeur, comme une clarinette ou une trompette, ne ressemble pas à celle du même nom jouée sur un instrument non-transpositeur, tel que la flûte, le basson, le trombone, le tuba, le violon, l'alto, le violoncelle ou le piano. ⓘ Publicité Radio France ne vous demandera jamais de communiquer vos coordonnées bancaires. Pourquoi transposer ?
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