Participatif ou directif : quel style de management adopter Si le célèbre adage de Machiavel « diviser pour mieux régner » en a convaincu plus d'un en son temps, nul ne peut ignorer à présent sa désuétude. Aujourd'hui, deux tendances de management organisent le partage des responsabilités, rendant tour à tour le manager ferme et autoritaire ou souple et conciliant. Directive ou participative, deux théories s'opposent. Tour d'horizon Avec le management directif, le rôle du manager est essentiellement de superviser, évaluer et sanctionner le cas échéant. « L'approche directive est simple et très hiérarchisée. Le management participatif vise, de son côté, l'engagement de tous les salariés au processus décisionnel de l'entreprise, pour favoriser l'innovation et la motivation. Management directif : contrôlé mais frustrant « Le management directif a un côté rassurant pour beaucoup de salariés. Management participatif : motivant mais complexe Le meilleur des deux mondes Chaque mode de management présente donc ses atouts et ses risques. Fabien Dudon
Voici comment les grandes entreprises motivent leurs salariés Travailler chez Google, Microsoft ou Facebook, ça en fait rêver plus d’un. Dans la majorité des classements sur les entreprises où il fait bon travailler, ces multinationales caracolent généralement en tête de liste. Question d’image, de moyens financiers mis à disposition, de fidélisation des employés et d’attraction des meilleurs talents de ce monde. Et oui car pour attirer les meilleurs candidats, il faut les choyer, leur proposer des avantages qu’ils ne trouveront pas ailleurs, les faire se sentir unique, leur montrer que l’entreprise est (quasiment) prête à tout pour qu’ils se sentent bien. Mais comment font ces multinationales pour motiver leurs salariés? Motivation au travail rime avec avantages! Voici une infographie très complète réalisée par NexGeneration sur la manière dont ces grandes entreprises motivent leurs collaborateurs. Avantage proposés aux salariés de Google, Airbnb ou encore Facebook (Source: Nextgeneration) Les grandes entreprises ne s’y trompent pas.
Pourquoi Steve Jobs divise autant? «C'est un peu comme quand John Lennon est mort, ou JFK, ou peut-être Martin Luther King: c'est comme un grand trou qu'on ressent». Ce sont les mots de Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple, à la mort de son ami Steve Jobs. C’est aussi ce que le monde des nouvelles technologies et les fans d’Apple expriment depuis mercredi, date du décès. Mais Steve Jobs a longtemps suscité les divisions autour de sa personne, autant que les compliments et les élégies. Dans les années 70, Steve Jobs, qui travaille un temps pour Atari avant de fonder Apple avec Wozniak, en 1976, passe pour un arrogant effréné. Selon Andy Hertzfeld, salarié d’Apple des premières heures, «beaucoup d’employés avaient peur de Steve Jobs, à cause de ses crises de colères, de sa propension à dire aux gens exactement ce qu’il pensait, et qui n’était que rarement positif»… Le «dictateur» Un article publié dans le magazine Fortune l’été dernier allait dans le même sens. «Inhumain» Opacité
Save est passé de 3 collaborateurs à plus de 150 en 1 an - StartupBegins StartupBegins « Quand j’avais 16 ans, mes amis faisaient du baby sitting. Moi je faisais de la réparation d’ordinateurs » Le déclic Damien Morin Pour la petite anecdote, ça fait longtemps que je répare. « Save My Smartphone, c’est une entreprise qui fait de la réparation de smartphones et de tablettes » Le Pitch Damien Morin Save My Smartphone c’est une entreprise qui fait de la réparation de smartphones et de tablettes. A qui s’adresse Save My Smartphone? Damien Morin Il s’est vendu en 2014, dans le monde, 1, 3 milliards de smartphones. Sur notre marché, on a détecté trois grandes propositions de valeurs. « On est passé, en un an, de trois collaborateurs à plus de 150 » Les coulisses de la Startup Damien Morin Il y a deux ans et deux mois, j’ai créé une première boutique dans le 16 ème arrondissement à Paris. On fait partie en plus de l’écosystème de The Family. « il est important de recruter les bonnes personnes et d’avoir un cash management bien géré » L’équipe L’univers startup Les prochaines étapes
Le coworking s’étend partout en France : les raisons de s’y mettre Qu’ont en commun les termes Mutinerie, Beeotop, Ruche, Usine, Bocal, Vaisseau, Kabane, Arrêt Minute? Réponse: ils qualifient des espaces de coworking, lieux de travail partagés qui rassemblent des professionnels de tout horizon. Alors que le premier du genre a vu le jour à Paris en 2008, il en existe maintenant plus de 200 à travers la France. L’occasion de revenir sur les raisons d’une telle diffusion. Partager plus que de l’espace Loin de s’apparenter à de simples espaces de bureaux partagés, les espaces de coworking offrent un type d’organisation du travail qui permet de partager un réseau de travailleurs encourageant l’échange et l’ouverture. A Belfort par exemple, l’Usine permet aux coworkers d’expérimenter de nouvelles formes de travail et d’intelligence coopératives au sein d’un éco-système d’entreprises. Développer des atouts pour l’entreprise Les entreprises ont tout à gagner à tester la formule. Aperçu de l’étage chez 50 Partners – Photo: 50 Partners Redynamiser un territoire
Microsoft : changement de structure en vue ! (Boursier.com) — Microsoft a annoncé ce jeudi son intention de dissoudre ses huit divisions 'produit' existantes, afin d'adopter une nouvelle organisation en quatre nouvelles entités structurées autour de thèmes élargis. Le changement voulu doit aboutir à une meilleure collaboration. Steve Ballmer, le CEO du géant software américain, procèdera par ailleurs à une réorganisation managériale. Microsoft consolidera les systèmes Windows, Windows Phone et les logiciels pour Xbox en une nouvelle entité dirigée par Terry Myerson, en charge auparavant de l'ingénierie Windows Phone. La restructuration voulue par Ballmer doit aussi permettre de centraliser des fonctions, financières et marketing notamment, auparavant propres à chaque division...