ecash In the United States, only one bank implemented ecash, the Mark Twain bank and the system was dissolved in 1997 after the bank was purchased by Mercantile Bank, a large issuer of credit cards.[2] Similar to credit cards, the system was free to purchasers, while merchants paid a transaction fee. In Australia ecash was implemented by St.George Bank, but the transactions were not free to purchasers. In June 1998, ecash became available through Credit Suisse in Switzerland. It was also available from Deutsche Bank in Germany, Bank Austria, Finland's Merita Bank/EUnet,[3][4] Sweden's Posten, and Den norske Bank of Norway.[citation needed]
Le FMI félicite l’Islande pour son bras d’honneur aux banquiers Toute honte bue, l’économiste en charge de l’Islande au FMI admet que les insulaires ont fait le bon choix en refusant d’appliquer les cures d’austérité habituellement prescrites par les équipes de Christine Lagarde… Décodé, le style télégraphique du titre de l’article du 13 août de businessweek.com est éloquent : « Le FMI déclare que le plan de sauvetage à la manière Islandaise fournit des leçons pour les temps de crise ». L’article fait référence à l’interview récemment accordée à Bloomberg par la charmante Daria Zakharova, chef de la mission économique en charge de l’Islande au sein du FMI, qui tire les enseignements du « surprenant et puissant rétablissement » de sa « protégée ».
L'écologie industrielle condamnée à la théorie ? - Recyclage - Environnement Kalundborg. Cette ville du Danemark constitue encore le modèle à suivre des adeptes du concept d'écologie industrielle. L'idée paraît simple : considérer un territoire industriel comme un écosystème vivant. Au lieu du système linéaire industriel classique d'entrée de matières premières et de sortie de déchets, il s'agit de repenser le système circulairement. Bitcoin: de la révolution monétaire au Ponzi 2.0 Derrière l'idée révolutionnaire, libertarienne et anti-banques Bitcoin ne fait que reproduire un système injuste. Toucher aux règles monétaires n’a rien d’anecdotique. Lorsque nous dépensons, que nous travaillons, tous les jours, ce que nous faisons a un rapport avec la monnaie, sans même que nous y pensions. Que se passe-t-il alors lorsque des geeks créent une monnaie universelle, décentralisée, sécurisée, anonyme ? Lorsque ceux-ci peuvent faire du commerce en dehors de toute forme de contrôle, qu’il soit bancaire, étatique, ou fiscal ? En apparence, une révolution.
Michel Barnier explique l'architecture de la supervision de l'union bancaire européenne Le voile vient d'être levé sur plusieurs questions épineuses que posait la supervision de l'union bancaire européenne. Michel Barnier, commissaire européen chargé du Marché intérieur, a notamment expliqué ce vendredi 31 août que « la mise en ?uvre [de ce mécanisme de supervision] sera progressive », alors que le projet officiel doit être dévoilé le 12 septembre prochain. Strasbourg, première ville à distribuer du gaz issu de boues d'épuration Strasbourg, première ville à distribuer du gaz issu de boues d'épuration Strasbourg - La station d'épuration des eaux usées de Strasbourg va être la première en France à injecter le biométhane qu'elle tire des eaux usées dans le réseau de gaz naturel, à partir de 2015, ont indiqué mardi à l'AFP les acteurs du projet. Baptisé Biovalsan et lancé en 2012, le programme est entré dans sa dernière ligne droite, avec la pose mardi de la première pierre de l'unité où sera purifié le biogaz que produit la quatrième station d'épuration du pays. L'usine, exploitée par Lyonnaise des Eaux et Degrémont, devra fournir à partir de la mi-2015 quelque 1,6 million de m3 de biométhane par an au réseau de distribution du gaz naturel. Il s'agit de l'équivalent des besoins d'environ 5.000 logements à basse consommation. Le biométhane des stations d'épuration est produit grâce la fermentation, via des bactéries, des boues d'épuration, ces résidus de fin de parcours dans le traitement des eaux usées.
La COFIDES - Coopérative Financière pour le Développement de l’Economie Solidaire Nord Sud Assurance emprunteur - Les assureurs n'ont assurément plus le bénéfice du doute : les 16 milliards indûment versés aux banquiers doivent être rendus aux consommateurs ! L’UFC-Que Choisir se félicite de la décision rendue le 23 juillet 2012 qui ouvre enfin la voie à l’application de la loi sur la redistribution aux assurés des « bénéfices techniques et financiers » des contrats d’assurance-emprunteur. Cette décision majeure confirme officiellement le scandale financier dénoncé en 2007 par l’association (*1) et constitue une base incontestable pour que les consommateurs emprunteurs récupèrent enfin leur dû. L’UFC-Que Choisir avait assigné en justice en mai 2007 la CNP prévoyance, la Caisse d'épargne et de prévoyance ainsi que Cofidis et dans ce cadre, le Conseil d’Etat a été saisi. Aujourd’hui, la décision du Conseil est catégorique : selon la Loi, les assureurs auraient dû reverser à la fin du contrat les surprimes d’assurance qui n’ont pas servi à couvrir la réalisation des risques. Les montants sont faramineux (11.5 milliards pour les prêts immobiliers entre 1996 et 2005 et 4.5 milliards pour les crédits consommation entre 1997 et 2007).
Actualités Suite à l'étude de 2008 qui questionnait la rentabilité de l'écoconception, l'Institut de développement de produits (IDP) au Québec et le Pôle Éco-conception en France ont publié en janvier 2014 la nouvelle étude "La profitabilité de l'éco-conception : une analyse économique". L’hypothèse formulée : Plus l’intensité de la démarche d’écoconception est grande et plus la qualité générale de la gestion de l’entreprise est bonne, plus la rentabilité sera au rendez-vous. Une centaine d'entreprises témoignent des avantages compétitifs, qu'ils soient financiers ou organisationnels, de l'éco-conception. Retrouvez ici les faits saillants de l'étude
Open Bank Wall Street Legend Sandy Weill: Break Up the Big Banks - US Business News “What we should probably do is go and split up investment banking from banking, have banks be deposit takers, have banks make commercial loans and real estate loans, have banks do something that’s not going to risk the taxpayer dollars, that’s not too big to fail,” Weill told CNBC’s “Squawk Box.” He added: “If they want to hedge what they’re doing with their investments, let them do it in a way that’s going to be mark-to-market so they’re never going to be hit.” He essentially called for the return of the Glass–Steagall Act, which imposed banking reforms that split banks from other financial institutions such as insurance companies. He said banks should be split off entirely from investment banks, and they should operate with a leverage ratio of 12 times to 15 times of what they have on their balance sheets. Banks should also be completely transparent, Weill said, with everything on balance sheet. “There should be no such thing as off balance sheet,” he said.
RippleWiki France: les banques pourraient devoir rembourser des milliards à leurs clients Mes Listes Devenez Membre Boursorama Profitez de l'ensemble des services et des avantages destinés aux Membres en quelques secondes. Devenir Membre Brest - 29200 Crise financière: les régulateurs vs Goldman Sachs - Banque - E2 Coup de tonnerre à Wall Street. Goldman Sachs , l'une des banques les plus puissantes de la place, est attaquée par les autorités américaines de la SEC et britanniques de la FSA pour être un des responsables de la crise financière et d'en avoir profité.