Base de la semiologie générale Sémiologie (ou sémiotique) = science des signes Le fait que les sociétés ou les individus utilisent des symboles. La fonction symbolique est à la base de la culture, les cultures sont tissées de symboles. Définition générale de Charles S. Deuxième définition : C'est la capacité de se représenter l'absent. Symbole affectif Fréquent chez le petit enfant : Le doudou n'a pas de fonction pratique c'est un fétiche, il renvoie au sein maternel, permet au bébé de garder sa mère près de lui. Symbole par ressemblance objective symbole qui imite (portrait) ressemblance objective avec ce qu'il représente valable pour tous ex : code de la route, symbole dos d'âne : recherche d'une ressemblance La fonction symbolique basée sur une représentation objective s'installe très tôt chez un enfant et est la base de sa pensée. Symboles et signes sont des substituts représentatifs : Le signe comme le symbole se substitue à quelque chose d'autre et le représente. Définition linguistique du signe :
Analyse de pubs | Sémiologie de l'image fonctionnelle Travail d’analyse d’images de communication Le but de ce travail est de découvrir comment et pourquoi une image est efficace ou non lorsqu’elle a été conçue afin de transmettre un message précis. En utilisant la méthodologie décrite dans le Plan de cours, les étudiants doivent analyser deux images estimées au préalable comme étant l’une efficace et l’autre inefficace. Les réponses sont celles de participants à l’analyse choisis parce qu’ils correspondant à l’auditoire visé par ces images. Meilleurs travaux de 2012 : Exemple 1 Exemple 2 Exemple 3 Exemple 4 Exemple 5 Exemple 6 Exemple 7 Exemple 8 Pour les années précédentes, cliquez sur les images pour accéder au travail complet d’analyse. WordPress: J’aime chargement…
Sémiologie de l'image fonctionnelle PRÉSENTATION DE LA SÉMIOTIQUE Introduction Nous allons vous présenter une introduction à une forme particulière de ce que l'on nomme sémiologie et/ou sémiotique. Aujourd'hui encore, le terme de "sémiotique" est en fait relativement peu connu du grand public, et même dans le secteur des sciences humaines, à la différence du mot "sémiologie" mis à la mode par l'illustre R. Barthes. Pour l'instant nous ne ferons pas de différence entre ces deux termes qui recouvrent le même domaine d'étude ou plutôt le même objet : le langage sous toutes ses formes. Étymologiquement, les mots "sémiotique" et de "sémiologie" viennent tous deux du grec SEMIO qui signifie signe. 1. Nous allons présenter les différents concepts linguistiques qui ont entraîné l'émergence de la sémiotique et/ou sémiologie. 1.1. 1.2. C'est Barthes qui va proposer de construire la sémiologie : "science qui étudierait la vie des signes au sein de la vie sociale", telle que, dès 1910 Ferdinand de Saussure l'avait postulée dans son Cours de linguistique générale.
Les applications de la sémiotique à la communication des organisations 1L’objectif central de ce numéro vise à fournir un état de lieu de (quelques) apports et contributions, existants et possibles, de la sémiotique-sémiologie au domaine des sciences de l’information et de la communication des organisations. Pour ce faire, les textes qui suivent présentent différentes façons d’analyser la communication des organisations en tant que phénomène fondé sur la production et circulation du « sens » et des « signes ». Ces types d’analyse scientifique manifestent toutes, dans des formes et à des degrés différents, la présence de concepts, approches et modèles « sémiotiques », qu’il s’agisse de chercheurs positionnés dans le champ disciplinaire des sciences du langage ou dans celui des SIC. 2Peut-être, est-ce à cause de leur évolution assez parallèle, sur le plan théorique et académique, que les deux groupements disciplinaires ont eu parfois la tendance à développer des formes d’ignorance réciproque, ou de réductionnisme mutuel.
Sémiologie de l'image Ces deux termes sont synonymes. L’un et l’autre ont pour objet l’étude des signes et des systèmes de signification. Sémiologie renvoie davantage à Saussure, à Barthes, à Metz et de façon plus générale à la tradition européenne où les sciences dites humaines restent plus ou moins attachées aux mouvements littéraires, esthétiques et philosophiques. Sémiotique renvoie à Peirce, Morris et plus généralement à une tradition anglo-saxone marquée par la logique. Pour les pères fondateurs de la sémiologie, (Ferdinand de Saussure 1857-1913), la sémiologie est un vaste domaine scientifique dont la linguistique est un élément. Roland Barthes, dans les années 60, inversera la proposition et fondera la sémiologie de l'image en empruntant à la linguistique ses concepts. Marquée par le structuralisme (Lévi-Strauss) la sémiologie postule l’objet (texte, image, film...) comme principal lieu du sens et la langue comme le fondement de tout système de signe (Jacques Lacan).
Langage et communication Les langues ne sont pas tout à fait un produit de la nature dans le sens qu'un enfant ne peut pas acquérir une langue sans être plongé préalablement dans un bain linguistique spécifique ; mais les langues ne sont pas non plus un produit de la culture car on ne peut pas changer le système d'une langue par décret. Les langues naturelles sont appelées ainsi car elles n'ont pas été inventées par les humains, contrairement aux langues artificielles que sont les langues fabriquées par les utopistes comme l'esperanto ou le langage informatique. Toutes les langues possèdent une grammaire, c'est à dire un système de règles, même celles qui n'ont pas de code écrit. La linguistique est un sous-ensemble de la sémiologie, la science qui étudie les signes. Le signe 1 : Il s'agit d'un élément cognitif qui comprend les indices, les signaux, les icônes, les symbôles et aussi les signes linguistiques. Il y a des signes naturels et des signes artificiels. Le signe linguistique (signe 2)
Analyser une publicité La pub est partout, c’est une évidence. Tous les jours ce sont des dizaines, voire des centaines de messages publicitaires que nous recevons, la plupart du temps sans qu’on nous en laisse le choix. Les images sont donc omniprésentes dans notre quotidien (affiche, magazine, cinéma, télé, Internet, jeux-vidéo, téléphone portable…). Or l’Education Nationale n’a pas encore, semble-t-il, vraiment intégré cette donnée. Débuter par l’analyse de publicités comporte un avantage certain : leur but est clair, nous faire aimer un produit ou une marque et, indirectement, nous faire acheter l’article vanté par la pub. Analyser des images c’est passer par la sémiologie – par l’étude des signes – science que l’on doit au linguiste Ferdinand de Saussure, reprise ensuite par Roland Barthes, notamment dans son étude de la publicité Panzani (datant des années 60) qui demeure encore un modèle du genre. 3) L’Italie Eternelle : Imaginez un Parisien blotti dans son métro un jour d’hiver pluvieux.
Analyse de l’image Guide pour l’analyse de l’image. Le guide ci-dessous est proposé en réaction aux nombreuses et inutiles « grilles d’analyse de l’image »?, qu’on applique en toute saison sur n’importe quelle image, avec n’importe quels élèves… C’est une démarche plus exigeante et moins trompeuse qu’on adopte ici. On trouvera ci-dessous la proposition de guide pour l’analyse, et quatre notions clés mobilisées dans le guide : le cadre, le récit, le réel, le temps. Le guide Distinguer trois domaines… 1. 1. quel auteur,quelle instance de production,qui «parle» à travers tel type d’image : l’annonceur, le publicitaire, l’auteur… 2. quelle diffusion,quels supports (magazine, télé, panneaux…),quels lieux,quel public,quelle durée d’exposition,quelle date,quelle audience…. 3. 2. 1. éléments visuels appartenant ou prélevés dans la réalité ;éléments visuels reconstitués, joués ;trucages (visibles, perceptibles, imperceptibles mais supposés…) 2. historique,géographique,économique,socioculturel… ? 3. 4. 3. 2. Mouvements 3.
PHOTO. Le Che, guerrier héroïque : comment une photo finit sur nos t-shirts - 8 août 2015 Cet été, "l'Obs" revient sur les photos qui ont marqué l'histoire. A la une des journaux, dans les pages de nos livres d'histoire, voire arborées fièrement sur nos t-shirts, elles ont fait le tour du monde. Mais connaissez-vous l'histoire secrète de ces clichés mythiques ? Le Che, air grave, est... à un enterrement Que montre la photo ? Che Guevara photographié le 5 mars 1960 par Alberto Korda Une image recadrée... qui reste d'abord dans l'ombre Chose peu connue, la photographie initiale a été recadrée afin de n'afficher que le révolutionnaire. L'auteur de cette photographie mondialement connue est Alberto Korda, un fervent révolutionnaire communiste. La première version publique de cette photographie sort en 1961, pour illustrer un reportage du journal "Revolucion" sur le Che. La célébrité... et la question des droits d'auteur Si cette image a tant été reprise sur toutes formes de support, c'est grâce à une faille… dans les droits d'auteur. Alberto Korda, photographe personnel de Castro
La Glottophobie, un concept pour analyser les discriminations linguistiques À propos Le blog Connexion PREFics – Pôle de Recherche Francophonies, Interculturel, Communication, Sociolinguistique La Glottophobie, un concept pour analyser les discriminations linguistiques Communication de Philippe Blanchet au séminaire du programme DYNADDILIF (PREFics) DATE 02-12-2011 DURÉE 00:39:29 GENRE Conférence PUBLIC Tous publics DISCIPLINE Sciences du langage Linguistique, Sociologie, Sociolinguistique Auteur Philippe Blanchet Réalisateur Philippe Marzin Producteur Université Rennes 2 Résumé Une communication de Philippe Blanchet au séminaire du programme DYNADDILIF, PREFics. La glottophobie est une phobie qui passe inaperçue et qui est, de ce fait, considérée comme légitime. Aller plus loin Ressource disponible sur... France Culture Plus Partager cette ressource Intégrer cette vidéo Générique Réalisation et montage Philippe MarzinProduction Université Rennes 2 – CREA / PREFics Conditions d'utilisation discriminations glottophobie linguistique Sociétés sociolinguistique
Cahiers de praxématique Sémiozine L’utilisation du drapeau dans la communication internationale des entreprises 1Imaginons pendant quelques instants les impressions visuelles pouvant guetter un client du groupe AIR FRANCE. Qu’il consulte la brochure touristique de Jet-Tours ou son titre de transport, qu’il embarque à bord de la navette routière pour se rendre à l’aéroport ou qu’il patiente en observant les jumbos alignés sur le tarmac, il est confronté à une politique de couleur qui s’articule avec insistance autour du tricolore hachuré, logo omniprésent de l’entreprise depuis une dizaine d’années. 2Il est partout et impérieux : seule note de couleur sur la blancheur glacée de la couverture des rapports d’activité, déployé fièrement sur l’empennage des appareils, polymorphe au point de devenir pirogue au Sénégal, coquillage en Polynésie, cornemuse en Écosse, allant même jusqu’à s’immiscer dans le plumage de l’hippocampe ailé, son prédécesseur et emblème historique de la Compagnie. 4L’exemple d’AIR FRANCE illustre avec éclat les relations que la publicité peut entretenir avec la vexillologie.