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Le texte de théâtre

Le texte de théâtre

Quelques définitions du lexique du genre théâtral Quelques définitions du lexique du genre théâtral. I. L’expression de la parole Didascalie : indication de mise en scène donnée par l'auteur en marge des répliques. Réplique : tout propos que prononce un personnage, qu'elle qu'en soit la longueur. Stichomythie : dans le théâtre en vers, succession rapide de brèves répliques d'égale longueur, correspondant bien souvent à un affrontement. Répartie : réplique assez courte contenant un effet (étonnement, rire.). Tirade : longue réplique ininterrompue d'un personnage. Monologue : tirade récitée par un personnage se trouvant seul sur scène ce qui permet de connaître ses sentiments. II. Double énonciation : au théâtre un personnage parle à un autre, et les deux s'adressent en fait indirectement aux spectateurs. L'aparté : réplique prononcée en présence d'un autre personnage qui est supposé ne pas l'entendre, destinée en fait au public. Le faux dialogue : il consiste à faire répéter à l'intention du public des informations déjà données. III. IV.

L'ironie L'ironie est une forme d'expression dans laquelle on se moque de quelqu'un, d'un adversaire ou d'une idée. Elle consiste essentiellement en un écart, un décalage entre ce qui est dit et ce qui est pensé. C'est une forme argumentative, mais aussi narrative et dramatique. Plusieurs procédés rhétoriques sont couramment employés dans un but ironique: l'antiphrase, qui consiste à dire le contraire de ce que l'on pense et que l'on veut faire comprendre. Mais l'ironie est essentiellement un fait d'énonciation. Dans une argumentation, l'ironie consiste à faire semblant de donner la parole à son adversaire, à le citer pour mieux montrer que ses idées sont absurdes, odieuses ou ridicules. Dans un récit, l'ironie tient souvent à une opposition entre le narrateur et le point de vue. Au théâtre, l'ironie dramatique se produit quand un des personnages présents sur scène ignore quelque chose que les autres et les spectateurs savent. 1.

L'école des femmes, Molière : résumé scène par scène Voici un résumé de L’école des femmes de Molière. Tu peux trouver ici une fiche de lecture complète sur L’école des femmes (avec l’analyse du contexte, des thèmes de la pièce et de ses spécificités dans l’œuvre de Molière). Résumé de l’acte I de L’école des femmes scène 1 Le rideau se lève sur une conversation entre Arnolphe et Chrysalde. Arnolphe annonce à son ami Chrysalde qu’il va épouser le lendemain une jeune demoiselle. Afin d’éviter d’être un jour cocu, Arnolphe fait part à son ami des précautions qu’il a prises. Il est en effet devenu tuteur d’une jeune enfant de quatre ans qu’il a confié à un couvent en prenant soin qu’elle soit gardée dans l’ignorance et à l’écart des choses de la vie. Cette jeune fille, Agnès, a aujourd’hui 17 ans (Arnolphe en a 42) et il compte l’épouser. Arnolphe raille les nombreux maris cocus et assure que l’innocence et l’esprit simple d’Agnès le protège de tout risque d’être un jour cocu. scène 2 et 3 scène 4 Résumé de l’Acte II de L’école des femmes scène 1 et 2

méthodologie : le commentaire Mme Chomienne, Classes de seconde et de première Le commentaire Méthodologie Les phrases suivantes proviennent toutes de vos paragraphes. Toutes ont leur intérêt mais elle manque de méthode. Saurez-vous retrouver le défaut de chacune ? L'analyse du procédé n'est pas faite. Il cite les conséquences que le stratagème va avoir sur elle: "elle se débattra", "faible", "honteuse" ce qui prouve bien la méchanceté de ce personnage. ... L'analyse se conclut par de la paraphrase. Dans cet extrait, Dubois cherche à mettre en place un stratagème afin de permettre le mariage de Dorante et Araminte. La phrase est sans rapport avec l'idée du paragraphe. En effet dans cette réplique on peut voir une allitération en "s" qui fait ressortir le côté serpent de Dubois, sa méchanceté envers Araminte. Il manque une citation précise du texte. En soumettant sa vision des faits, Dubois utilise un langage plutôt violent et cruel. L'expression est très maladroite. C'est une affirmation non prouvée et hors-sujet Sommaire Relevé

L’École des femmes Avec Pierre Arditi (Arnolphe), Agnès Sourdillon (Agnès), Olivier Ythier (Horace), Christian Bouillette (Chrysalde), Gilles David (Alain), Martine Thinières (Georgette), Thierry Gibault (le notaire, Enrique), Daniel Delabesse (Oronte). Un film produit par Arte France, La Compagnie des Indes, Le Théâtre de la Commune-Centre dramatique national d’Aubervilliers. 2 h 30 min mercredi 19 janvier 2005, 22 h 45 L’émission Obsédé par la crainte du cocuage, Arnolphe fait élever dans la plus grande solitude et la plus totale ignorance l’Agnès dont il fera son épouse. Or tout se détraque : un jeune blondin a séduit la jeune fille qui découvre l’amour. La démarche [Français, 3e-2de] Un genre hybride Dépassant le simple divertissement pour dire des choses sur la nature humaine en faisant rire, l’œuvre « se balade entre comédie et tragédie », et ses représentations ont toujours oscillé entre ces deux pôles. Un dispositif scénique original et significatif Les costumes Agnès, Horace : le triomphe de la vie

Mises en scène de L’Ecole des Femmes Mises en scène existantes ► L’enregistrement audio de la pièce par Louis JOUVET et sa compagnie est en vente sur Livraphone. Quelques avis de colistiers sur la mise en scène de Didier BEZACE ► « Je passe souvent le début aux élèves, mais je trouve l’actrice qui joue Agnès, et surtout sa voix, insupportables. Travail sur la mise en scène de Didier BEZACE en comparaison avec d’autres ► Comparaison avec la mise en scène de Jacques LASSALLE : « L’année dernière j’ai travaillé sur la mise en scène à Avignon, avec Arditi, et avec la mise en scène de Lassalle. Merci à Elodie BENARD, Marie CASTELLA, Corinne DURAND-DEGRANGES, Marie-Christine GAUTRONNEAU, Ingrid LESUEUR, Lilianne MARTINET, Ann MICHENET, Laetitia MONTSERRAT, Claudie RIGAUX, Régine STRAHAIANO-FAVOT, Marie-Annick TILLY, Muriel VELTY LEBRETON.

LE CLASSICISME - Je veux vous parler encore avec la même sincérité que j'ai déjà commencé, reprit-elle, et je vais passer par-dessus toute la retenue et toutes les délicatesses que je devrais avoir dans une première conversation, mais je vous conjure de m'écouter sans m'interrompre. Je crois devoir à votre attachement la faible récompense de ne vous cacher aucun de mes sentiments, et de vous les laisser voir tels qu'ils sont. Ce sera apparemment la seule fois de ma vie que je me donnerai la liberté de vous les faire paraître; néanmoins je ne saurais vous avouer, sans honte, que la certitude de n'être plus aimée de vous, comme je le suis, me paraît un si horrible malheur, que, quand je n'aurais point des raisons de devoir insurmontables, je doute si je pourrais me résoudre à m'exposer à ce malheur.

La Critique de l'École des femmes La Critique de l'École des femmes est une comédie en un acte et en prose de Molière, lancée au Théâtre du Palais-Royal le vendredi 1er juin 1663. Résumé[modifier | modifier le code] Deux femmes, Uranie (en référence à la muse de l'astronomie) et Élise, reçoivent des connaissances, et tous discutent de la pièce L'École des femmes qu'ils viennent de voir. Chacun possède un avis tranché : les uns ont aimé, les autres non. Dans le camp des « contre », il y a le pédant Lysidas, auteur jaloux du succès de la pièce, le Marquis, personnage sot et prétentieux et Climène, qui affiche une pudeur et une dévotion aisément froissées. Dans le camp des « pour », on trouve Dorante, ami de Molière, homme posé et tranquille, Uranie, la maîtresse de maison, et Élise, femme d'esprit, qui feint de soutenir le parti adverse, soulignant par son approbation indéfectible la faiblesse ou l'ineptie des arguments de ceux-ci. Chacun reste sur ses positions, et l'annonce du souper servi sert de dénouement.

Mise en scène de Eric Vigner, Comédie Française, 1999 Les différences entre les mises en scène Résumé édition "pocket" de l'Ecole des femmes, Molière Résumé Acte III, scène 2, l'Ecole des femmes, Molière Mise en scène de Robert Manuel, Théâtre de la princesse de Monaco, 1995.

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