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Fiche Personnages Principaux - Famille Tartuffe - Fiche Bac Présentation des personnages de Tartuffe gratuite à télécharger Ce document est un récapitulatif des personnages de Tartuffe, une oeuvre qui fait partie des textes à étudier pour les épreuves anticipées du Bac L 2013. Cette fiche vous sera nécessaire pour réviser cette oeuvre qui présente de nombreux personnages. Tartuffe est un escroc issu d'une famille pauvre qui a réussi à obtenir les grâces d'Orgon, riche père de famille à Paris. Les autres membres de la famille qui ont compris la vérité tentent tout pour lui ouvrir enfin les yeux. Téléchargez sans plus attendre ce récapitulatif des personnages de Tartuffe gratuitement. I. Tartuffe est le personnage principal de cette pièce et son titre est son propre prénom. Ainsi, sachant que celui-ci est un homme dévot, il a feint d'en être également un. Aussi, malgré le fait qu'il s'offusque du décolleté de Dorine (v860), on remarque que les femmes l'attirent beaucoup et en particulier Elmire. II. Orgon est le père de famille de la maison. III.
L'ironie L'ironie est une forme d'expression dans laquelle on se moque de quelqu'un, d'un adversaire ou d'une idée. Elle consiste essentiellement en un écart, un décalage entre ce qui est dit et ce qui est pensé. C'est une forme argumentative, mais aussi narrative et dramatique. Plusieurs procédés rhétoriques sont couramment employés dans un but ironique: l'antiphrase, qui consiste à dire le contraire de ce que l'on pense et que l'on veut faire comprendre. Mais l'ironie est essentiellement un fait d'énonciation. Dans une argumentation, l'ironie consiste à faire semblant de donner la parole à son adversaire, à le citer pour mieux montrer que ses idées sont absurdes, odieuses ou ridicules. Dans un récit, l'ironie tient souvent à une opposition entre le narrateur et le point de vue. Au théâtre, l'ironie dramatique se produit quand un des personnages présents sur scène ignore quelque chose que les autres et les spectateurs savent. 1.
Etude des personnages de Manon Lescaux - Manon Lescaut | Manon Lescaut Des Grieux : jeune homme innocent fraîchement sorti du collège, il est sincère, honnête et insouciant. Son coup de foudre pour Manon le change du tout au tout. Il devient impulsif, (il enlève M., s’installe à Paris sur un coup de tête, etc). Ses colères d’enfant font rire son père lorsque celui-ci est de retour après la dénonciation de M. de B. Après son séjour à St Sulpice, il devient adepte du jeu. Ensuite, il trompe le vieux GM en se faisant passer pour le frère de Manon. la pression des personnages et des événements qui le transformera en homme malhonnête et en criminel. Manon Lescaut : jeune fille légère et vénale, elle exerce une emprise totale sur Des Grieux. Tiberge : ecclésiastique et ami fidèle de Des Grieux, il symbolise la constance tout au long du livre, contrastant ainsi avec les multiples trahisons de Manon. Les autres personnages sont connus par des seules initiales : - M de B, M de G. - M de T : le fils d’un des administrateurs de St Lazare, bien né.
Monplaisir Lettres - EAF 2009 corrigé du commentaire sur La Critique de L’Ecole des femmes scène 5, Molière, séries S et ES Voir les sujets ICI Commentaire : Vous commenterez le texte de Molière, La Critique de L’Ecole des femmes (1663), sc. 5 L’Ecole des femmes, en 1662, est la première grande pièce de Molière qui sort du genre de la farce pour s’attaquer à une vraie comédie. Il aborde un sujet qui va déranger les bien-pensants : le droit au plaisir et au choix du partenaire pour la femme ! Aussitôt, c’est le succès, le public afflue au théâtre du Palais-Royal et cela au grand dam des Grands Comédiens de l’Hôtel de Bourgogne. I) La comédie de la comédie A) Une joute verbale mondaine, vide de sens et de fond - La scène est dans un salon mondain et aristocratique dont la maîtresse de maison est Uranie, un prénom de précieuse ! - La querelle s’amorce sur un mot du marquis pour juger la pièce, c’est l’adjectif « détestable ». Un petit marquis avec rhingrave, canons, baudrier, souliers à talons rouges B) La caricature dans la caricature Charles-Antoine Coypel (1694-1752) Le Palais-Royal au XVIIe siècle
La Critique de L’École des femmes/Édition Quinet, 1663 Scène première Uranie, Élise. Uranie Quoi, cousine, personne ne t’est venu rendre visite ? Élise Personne du monde. Vraiment voilà qui m’étonne, que nous ayons été seules, l’une & l’autre, tout aujourd’hui. Cela m’étonne aussi, car ce n’est guère nostre coutume ; & votre maison, Dieu merci, est le refuge ordinaire de tous les fainéants de la cour. L’après-dînée, à dire vrai, m’a semblé fort longue. Et moi, je l’ai trouvée fort courte. C’est que les beaux esprits, cousine, aiment la solitude. Ah ! Pour moy j’aime la compagnie, je l’avoue. Je l’aime aussi, mais je l’aime choisie ; & la quantité des sottes visites qu’il vous faut essuyer parmi les autres, est cause bien souvent que je prends plaisir d’estre seule. La délicatesse est trop grande de ne pouvoir souffrir que des gens triez. Et la complaisance est trop générale de souffrir indifféremment toutes sortes de personnes. Je goûte ceux qui sont raisonnables, & me divertis des extravagants. Peut-estre l’a-t-il oublié, & que… Scène II Galopin Hé ! Ah !
La critique de l’École des femmes La critique de l’École des femmesMolière Des gens se retrouvent à la sortie de la représentation de L’École des femmes et déversent sur cette pièce toute la haine possible, allant jusqu’à vouloir l’interdire tant ils la trouvent obscène et indigne du « Grand Théâtre ». Face à ces critiques dépourvues de toute souplesse d’esprit, certains invités défendront l’œuvre au nom de la liberté et du fait qu’elle connaît, n’en déplaise aux pédants de tout poil, un énorme succès. La Critique de l’École des femmes reste avant tout un éloge du théâtre et un puissant manifeste aussi pour la liberté d’expression. Nous proposerons un condensé de L’École des femmes à l’intérieur de La Critique pour permettre aussi à chaque spectateur de se faire sa propre opinion, de juger objectivement du ridicule ou de la pertinence de certains propos tenus… mais que l’on se méfie, les censeurs ne sont parfois jamais bien loin surtout lorsqu’ils se prétendent « experts ». Tarifs C
La Critique de l’École des femmes Une Critique de l’École des femmes facétieuse et résolument contemporaine qui met à bas, l’air de rien, les préjugés sur la condition féminine et le théâtre. L’École des Femmes qui date de 1662, l’année du mariage de Molière avec Armande Béjart, s’attache à l’idée de l’amour. La pièce a trait à l’éducation sentimentale de la jeune Agnès, séquestrée par son tuteur, un barbon jaloux. D’instinct, la jeune fille se libère grâce à son amant Horace. Amateurs de théâtre éclairés Le bon sens et le naturel du Chevalier s’expriment pour faire taire la polémique, d’autant que la seule règle est de plaire, entre délicatesse pour quelques-uns et complaisance pour le grand nombre. Véronique Hotte