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Using Odyssey.js Plestin-les-Grèves, années 1970. Les Trégorrois s’inquiètent de l’apparition soudaine d’ombres vertes sur leurs plages. Chaque année, à l’approche du printemps, des algues colonisent la baie de Lannion. Une enquête du ministère de l’Agriculture conclut, dès 1971, à une invasion d’algues vertes, conséquence d’une trop grande pollution des eaux fluviales. Si elles déplaisent aux riverains, les "marées vertes" printanières ne semblent pas pour autant nuisibles.
immigration : fantasmes et réalités « Les immigrés sont un fardeau », « ils coûtent cher à la société ». Des idées reçues de ce genre, il en existe à la pelle, solidement enracinées et largement véhiculées en ces temps de campagne électorale. Histoire d’en déconstruire quelques unes, la député européenne Europe écologie-Les Verts, Hélène Flautre, propose trois courtes vidéos, sous forme de dessins animés... 1. Les pays riches... et toute la misère du monde 2.
Une vidéo pour comprendre l'économie circulaire La vidéo "Repenser le progrès : pour une économie circulaire" disponible sur YouTube invite les élèves, leurs enseignants, les entrepreneurs et les élus à changer de modèle de production pour améliorer nos perspectives d'avenir. Cette vidéo d'animation, qui dure un peu moins de 4 minutes, s'ouvre sur un constat simple : dans la nature, le système de production est circulaire; en d'autres termes, tout ce qui est produit est ensuite réintégré au milieu naturel et contribue à alimenter les nouveaux êtres vivants. A l'inverse, l'homme a créé un système économique linéaire : tout ce qui est produit finit en déchets en grande partie non recyclables. C'est l'impasse. Peut-on changer de système et ré-inventer une économie circulaire, en s'inspirant du modèle naturel ? C'est la thèse que défend cette animation.
Pour changer le monde, il faut plus que des clics de souris La mobilisation pour des causes sociales, humanitaires, écologiques... se traduit souvent par l'organisation d'événements mobilisant des milliers, voire des millions de personnes. Nous avons tous en tête les manifestations des altermondialistes contre les sommets de l'OMC, les manifestations de travailleurs protestant contre la fermeture de leur entreprise, les cinq millions de personnes qui ont manifesté, dans 100 villes du monde, contre les FARC en Colombie. Ces manifestations monstres constituent un défi organisationnel et le nombre de manifestants constitue, en lui-même, une mesure de leur succès. Néfastes effets de l'idéologie politico-médiatique, par François Brune (Le Monde diplomatique, mai 1993) Désaffection vis-à-vis du pouvoir, ampleur de l’abstention, éparpillement des suffrages : la dépolitisation d’une partie des citoyens français ne fait pas de doute (1). On l’a imputée à la gravité des problèmes réels : chômage, incertitudes européennes, « affaires », etc. Mais elle s’explique aussi, plus profondément, par l’idéologie ambiante que diffusent les médias, et qui nous impose une certaine perception de ces réalités. Qu’est-ce qui, depuis plusieurs années, rend l’opinion malléable, volatile, versatile ? Qu’est-ce qui freine l’accession des citoyens à une conscience politique du monde actuel ?
Notre façon de voir le travail est brisée Accueil > Formations et ressources > Liste des vidéo - balado - webdocu > Notre façon de voir le travail est brisée Quelles sont les valeurs importantes dans le travail ? Qu'est-ce qui rend le travail satisfaisant ? En dehors d'un salaire, il existe des valeurs tangibles qui, selon Barry Schwartz, ne sont tout simplement pas valorisées, ou même ignorées par le monde du travail. Trier, manger bio, prendre son vélo… ce n’est pas comme ça qu’on sauvera la planète Tout l'été, «l'Obs» republie le meilleur des articles de l'année sur son site internet. Aujourd'hui, le regard du philosophe Slavoj Zizek sur l'écologie. En décembre 2016, des milliers de citadins chinois asphyxiés par le smog ont dû se réfugier à la campagne dans l’espoir d’y trouver une atmosphère plus respirable. Cette «airpocalypse» a affecté 500 millions de personnes. Dans les grandes agglomérations, la vie quotidienne a pris les apparences d’un film post-apocalyptique: les passants équipés de masques à gaz circulaient dans un sinistre brouillard qui recouvrait les rues comme une chape. Ce contexte a clairement fait apparaître la séparation des classes: avant que le brouillard n’amène à fermer les aéroports, seuls ceux qui avaient les moyens de s’acheter un billet d’avion ont pu quitter les villes.