Education et nouvelles technologies : y croire ou ne pas y croire Après un premier article polémique (voir Dans la salle de classe du futur, les résultats ne progressent pas), Matt Richtel a continué son enquête pour le New York Times sur le « pari éducatif high-tech ». Comme le montrait déjà le début de son enquête, ses derniers articles dessinent un fossé, une coupure assez radicale, entre ceux qui croient dans les vertus des technologies pour l’éducation et ceux qui n’y croient pas, avec des arguments aussi faibles dans l’un ou l’autre camp que ceux qu’on éprouve entre les tenants du livre papier et du livre électronique. La valeur des TICE dépend-elle du niveau d’argent dépensé ? Le second article de cette série s’intéressait donc au « boom des logiciels éducatifs », mais avant tout pour dénoncer leur manque de résultats effectifs. Ainsi, les évaluations de ces logiciels montrent qu’ils n’ont « aucun effet discernable » sur les résultats aux tests standardisés que subissent les élèves du secondaire aux Etats-Unis.
Introduire les réseaux sociaux à l’école : prenons des risques! (réfléchis) « From Pennylane to… La table ronde à laquelle j’ai assisté à Ludovia « Les politiques e-éducatives à mettre en place face aux enjeux de la mobilité et de l’ouverture » à Ludovia, a tourné en fin de session sur le vieux débat « pour ou contre Facebook à l’école ». Thème abordé à cause de cette question sondage: Question mal posée puisqu’il y avait deux sous-questions et que de fait, cela ne se prêtait pas à une seule réponse. Le 1er rang de la salle réservé aux bloggueurs/twetteurs/facebookeurs a vivement réagi aux propos tenus sur l’estrade par le rang d’officiels politiques qui s’y tenait. Au réseau social « grand public » (délibérément nommé Facebook) semblait s’opposer l’Environnement Numérique de Travail (ENT). Le projet (ou juste une tendance?) Sécurisé/restreint/bloquerait/interférences = tout le vocabulaire négatif est réuni. Le volet sécuritaire me semble indéniable et inébranlable : nous travaillons avec des enfants, des adolescents, le plus souvent mineurs. J'aime : J'aime chargement…
LIVRE BLANC 2010 du Social Media Club France Construire son réseau personnel d'apprentissage Les enseignants sont des apprenants professionnels. Parce qu'ils savent et aiment apprendre, ils ont choisi d'enseigner et se sont formés à cela. Se forment-ils toujours, tout au long de leur vie ? Selon le pays dans lequel ils exercent leur profession, ils bénéficient de dispositifs formels plus ou moins étoffés pour cela; ils lisent et s'informent également beaucoup, cela fait partie de leur métier. Certains vont encore plus loin et intègrent ce qu'il est convenu d'appeler des réseaux personnels d'apprentissage, Personal Learning Network en anglais. Le réseau personnel d'apprentissage, de quoi nourrir une curiosité et un appétit de savoirs sans bornes Pourquoi donner la traduction anglaise de l'expression ? Ce n'est pas ce que pense Tom Whitby qui, en décembre 2010, déplorait de se sentir isolé parmi ses collègues, à cause précisément de son implication dans un PLN. Ceux qui ont adopté cette modalité de formation en connaissent les avantages. Comment créer son réseau ? Sésamath
La place des réseaux sociaux dans l'information journalistique / E-dossier de l'audiovisuel : Journalisme, Internet, libertés Arnaud Mercier est Professeur en Sciences de l’information et de la communication. Responsable de la licence professionnelle "journalisme et médias numériques" à l’Université de Lorraine, ses thèmes de recherches concernent, notamment, la communication politique, les traitements médiatiques, la sociologie du journalisme et du webjournalisme. Il est membre du comité scientifique des Cahiers du journalisme et du comité de rédaction de la revueQuestions de communication. ______________________________Médias et réseaux sociaux sont devenus des espaces d’expression pour des millions de gens sur Internet. S’il n’est pas encore majeur, le poids de ces réseaux sociaux, tels Twitter ou Facebook, dans l’interaction entre journalistes, sources et lecteurs, la progression des usages informatifs et la croissance rapide du nombre d’inscrits préfigurent un support pour l’information. Une tribune libre : le réseau social comme espace d’expression non contraint L’avènement du « Twiléspectateur »
7 réseaux sociaux qui grandissent dans l'ombre de Facebook - Le Nouvel Observateur Avec un milliard d'utilisateurs d'ici l'été et une prochaine entrée en bourse, Facebook a creusé la distance avec ses concurrents. S'imposer face à ce mastodonte devient un véritable chemin de croix. Mais aucun site n'est indétrônable (ne croyait-on pas à la toute puissance du moteur de recherche AOL ?). Plusieurs réseaux tendent à s'imposer aux côtés de Facebook, et pourraient profiter d'utilisateurs de plus en plus sceptiques. Réactif à tout nouveau lancement d'un réseau social qui pourrait lui faire de l'ombre, Facebook reste, pour l'instant, loin devant ses concurrents. 1. En marge du réseau de Zuckerberg, les réseaux professionnels ne cessent de croître. 2. 5.2 millions d'utilisateurs en France, 383 millions d'utilisateurs dans le monde. 3. Concurrent officiel de Facebook, le réseau social de Google a du mal à prendre. 4. "Tumblr pourrait être aussi connu que Twitter et Facebook." 5. 6. Les services de géolocalisation n'ont pas convaincu aussi massivement qu'espéré.
Nouveaux supports, espaces, médiations Par Frédérique Yvetot Quelles sont les évolutions des pratiques des jeunes face aux nouveaux espaces, supports, outils ? Quels sont les nouveaux usages et quels changements engendrent-ils dans les pratiques des professeurs-documentalistes ? Des pratiques bouleversées par les évolutions liées au numérique 9h30, les rencontres s'ouvrent par l'intervention de Patrick Dion, directeur général du CNDP, Jean-Louis Durpaire, inspecteur général de l'Education nationale, Alexandre Steyer, recteur de l'académie de Rennes et Alexandre Serres, maître de conférence en sciences de l'information et de la communication. « L'école et l'économie de l'attention » Pour commencer, nous avons eu l'occasion d'écouter Hervé Le Crosnier, maître de conférence à l'université de Caen, nous expliquer les relations tumultueuses entre le numérique et la culture. « Les compétences du lecteur numériques » « Les pratiques informationnelles des adolescents » Les ateliers : nouvelles pratiques des enseignants-documentalistes
Sur la carte mondiale des tweets, on repère les gares, les aéroports, les aires d’autoroute… Dans quels lieux publics tweete-t-on le plus souvent ? Réponse : dans les halls de gare, sur les aires d’autoroute, dans les terminaux d’aéroports. C’est l’un des enseignements de la carte publiée par le programmeur américain Eric Fischer. Densité et richesse. La Part-Dieu éclaire Lyon. Tweetland. Tourisme, affaires et transports. Les halls, les quais, les trains. Idéogrammes. Autoroute et LGV. Ville, gare, aéroport, autoroute. Ferry. Gare et ski. Olivier Razemon Les transports, c'est de plus en plus une affaire de données : La SNCF divulgue la géolocalisation de ses trains (octobre 2014) En voiture, en TGV ou en avion, les Français voyagent de plus en plus (juin 2013) Le difficile art de prévoir les embouteillages (janvier 2013) Bonus : Francfort et son aéroport, presque aussi lumineux que la ville... Signaler ce contenu comme inapproprié
Panorama des médias sociaux 2012 (The english version of this article is here: Social Media Landscape 2012) Il y a quelques années une analyste disait que dans cinq ans, les médias sociaux seront comme l’air (omniprésents). Nous sommes en 2012 et les médias sociaux n’ont jamais occupé une place aussi importante sur le web, à tel point que l’on en vient à se demander dans quelle mesure il est encore pertinent de dissocier les médias sociaux et le web. Pourtant, si l’on s’en tient à la définition que j’ai donnée (“Les médias sociaux désignent un ensemble de services permettant de développer des conversations et des interactions sociales sur internet ou en situation de mobilité”), il existe bien une différence entre un site web classique et les médias sociaux, surtout si l’on étudie de plus près les différents types de médias sociaux. J’insiste sur le fait que c’est bien un panorama des médias sociaux, et non des réseaux sociaux, car je croise encore beaucoup trop d’interlocuteurs qui confondent les deux.
les droits d'auteur Les droits d'auteur Mise en situation Vous voulez réaliser une production numérique (site internet, blog, wiki, cédérom, vidéo, PAO) dans votre établissement et la diffuser. Il est impératif de connaître les règles juridiques à respecter. Seront abordés dans ce module les différents types de documents qui peuvent composer une production numérique Les textesLes images fixes et animéesLes sonsles liens hypertextuels Ils sont tous soumis à la législation des droits d'auteur, au respect du droit à l'image et de l'image, au respect de la loi « Informatique et libertés » de 1978, ainsi que la loi sur la confiance dans l'économie numérique (LCEN) de 2004. ATTENTION : L'exception bien connue de l'utilisation pour usage privé ne s'applique en aucun cas à une utilisation pédagogique Les droits d'auteur Qu'est ce que le Code de la propriété intellectuelle ? Donc la législation s'interdit de juger de la qualité de l'œuvre. Code de la propriété intellectuelle Droits attachés aux œuvres de l'esprit
Les réseaux sociaux polarisent-ils ou élargissent-ils le débat public En juin dernier, le Pew Research Center, ce think tank américain “non partisan” dédié à l’étude “des faits et tendances qui transforment notre monde”, a livré une impressionnante étude sur la montée de la polarisation du débat public aux Etats-Unis. L’étude montrait combien l’animosité partisane avait progressé sur 20 ans entre démocrates libéraux et républicains conservateurs, notamment chez les plus actifs politiquement… Elle mettait en avant la progression des chambres d’échos idéologiques – c’est-à-dire le fait que les partisans discutent de plus en plus entre eux -, renforçant ainsi leurs propres convictions, ainsi que la montée de l’antipathie mutuelle entre ce qu’on pourrait rapidement qualifier de droite et de gauche américaine. Le Pew Research Internet Project, la branche technologique du think tank vient de la compléter en s’intéressant particulièrement au rôle des médias sociaux dans la montée de cette polarisation politique. Hubert Guillaud
Les 3 étapes de l’évolution digitale de votre entreprise On lit sans cesse que nous sommes en train de vivre une révolution digitale, sociale et mobile. De nouveaux acronymes comme le SOLOMO (SOcial LOcal MObile) apparaissent pour définir cette interconnexion entre la géolocalisation, les interactions digitales au sein de lieux physiques (magasins, restaurants, musées, …), les usages sociaux et participatifs, les nouveaux services que sont les médias sociaux et les terminaux mobiles. Sauf que Facebook n’est pas la révolution, la vraie révolution est celle qui doit, et qui en train d’avoir lieux au sein des entreprises, comme je l’avais précédemment écrit (La révolution, ce n’est pas Facebook : c’est la digitalisation de l’entreprise). Digitalisation et social business Cette révolution digitale est ce passage des entreprises vers le monde digital. Votre stratégie ne sert à rien si elle ne vous permet pas d’être prêt dans le cas de changements majeurs Savoir se tenir prêt On y arrive : les 3 étapes de l’évolution digitale d’une entreprise
Traque traces | un site de Cécile Portier D’abord dire, avec Cécile Portier, qui le rappelle souvent, que le site dont il est ici question n’existerait pas sans Joachim Séné, auteur et développeur web, à qui on doit aussi refonte récente de remue.net ; Cécile Portier le redit souvent et ce n’est pas qu’évidentes, nécessaires, politesse et attention à ceux qui travaillent, ceux avec qui, ceux sans qui…C’est aussi dire qu’un projet tel que traque traces découle de / et se développe par, la séparation impossible des questions de fond et de forme – question qui ne date pas d’Internet, mais qui se trouvent relancée par la publication en ligne et les questions d’accès à la technique qu’elle pose.Traque traces, donc ? « C’est une fiction. Mais c’est votre vie (ou presque) ». Citons plus amplement : « (…) fiction née d’un pari un peu fou : refaire une ville fictive sous la vraie ville. À lire également : cet article d’Owni sur le site Traque trace.