Un polytechnicien et la belle époque de la carte postale 1Depuis fort longtemps, les Grandes Ecoles françaises (et en particulier Polytechnique, Centrale, Saint-Cyr et les Arts et Métiers) ont été l’objet de l’attention de l’opinion et de la presse. 2S’agissant de la « Poule aux œufs d’or », comme disait Napoléon, on peut légitimement s’extasier de tout ce qu’un collectionneur de « vieux papiers » peut retrouver sur l’Ecole Polytechnique : livres, articles dans les journaux, plaquettes diverses, etc.. A toutes les époques, la presse a rédigé des textes sur les « X militaires », les « X hommes politiques », les « X Grands Patrons ». 3On trouve trace de l’Ecole dans les médailles, les gravures, les assiettes en faïence ou porcelaine, les livres, les objets divers (éventail de bal, foulards...), les photos (« cartes de visite » de la deuxième partie du XIXème siècle, photos d’amateur ensuite), les chromos et enfin les cartes postales. Les origines 9Cette idée ne fut pas retenue. en 1870, l’Angleterre, l’Allemagne, la Suisse. Le renouveau 33puis,
Centenaire de 1914-1918 en photos Accueil / Albums / Louis ARVEAU, imprimeur-éditeur à Prémery | HIRONDELLE L.A. • Les cartes de Louis ARVEAU Pour éditer ses "Albums Nivernais" (premier numéro en avril 1896), Louis Arveau fut certainement un des premiers imprimeurs de la Nièvre, sinon le premier, à explorer les différentes techniques de reproduction mécanique des images. Successivement, il a testé pratiquement tous les procédés existants de l'époque. Dans les derniers numéros des Albums, il s'essaya avec succès à la phototypie, qui deviendra le procédé d’impression de prédilection des cartes postales anciennes. L’essor brutal des cartes illustrées lui permit de profiter pleinement de son avance technologique et de devenir dès 1900 un acteur essentiel de l'édition française. Il édita sous son nom de nombreuses vues du Nivernais, du Morvan et du Berry ; dans le même temps, il imprimait aussi les cartes de nombreux autres éditeurs, majoritairement régionaux. De manière plus anecdotique, on retrouve des cartes imprimées par son atelier phototypiquedes Vosges jusqu'aux U.S.A.
La Grande Guerre en dessins Première guerre mondiale Reportage Entre les lignes de Claude Guilmain Hommage aux combattants canadiens de la Première Guerre mondiale, ce film fait la chronique du conflit à travers les mots de six participants. Entre les lignes des correspondances intimes adressées à des proches, on devine l'innommable, toute cette horreur censurée par la guerre et la pudeur. Dans un montage habile, le film présente des extraits d'époque, des photos, des passages manuscrits de lettres et du journal de bord. Le talent de mise en scène de Claude Guilmain redonne à ces artefacts vieux de quatre-vingt-dix ans une dimension humaine et insuffle à ces images anonymes une vie et une intensité qui nous font vivre ce conflit de l’intérieur. Afin de répondre aux besoins du milieu de l'éducation, cinq capsules documentaires ont été tirées du film : Les infirmières au front, Le rôle de l'officier, La vie du soldat, L'espoir et la foi et Les tranchées.