How social media thinking could help museums to turn out all right Posted: January 2nd, 2012 | Author: Jasper Visser | Filed under: Inspiration, Thoughts about museums | Tags: community, happy museum, social media, society, USPs, well-being | 2 Comments »inShare13 Photo by Camdiluv on Flickr. Last year – best wishes for 2012! – I got my hands on a copy of The Happy Museum: A tale of how it could turn out all right. It’s a happy little publication (PDF) I hadn’t heard of before about the role museums play in our changing world, and should play to remain relevant and add to a more sustainable future. In 2010, when asked to imagine museums in 2020, I wrote about how I believe a museum has and should have a responsible position in culture, art and heritage and also in society in general. The Happy Museum has two USPs when it comes to playing an active part in these areas, and I’ve added a third which I believe is equally important: Apart from the gift shop, museum don’t try to sell anything but understanding and enjoyment.
Le « musée-Légo » Le Musée-Légo est un musée ouvert et accessible de façon la plus disponible possible, adapté aux modes de vie des visiteurs. Un musée en réseau et multi-plateformes, présent là où les visiteurs et les communautés le sont (en ligne et hors ligne). Un musée ludique où la relation aux oeuvres est décomplexée et créative. Il n’est pas réservé à ceux qui “savent se tenir” sur le mode exclusif de la contemplation. Autrement dit, le musée-Légo n’est plus un “musée-cathédrale” mais un “musée-bazar” – pour reprendre la métaphore (2) du logiciel libre – où chacun pourrait trouver “sa” place de façon organique dans un projet culturel commun. Une démarche globale Si la démarche ouverte et participative est souvent influencée par les pratiques du web, elle doit se déployer au-delà pour faire partie de la politique du musée dans son ensemble. De plus en plus d’offres “hybrides” franchissent cette frontière entre “sur place” et “en ligne”. Un musée orienté “visiteurs-utilisateurs” Un musée à imaginer…
Facebook is more than a fad—and museums need to learn from it museums should embrace the idea that 'everyone is a curator' By Jim Richardson. Comment, Issue 202, May 2009Published online: 23 April 2009 Social networks and blogs are the fastest growing online activities, according to a report published in March by research firm Nielsen Online. This has not gone unnoticed by museums and galleries, with many creating some kind of presence on sites such as Facebook, Twitter and Flickr. The Nielsen research shows that a major factor in the success of social networks is that they allow people to select and share content. Most of the institutions that are adapting their own websites with those facets of the social networks that so many people find attractive are in the US. Victor Samra, digital media marketing manager at MoMA, says: “It's not enough just to broadcast information now. One potential obstacle to museums sharing content online is the issue of copyright and how to protect images if they are put on the internet. Submit a comment Email* Name* City*
Les musées en partage Avec Google Art Project, lancé cet hiver, on peut avoir accès, dans le confort de son foyer, à des reproductions de grandes oeuvres d’art de musées célèbres avec un niveau de détails incroyables (jusqu’à 7 milliards de pixels). Mais les musées ne se limitent pas à montrer simplement des oeuvres, car, selon la définition de l’ICOM, un musée est aussi « une institution au service de la société et de son développement ». Voilà pourquoi il y a, aujourd’hui, comme chaque année depuis 1977, la Journée internationale des musées. Les musées cherchent constamment à redéfinir leur rôle pour rester au service de cette mission. Les musées se sont transformés au même titre que la société. La relation avec le public reste pour eux un souci omniprésent. Une question de voix Mais comment une institution peut-elle en fait s’insérer dans un canal conçu comme un lieu de conversation entre des personnes authentiques? Les visiteurs-participants L’esprit de partage Traces
The Participatory Museum: An "Encore" Interview with Nina Simon | ExhibiTricks: The Museum Exhibit Design Blog Since Nina Simon recently released her book, "The Participatory Museum" I thought I'd do an "encore" posting of the interview I did with her a while back. Enjoy! Nina Simon, the creator of the Museum 2.0 blog, is a one-woman idea factory and independent museum professional based in California. I was able to pull her away from her bucolic workspace (see photo above) to answer a few questions about her work and herself: What’s your educational background? I went to WPI, a small engineering college in Worcester, MA with a focus on hands-on learning. I've always been interested in free choice learning. In college, I taught differential equations and was shocked at how many of my fellow students hated and feared math. What are some of your favorite museums or exhibitions? I love the Museum of Jurassic Technology, a place I visited frequently as a teenager (and continue to visit whenever I'm back in LA). I love the Exploratorium, a place that also feels like home for me. Not different enough.
Samuel Bausson, du Muséum de Toulouse : « Les communautés réinventent le rôle du musée » Webmaster du Muséum de Toulouse, Samuel Bausson crée et développe des communautés sur Internet qui gravitent autour des thématiques du muséum. Réinventant, du même coup, le rôle du musée et notre perception en tant que visiteur. En deux mots, qui es-tu et que fais-tu ? Je suis Samuel Bausson, webmaster au Muséum de Toulouse depuis 3 ans. Je suis webmaster au seins d’institutions culturelles ou administratives depuis 1998. Qui sont tes membres ? très variés. la plupart de la région mais aussi beaucoup des USA de façon très schématique et simplifiée : des « scientifiques », naturalistes, passionnés pour la france et principalement sur Flickr. des « artistes » visuels et des écologistes des USA sur Twitter Comment communiques-tu avec eux ? Via Twitter et Flickr (discutions et commentaires) principalement. Où et comment valorises-tu le contenu créé par tes membres ? Quel est, selon toi, l’outil qui apporte le plus à ta communauté ? Fais-tu de la modération ? Pour l’instant, non. C’est LA question.
Le déploiement sur les réseaux par les Abattoirs (2009 ! - mise à j... Rijksstudio : une révolution qui fait du bien Je ne vous cache pas que les articles de blog se font de plus en plus rares ici… Rares sont en fait les actualités muséales qui me poussent à rédiger un article, alors je tweette, je mets en ligne des actualités via mon scoop-it ou je partage tout simplement mon actualité via Facebook, mais les articles se font effectivement rares. Cependant, quand j’ai découvert le lancement du Rijksstudio il y a quelques jours, ma curiosité a été interpelée. Il a fallut attendre que la semaine s’achève pour me laisser le temps de parcourir cette petite révolution et de découvrir ce que le Rijksmuseum nous présentait. Pour moi, ce Rijksstudio est une réelle révolution. C’est une nouvelle manière de voir et de vivre le musée, et c’est surtout une nouvelle place donnée au musée. A côté de ça, et pour inciter les visiteurs a laissé leur imagination et créativité parler, le Rijksmuseum a invité des artistes à se réapproprier les collections. Mieux encore ! (merci @_omr pour la vidéo:)
Le musée virtuel Une étudiante m’a adressé un questionnaire sur le musée virtuel. Je publie ici les réponses que je lui ai faites. Pouvez-vous m’expliquer en quoi consiste votre travail ? J’ai étudié l’archéologie, le grec ancien et le latin à l’Université de Neuchâtel en Suisse. J’ai ensuite étudié l’anthropologie religieuse à l’Université de Paris IV. Professionnellement, je suis responsable des sites Internet d’un département de l’administration fédérale suisse, l’équivalent de vos ministères. Après avoir terminé mon Mastère, j’ai ouvert un blog[3] pour continuer de travailler sur ce thème, j’ai écrit quelques articles, donné des cours et des conférences[4]. Quelle est votre conception d’un musée virtuel ? La réponse à cette question dépend du sens que l’on donne au terme virtuel. Le mot virtuel vient du latin médiéval virtualis, lui-même issu de virtus, force, puissance. Pour plus de détails : Un musée virtuel dans le sens décrit ci-dessus semble plus intéressant.