Un mort encombrant
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un mort encombrant (The Wrong Box) est un roman de Robert Louis Stevenson écrit en collaboration avec son beau-fils Lloyd Osbourne, qui parut en juin 1889. On peut lire le même roman sous le titre Le Mort Vivant, paru aux éditions Perrin en 1905, sous le titre L'Hercule et le Tonneau, paru au Club français du livre en 1961 et sous le titre Un mort en pleine forme, paru chez G. P. en 1968 dans une édition illustrée par Jean Reschofsky. Plus récemment, les éditions Gallimard l'ont fait paraître dans la Bibliothèque de la Pléiade sous le titre Le Grand Bluff[1]. Chef-d'œuvre du comique de situation, le roman est écrit dans un ton distancié très britannique. Résumé[modifier | modifier le code] Dans les années 1870, Joseph et Masterman Finsbury se retrouvent les deux seuls survivants d'une tontine. Adaptation[modifier | modifier le code] [modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]
Sherlock Holmes
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sherlock Holmes est un personnage de fiction créé par Sir Arthur Conan Doyle dans le roman policier Une étude en rouge en 1887. Personnage très « typé », Sherlock Holmes est devenu l'archétype du « détective privé » pour des générations d'auteurs populaires de roman policier éclipsant ses ancêtres historiques que furent le Chevalier Auguste Dupin d'Edgar Allan Poe et Monsieur Lecoq d'Émile Gaboriau, personnages auxquels Arthur Conan Doyle fait référence dans son œuvre. Biographie fictive[modifier | modifier le code] L’ensemble des aventures écrites par Arthur Conan Doyle comporte quatre romans et cinquante-six nouvelles originales. Ces textes originaux recevront le titre d'ouvrages « canoniques », par opposition à l'énorme quantité de suites et d'aventures parallèles écrites par de nombreux auteurs, prenant plus ou moins de liberté avec le personnage original. Une saynète comique dans laquelle Holmes reste muet lui est parfois attribuée.
cumberbatchweb | Your guide to actor Benedict Cumberbatch
Fanny Van de Grift
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Fanny Van de Grift. Fanny Van de Grift (1840 — 1914) était l'épouse de l'écrivain écossais Robert Louis Stevenson et la mère de Lloyd Osbourne. Biographie[modifier | modifier le code] Fanny Van de Grift naît à Indianapolis le 10 mars 1840. Bibliographie[modifier | modifier le code] Alexandra Lapierre, Fanny Stevenson : Entre passion et liberté, Robert Laffont, 1993 (ISBN 2221058046) Portail de la littérature
The blog of Dr. John. H. Watson
Scientific American
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Scientific American est un magazine de vulgarisation scientifique américain à parution mensuelle (initialement hebdomadaire) existant depuis le , ce qui en fait la plus ancienne revue des États-Unis parue de façon continue. Il appartient au Georg von Holtzbrinck Publishing Group. Différentes éditions[modifier | modifier le code] Bien que les articles principaux de Scientific American soient publiés dans les éditions des différents pays, celles-ci diffèrent de la revue de base par certains articles, écrits par des auteurs nationaux : L'édition en langue française porte le nom de Pour la Science. Michael Shermer tient une rubrique sceptique dans ce magazine. Lien externe[modifier | modifier le code] Site officiel
ThreePatch
Mary Celeste
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Mary Celeste, peinture d’un peintre inconnu (peut-être Honoré Pellegrin) La Mary Celeste, un brick-goélette immatriculé à New York[note 1], a été découverte en 1872 en pleine mer, en parfait état mais abandonnée par son équipage. L'énigme[modifier | modifier le code] La disparition du capitaine Briggs, de sa femme, de sa fille et des sept hommes de l’équipage, le sort de la cargaison de 1 701 fûts d’alcool dénaturé et l’incompréhension de ce qui s’est passé ont entraîné de la part des médias de l’époque un grand nombre d’hypothèses. Le 26 mars 1873, le capitaine Morehouse reçut la somme de 1 700 livres du tribunal maritime, soit 5 % du prix du navire (36 000 £). Fin de la Mary Celeste[modifier | modifier le code] Ajouts légendaires[modifier | modifier le code] Différents récits, en particulier une nouvelle d'Arthur Conan Doyle ont largement contribué à brouiller les pistes de ce drame. Hypothèses émises[modifier | modifier le code]
Témoignage sur le Père Damien
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert Louis Stevenson se rend à Hawaï pour rencontrer toutes les personnes ayant connu le père Damien, à la fois des amis et des accusateurs. Il revient en Angleterre et publie dans le Times une longue description de la vie de Damien, balayant au passage les violentes critiques et démontrant leur fausseté une par une. D'après lui, les deux raisons principales sont la méconnaissance de la maladie (on croyait que lasyphilis était le premier stade de la lèpre, donc que Damien n'aurait pas respecté son vœux de chasteté) et la jalousie des missionnaires protestants dont C. « « Quand on voit ces visages qui sont comme des taches hideuses sur le ciel, ces débris humains qui respirent encore sur leur lit d’hôpital, l’idée de vivre là est de celles qui vous font reculer d’épouvante comme l’éclat du soleil vous force à cligner les yeux. — Robert Louis Stevenson Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code]
Une apologie des oisifs
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une apologie des oisifs (titre original : An Apology for Idlers) est un essai philosophique de Robert Louis Stevenson, publié pour la première fois dans le Cornhill Magazine de et, en France, aux éditions Allia en . Dans ce pamphlet au style enlevé, R.L. Stevenson livre une critique de l'aliénation du travail dans la société industrielle. L'oisiveté y est présentée comme une attitude critique, à la disposition de tous, permettant de s'insurger contre l'idéologie bourgeoise. Une Apologie des oisifs s'inscrit dans la lignée des constats de Marx et Engels, mais diverge en ce qu'elle ne propose aucune action politique. Stevenson critique les bourreaux de travail qui ne pensent pas à vivre en dehors de celui-ci.