Curiosity célèbre sa première année martienne avec un autoportrait Cela fait maintenant une année martienne, soit 687 jours, que Curiosity est arrivé sur la planète rouge. Pour fêter l’événement, la NASA a dévoilé un superbe "selfie" du rover ainsi qu’une vidéo résumant les dernières étapes de la mission. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Une année martienne s’est écoulée depuis l’arrivée de Curiosity sur la planète rouge, le 6 août 2012. Le rover de la NASA a fêté sa première année martienne ce mardi 24 juin. Les images ont été enregistrées à l’aide du MAHLI (Mars Hand Lens Imager), une caméra microscope située au bout du bras du rover. Encore en bon état L’autoportrait témoigne du bon état de Curiosity. Sur des clichés, les roues sont apparues assez endommagées, présentant de multiples éraflures et déformations. L'objectif principal du rover atteint Heureusement, en une année martienne, le robot roulant a déjà accompli de nombreuses missions.
La désintégration d'une galaxie prise en photo par Hubble Le téléscope spatial Hubble a réussi à capturer la désintégration de la galaxie ESO 137-001. La Nasa a publié cette semaine une photographie de ce qu'elle compare à "un pissenlit emporté par un courant d'air" ou encore "une méduse". Le phénomène s'est produit à 220 millions d'années-lumière de la Terre et les images sont à couper le souffle. Au fin fond de l'Univers, la galaxie, lancée à 7 millions de km/h, se désagrège, produisant des filaments gazeux qui apparaissent comme des traînées bleutées. La galaxie "répand ses graines dans l'espace", explique le site de la Nasa. ESO 137-001 s'évapore en traversant un amas de galaxies, comme l'explique 20minutes.fr.
Nébuleuse solaire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nébuleuse solaire (ou protosolaire, ou primordiale) est le nuage de gaz à partir duquel le Système solaire s'est formé. L'hypothèse de la nébuleuse a été proposée pour la première fois en 1734 par Emanuel Swedenborg[1] et en 1755 par Emmanuel Kant, en supposant que la nébuleuse tourne lentement sur elle-même, se condensant et s'aplatissant graduellement sous l'effet de la gravité, pour former plus tard des étoiles et des planètes. Formation et évolution[modifier | modifier le code] D'après cette thèse, la nébuleuse a eu un diamètre initial de 100 ua et une masse de deux à trois fois la masse actuelle du Soleil. À l'intérieur du système, les éléments les plus légers, tels que l'hydrogène et l'hélium, ont été entraînés hors de la région centrale par le vent solaire et la pression de radiation, laissant derrière les éléments plus lourds et les particules de poussière, qui ont ensuite formé les protoplanètes. Portail de l’astronomie
Système solaire Le système solaire correspond à l'ensemble des astres soumis au champ de gravitation du Soleil. Ainsi, il comprend des planètes (Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune par ordre d'éloignement au Soleil) en orbite autour du Soleil et leurs satellites et anneaux, des planètes naines (Pluton, Éris...), des astéroïdes, des comètes, des météorites, des grains interplanétaires (comme ceux présents dans les anneaux de poussière responsable de la lumière zodiacale). Représentation schématique des principaux constituants du système solaire (les échelles ne sont pas respectées). On y voit donc le Soleil, la ceinture d'astéroïde, les planètes internes et externes, ainsi qu'une comète. © Nasa, Wikimedia commons, DP
Comparer et classer les objets du système solaire Benoit Urgelli ENS Lyon / DGESCO Olivier Dequincey Emmanuelle Cecchi Benoît Urgelli Résumé Étude comparative de la taille, de la densité, de la composition chimique, des paramètres orbitaux des planètes du système solaire et de leurs principaux satellites. Version remaniée et complétée à partir de la première édition du 3 mars 2000. Le site de Calvin J. Le site de Bill Arnett, The Nine Planets, présente un survol complet de l'histoire, de la mythologie et de la connaissance scientifique du système solaire en anglais. Les images qui suivent sont issues de ces deux sites. Depuis août 2006, Pluton n'est plus une planète mais fait partie d'une nouvelle catégorie de corps du système solaire : les planètes naines. Généralités sur le système solaire Le système solaire est souvent limité, dans notre esprit, au Soleil et aux huits planètes qui gravitent autour. Nous allons ici rappeler tout ce que contient le système solaire, du Soleil aux corps les plus éloignés. Le système solaire "lointain"
Musée de la civilisation: Les phases de la Lune Pourquoi la Lune brille-t-elle? La Lune n'émet pas sa propre lumière. Elle reflète la lumière du soleil. Depuis la Terre, nous voyons donc la partie de la Lune que le Soleil éclaire. Tantôt ronde, tantôt fin croissant, la Lune change d'aspect tout au long du mois lunaire. Pour mieux visualiser ce phénomène, nous vous proposons d'utiliser notre démonstration interactive.
Pluie d'étoiles filantes : les Draconides ont encore illuminé le ciel Tête en l'air, yeux fixés sur le ciel. Certains ont eu la chance, les nuits des 7 et 8 octobre, de contempler une superbe pluie d'étoiles filantes. Comme chaque année, à la même époque, les Draconides ont illuminé le ciel. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter C'était le moment à ne pas rater pour les astronomes. Une bonne année Cette année, la pluie des Draconides a été facilement observable. Les Draconides sont des météores très imprévisibles, ce qui signifie qu'il est très difficile de prévoir si les années seront bonnes ou non. Les astronomes conseillent à ceux qui veulent voir les Draconides de trouver une zone éloignée des lumières de la ville, afin d'habituer l’œil à l'obscurité pendant au moins 20 minutes. D'où viennent les Draconides ? La plupart des pluie de météores sont nommées d'après la constellation où se situe leur radiant. Cette dernière a été aperçue pour la première fois en décembre 1900.
Hubble observe une galaxie spirale perdre ses entrailles dans l'espace Hubble vient à nouveau de dévoiler de magnifiques images de l'espace. Cette fois-ci, c'est la galaxie spirale ESO 137-001 qui est au coeur de l'intrigue puisqu'elle se dirige droit vers le coeur du groupe de galaxies Abell 3627. En chemin, ESO 137-001 est mise en morceau, ne laissant derrière elle que des traces brillantes et bleues. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter C'est une véritable scène de crime galactique que vient de dévoiler le télescope spatial Hubble. En réalité, le combat était perdu d'avance pour ESO 137-001. Résultat, en se dirigeant vers le coeur de l'amas à la vitesse vertigineuse de 7 millions de km/h, ESO 137-001 est complètement mise en morceau. Une force exercée par les gaz brûlants Ce processus galactique est bien connu des scientifiques. Ces derniers mettent ESO 137-001 sous pression, créant une force qui sépare le coeur de la galaxie spirale de ses jeunes étoiles et de ses gaz. Mieux comprendre l'évolution des galaxies
Notre galaxie, la Voie lactée, a un coeur en forme de cacahuète Deux groupes d'astronomes ont utilisé les données fournies par des télescopes pour réaliser un modèle en trois dimensions des parties centrales de notre galaxie. Meilleur modèle réalisé jusqu'ici, il révèle que le coeur de la Voie lactée ressemble un peu à une cacahuète. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Si notre Voie lactée a déjà fait l'objet de nombreuses études, elle est loin d'avoir dévoilé tous ses secrets. En effet, cette dernière est une galaxie spirale qui présente une forme de disque dont le diamètre atteint environ 80.000 années-lumière. Toutefois, ceci restait relativement flou car ces régions sont particulièrement difficiles à observer, obscurcies par les nuages denses de gaz et de poussière. 22 millions d'étoiles identifiées Les observations de cette équipe réalisées grâce au télescope VISTA ont en fait permis de mettre en évidence des étoiles qui n'avaient pas pu l'être avant, car pas assez lumineuses.