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[Carte] Le Grand Emprunt booste les fab labs

[Carte] Le Grand Emprunt booste les fab labs
À la traîne en France, les fab labs, ces mini-usines collaboratives permettant de créer ou fabriquer des objets à la demande, vont se multiplier, entre autres grâce au projet interrégional de médiation scientifique Inmediats. 5 millions d'euros y seront consacrés. Hop ! nous sommes en 2020, les hackerspaces, fablabs et autres usinettes (le nom importe peu) se comptent par milliers en France et pas seulement dans les grandes villes. Des gens de bonne volonté se sont regroupés dans certains villages désertiques, dans d’anciennes MJC-Algeco de banlieues “chaudes”, dans des usines désaffectés. Le passionné de mécanique auto prête ses outils et donne des cours à des types qui font en échange un peu d’ingénierie inverse sur la puce qui contrôle l’allumage de sa fourgonette TDCI. En 2009, Alexandre Korber, créateur d’Usinette, anticipait une France où les fab labs pulluleraient autant que les Leroy-Merlin. « On ne veut pas institutionnaliser » Retrouvez les autres articles du dossier FabLab

Crise : pourquoi ce sont les pauvres qui trinquent ? L’Insee a rendu un rapport sur les niveaux de vie en 2009. Et tiré une conclusion alarmante. La crise a creusé encore les finances des 10% les plus modestes, baissant leur niveau de vie de 1,1%. Elle a du même coup renvoyé derrière le seuil de pauvreté 8,2 millions de personnes soit 0,5% de plus qu’en 2008. Pendant ce temps, le niveau de vie des plus riches s’est légèrement accru (de 0,7%). Mais pourquoi les plus pauvres trinquent-ils ? Terra eco : Pourquoi les pauvres sont-ils plus touchés par la crise ? Eric Heyer : Selon l’Insee, la pauvreté a augmenté notamment parce que le chômage a fortement progressé. Mais n’oublions pas que le rapport de l’Insee porte sur les chiffres de 2009. Le gouvernement a mis en place des amortisseurs au moment de la crise : crédit d’impôt pour les plus faibles revenus, prime de « solidarité active », prime de rentrée scolaire... Certes, il y a eu des mesures ponctuelles qui ont fait partie du plan de relance. Il faut augmenter les minima sociaux.

Blog Science Animation Pendant l’année 2013, nous avons mené énormément d’expérimentations qui ont toutes eu en commun d’impliquer les publics à un moment ou un autre du projet. Avec de belles surprises, des ratés aussi, mais toujours des enseignements à en retirer. Le début d’année est la période des bilans, compte-rendus d’activité et autres joyeusetés. Une occasion aussi de prendre du recul, de compiler et d’organiser toute cette expérience. Ça s’appelle « capitaliser », ce n’est pas très glamour comme mot, et en plus c’est assez laborieux à faire. Mais ça permet de clarifier les idées. Alors, voilà, quitte à rédiger des rapports plus ou moins digestes, autant que cela puisse servir. N’hésitez pas à nous faire part de votre point de vue, commentaires, critiques, etc… Malvina Artheau / responsable du pôle numérique

Le revenu de base Imagina ! coup d'oeil sur l'innovation sociale espagnole Billet publié par Stéphane Vincent dans la catégorie Tags: Espagne-etc , Innovation , social Chose promise, chose due : moins de trois mois après notre voyage d’étude en Espagne consacré aux politiques locales innovantes vers les jeunes (18 au 20 octobre dernier), en voici le compte-rendu orchestré par Charlotte Rautureau, Hubert Guillaud pour l’essentiel des articles, Xavier Figerola à la mise en page et pour les vidéos, et le concours de tous les participants*. Au menu, la fraîcheur d’Utopic_US, tiers-lieu au coeur de Madrid ; les déconvenues de l’agence Funky Projects face aux velléités participatives des collectivités ; le vedettariat version "créatif" de TedX Youth Spain ; les interventions urbaines très inspirantes de PKMN (prononcez pacman) ou du Social Media Lab avec le projet Citilab. A signaler aussi cet entretien avec le Movimiento 15M, représentants le mouvement espagnol des indignés, "los indignodas". * Les participants côté français :

[documentaire] La révolution créative numérique : « Press Pause Play » Bonjour et… bon lundi à toutes et à tous ! Ce matin, un petit documentaire pour bien commencer la semaine et faire le plein de motivation. « Press Play Pause » nous présente la révolution numérique de la dernière décennie et sa résultante qui est la créativité et l’expression du talent d’une manière inédite, avec des possibilités illimitées. Mais cette culture et cette révolution numérique ne signifient pas du tout que l’art s’est démocratisé ni que le talent est devenu plus facile à trouver, en effet, il a pu se noyer dans la quantité d’oeuvres créées. C’est sur cette question que « Press Pause Play » se fonde et offre le recul d’une réflexion au travers d’interviews avec certains des créateurs les plus influents du monde de l’ère numérique. Personnellement, je trouve que cette « révolution numérique » présentée dans le documentaire offre un bon reflet de l’évolution sociale en général mais également des l’ensemble des gens qui sont au centre de cette société. source

A-t-on atteint un « pic des objets » Si l’on devait la caractériser en des termes mathématiques, la trajectoire de notre civilisation serait une courbe exponentielle. Tout au long du XXe siècle, la consommation d’énergie et de ressources naturelles — et donc logiquement les émissions de gaz à effet de serre — s’est accrue de concert avec la démographie. Mais aujourd’hui, serions-nous arrivés à un plateau ? Aurions-nous commencé à réduire notre consommation, ou du moins à la stabiliser ? La parcimonie serait-elle en voie de devenir le nouveau luxe ? Au cours de la dernière décennie, et notamment avant la crise économique, la Grande-Bretagne a ainsi moins consommé, tous secteurs confondus : moins de matériaux de construction (- 4 % entre 2000 et 2007), moins d’eau, de papier (- 18 %), de nourriture (surtout de viande), moins de voitures et de trajets, moins de textiles ou encore d’engrais. Croissance et consommation découplées A l’origine de ces données ? Délocalisation des industries consommatrices Audrey Garric

Why I Hate Android Why do I hate Android? It’s definitely one of the questions I get asked most often these days. And most of those that don’t ask probably assume it’s because I’m an iPhone guy. I should probably explain. Believe it or not, I actually don’t hate Android. Let’s turn back the clock. Then on January 9, 2007 — exactly 5 years ago today — Steve Jobs took the stage at Macworld to unveil the iPhone. Apple and Google were great allies at the time. A few months later, on November 5, 2007, Google teamed up with many of the big players in the mobile/telecom space to announce the Open Handset Alliance. In hindsight, Steve Jobs was clearly not happy about this and the subsequent iPhone-ification of Android. Jobs probably didn’t say much at the time because he didn’t have to. Time went on and it was pretty clear that despite the major players involved in the OHA, Android wasn’t getting a lot of traction. Let’s back up for a second. In the pre-iPhone world this may have sounded like crazy-talk. It.

10 Points On The Science Of Spreading The Word This piece is from a new PopTech Edition about harnessing social contagion for social good. Visit for more interviews, essays and videos with leading thinkers on this subject. 1. Good deeds are contagious We naturally imitate the people around us, we adopt their ideas about appropriate behavior, and we feel what they feel. 2. That same experiment showed that contagious generosity spreads up to three steps through the network (from person to person to person to person), and when we added up all the extra donations that resulted at every step, we found that an extra dollar in giving yielded three extra dollars by everyone else in the network. 3. People are bombarded by information and appeals every day, especially in our newly mobile and tech-centered society, so the effect of any one appeal to do a good deed may get lost. 4. 5. Although most relationships online are not strong (the average person on Facebook has 150 "friends"), we do tend to be connected to our closest friends online too.

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