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Traité de Lisbonne, article 123 : le coup d'état de la finance

Traité de Lisbonne, article 123 : le coup d'état de la finance
Comme chacun sait, est actuellement en première ligne des pays attaqués par la finance sur son point faible : la dette souveraine. Cette situation est cependant valable pour la plupart des pays occidentaux endettés, y compris , la seule différence étant que les plus vulnérables subissent en premiers les coups de boutoir de ladite finance. Les suivants sur la liste commencent d’ailleurs également à être touchés (Portugal, Espagne) à travers les agences de notation. Cet article va évoquer une question fondamentale que personne ou presque ne se pose, à savoir pourquoi les états en sont arrivés à se financer sur le marché privé. Cette question en apparence anodine est en fait lourde de conséquences sur les finances publiques et surtout pour les contribuables que nous sommes tous. C’est bien la finance qui coule : démonstration La dette d’un état Comme tous les pays en déficit, doit lever régulièrement sur le marché mondial des fonds pour financer son déficit. Toute dette comprend 2 parties :

Les banques, une gangrène qui dégénère. Liliane Held-Khawam Le Brexit a déclenché des fureurs sur les places mondiales. Un krach financier d’ampleur se déroule sous nos yeux, entrainé par les banques européennes… La question que se pose ci-dessous Bruno Bertez est le pourquoi de leur dégringolade qui, pour ne pas dire effondrement? (cf notre dossier sur la Deutsche Bank) Cela fait de nombreuses années que nous dénonçons les too big to fail et le système de sauvetage que leur ont offert les gouvernants sans aucune exigence en échange (Bâle III compris). Ce petit monde ressemble de plus en plus à une mafia devenue trop grosse pour être stoppée. Si les dirigeants d’un pays sont impuissants ou complaisants avec ces hauts dirigeants des banques (oubliez même le niveau des directeurs), que peut faire la justice? L’immunité de ces gros bonnets de la finance est en train de pourrir l’existence de millions de personnes qui triment pour ramener quelques euros à la fin du mois. Liliane Held-Khawam On parle d’un plan de sauvetage des banques italiennes.

Les gros bidouillages du « Petit Journal » de Canal + Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly ont refusé de se saluer ? Faux : ils l’ont fait, mais pas devant les caméras du « Petit Journal ». Les militants du mouvement Debout la République n’ont rien compris au meeting de Nicolas Dupont-Aignan ? Faux, car ils ont été interrogés avant que leur leader s’exprime. Mélenchon est omniprésent, comme le montre une petite compilation de ses passages dans les médias ? Faux encore, car les porte-paroles de l’UMP et du Parti socialiste occupent toujours plus de 70 % du temps de parole cumulé. Depuis quelques semaines, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur les « méthodes » du « Petit Journal ». Est-il légitime de brandir une carte de presse quand on se livre à des activités qui tournent le dos aux règles les plus élémentaires du journalisme ? Erreur de comptabilité La mise en scène est efficace. Or cette séquence – pas plus qu’une autre, mais pas moins non plus – est révélatrice de la méthode de travail du « Petit Journal ». Flagrants délits de trucage N.

Official Journal - 2007 - C 306 Journal officiel de l'Union européenne 50 e année 17 décembre 2007 Édition de langue française Communications et informations Numéro d'information Sommaire Page Traité de Lisbonne modifiant le traité sur l'Union européenne et le traité instituant la Communauté européenne, signé à Lisbonne le 13 décembre 2007 Article 1 er Article 2 Article 3 Article 4 Article 5 Article 6 Article 7 A. — Protocole sur le rôle des parlements nationaux dans l'Union européenne — Protocole sur l'application des principes de subsidiarité et de proportionnalité — Protocole sur l'Eurogroupe — Protocole sur la coopération structurée permanente établie par l'article 28 A du traité sur l'Union européenne — Protocole relatif à l'article 6, paragraphe 2, du traité sur l'Union européenne sur l'adhésion de l'Union à la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'Homme et des libertés fondamentales — Protocole sur le marché intérieur et la concurrence — Protocole sur l'exercice des compétences partagées B.

Les trois fonctions de la monnaie et leur sabotage Par Jan Krepelka. Qu’est-ce que la monnaie ? La monnaie est un outil formidable de civilisation, qui nous a permis de sortir du troc, d’épargner et de se coordonner par le marché. Elle rend possible à grande échelle la spécialisation du travail, les avantages comparatifs, les gains à l’échange, le calcul économique… Sans monnaie, pas de civilisation moderne, donc. Traditionnellement, on attribue trois fonctions à la monnaie. Les 3 fonctions de la monnaie Unité de compte : La monnaie permet de se rendre compte de la valeur relative des biens, et de faire des choix en conséquence. Quel est le rôle d’une banque émettrice de monnaie ? Des banques libres en concurrence ;Une garantie mathématique (bitcoin) ;La convertibilité obligatoire en or ;Des règles constitutionnelles, comme par exemple, au hasard, un ratio minimal de réserves en or. Il y a d’autres moyens qui ne sont guère que des pis-aller, et se sont révélés historiquement des échecs cuisants : … et leur sabotage actuel Sur le web

Le multimédia face à l’immédiat. Une interprétation de la reconfiguration des pratiques journalistiques selon trois niveaux 1En cette période de profondes mutations qui bouleversent le monde du journalisme, une notion pose question : l’immédiateté. Cette possibilité de transférer des informations de façon instantanée a en effet été accrue par les nouvelles technologies, en particulier par Internet. Cette accélération de la transmission des flux informationnels remet en cause certaines routines ancrées dans le quotidien des journalistes. 2L’immédiateté est interprétée par nombre de journalistes comme l’un des principaux vecteurs de changement de leur sphère professionnelle. 3Une voie pour comprendre cette transformation professionnelle passe avant tout par le questionnement de ceux qui la vivent, puisque nous considérons, à l’instar de l’ethnométhodologie, que les individus sont, non pas des « idiots culturels » (Garfinkel, 1967), mais de potentiels acteurs de leur propre analyse. 6Dans notre interprétation, le terme immédiateté pourrait être défini comme le fait de traiter de l’information en temps réel.

Courbe de Phillips Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La courbe de Phillips aux États-Unis dans les années 1960 Mise en évidence en 1958, la courbe de Phillips est une courbe illustrant une relation empirique négative (relation décroissante) entre le taux de chômage et l'inflation ou taux de croissance des salaires nominaux. Cette relation s'explique par le fait qu'au-delà d'un certain niveau de chômage, les salariés ne sont plus en position de force pour exiger une hausse de salaire ; le partage des gains de productivité s'effectue alors en faveur de l'entreprise. Il y a deux interprétations : Une interprétation keynésienne selon laquelle il y a un très fort lien entre la croissance des salaires nominaux et l'inflation ; Taux d'inflation = Taux de croissance des salaires nominaux - Taux de croissance de la productivité Une interprétation monétariste selon laquelle, à long terme, le taux de chômage ne dépend plus du taux d'inflation. Historique[modifier | modifier le code] où Portail de l’économie

Retirer de l'argent au distributeur, cela pourrait bientôt devenir payant Avec les taux au plus bas, les banques cherchent des solutions pour faire rentrer un peu d'argent dans leurs caisses. Une de ces solutions pourrait passer par de plus en plus de services payants. Notamment les transactions effectuées aux distributeurs d'argent. Newsletter info Recevez chaque matin l’essentiel de l'actualité. OKNe plus afficher × Des services gratuits qui deviennent payants Rendre payants des services actuellement gratuits comme les retraits aux distributeurs d'argent, afin de contrer les pertes dues aux taux bas, c'est en tout cas ce que rapporte Het Laatste Nieuws. Chez Crelan, le CEO Luc Versele, s'attend également à ce que les banques fassent payer leurs services. Un maximum de 24 retraits "Les services de base des banques doivent être respectés. Cependant, il serait mal vu que les banques fassent payer des services de base aux consommateurs à un tarif qui serait plus élevé que ce que cela coûte réellement.

De quoi la Burqa pride est-elle le nom ? Une hystérie politico-médiatique aux relents racistes et islamophobes vient de secouer la Belgique francophone. En cause : une « Burqa pride » organisée par un collectif de militants à l'Université Libre de Bruxelles (ULB). Fallacieusement décrits comme des « intégristes islamistes », ces « assassins de la démocratie » ont commis un abominable crime : chahuter une tribune donnée par l'ULB à la journaliste française Caroline Fourest. Le malaise provoqué par la « Burqa pride » ne peut s'appréhender sans une contextualisation dont les médias traditionnels sont aujourd'hui foncièrement incapables. Que s'est-il vraiment passé ? Par cette action politico-satirique, ce collectif entendait revendiquer deux choses. D'autre part, les activistes de la Burqa pride voulaient contester la légitimité même de Fourest à s'exprimer sur le thème de la conférence (« L'extrême-droite est-elle devenue fréquentable ? Retour au soir du 7 février à l'ULB. En réponse, le chercheur scande « Bur-qa bla-bla !

Sortir de l'euro ? Impossible pour les journalistes, mais pas pour les prix Nobel d'économie! (Mammal - Flickr - cc) C’est aujourd’hui la dernière ligne de défense des partisans de l’euro : la fin de la tour de Babel monétaire édifiée à Maastricht provoquerait un cataclysme économique. Pourtant, d’innombrables économistes, dont des prix Nobel, affirment le contraire, comme Jonathan Tepper dans une étude passionnante. La peur, dernier rempart de défense de l’euro Du même auteur Il est proprement incroyable d’écouter les éditorialistes ou les politiques évoquer une sortie de la monnaie unique. Pourtant, une étude sérieuse démontre que cela est faux. Les unions monétaires finissent bien Comme d’autres, j’ai déjà fait un dossier assez fouillé sur la fin de l’euro avec les exemples de l’Argentine ou de la Tchécoslovaquie. De la banalité de la sortie d’une union monétaire

[À lire en +] "Banquière pendant 12 ans, mon métier consistait à vous voler impunément" Banque - illustration (ISOPIX/SIPA) Vu sur Vice C’est un témoignage édifiant que le site Vice vient de publier. On peut y lire les confessions de Nathalie M., ancienne conseillère clientèle pour la BNP Paribas et le Crédit Agricole. "J'étais une voleuse légale" Ce qu’elle raconte n’a rien de bien glorieux et donnerait presque envie de garder son argent sous un matelas. “Longtemps, j'ai volé les gens. Au-delà de voler ses clients, Nathalie M. se retrouve coincée entre la direction et ses objectifs inatteignables et ses clients, de plus en plus mécontents. "Une banque ne vous aidera que si vous êtes riche" Elle se sent utilisée comme de la "chair à canon". “Comprenez bien qu'une banque, en 2016, ne vous aidera que si vous êtes déjà riches. Après plus de dix ans à faire ce métier, Nathalie M. en a assez de vomir tous les matins. “Si j'écris ces mots aujourd'hui, c'est par compassion envers mes anciens et anciennes collègues.

What’s the difference between SOPA and PIPA? I decided to put my slightly-dormant internet policy research skillz to work to figure this out. It was surprisingly difficult. Most stop PIPA/SOPA websites conflate them– but they are different. #1: SOPA’s a House bill, PIPA is a Senate bill.SOPA = House of RepresentativesPIPA = Senate The Senate tends to be older and more conservative than the House, meaning that it’s more likely to be completely clueless about the internet. #2: PIPA has a greater chance of passing. SOPA has gotten so much guff that it’s temporarily off the table. #3: They are essentially the same “anti-piracy” bill, but with a few different provisions. Both PIPA and SOPA focus on “foreign rogue websites” (e.g. the Pirate Bay, Wikileaks) that facilitate piracy. PIPA does NOT have a provision that requires search engines to remove these “foreign infringing site[s]” from their indexes. PIPA does seem to require more court intervention to take down a site– that’s good, right? #4: They both require DNS blocking. Like this:

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