Le dernier survivant du massacre d'Oradour-sur-Glane, Robert Hébras, témoigne à Saint-Lô ce vendredi soir Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
Jalons Pour l'histoire du temps présent Le 6 juin 1944, les Alliés débarquent en Normandie. Assez rapidement, ils parviennent à prendre pied sur les plages et à constituer une tête de pont, au prix de pertes énormes, mais moins élevées que celles que les états-majors avaient prévues. Les Allemands opposent en revanche une forte résistance et contiennent, jusqu'en juillet 1944, l'offensive anglo-américaine. Françoise Berger Le premier reportage de "France Actualités" sur le débarquement des forces alliées en Normandie ne présente que des images fort peu explicites des combats. Ce document fait partie des actualités cinématographiques diffusées du 21 août 1942 au 18 août 1944 sous le label "France Actualités".
Témoignage vidéo de Ginette Kolinka et Milo Adoner Témoignage vidéo de Ginette Kolinka et Milo Adoner Partage J'ai lu cet article et je l'ai trouvé très intéressant. Cet article s'appelle Témoignage vidéo de Ginette Kolinka et Milo Adoner et se trouve à cet adresse Envoyer A l’occasion de la commémoration de la découverte des camps le 27 janvier 1945, nous vous proposons un témoignage vidéo de Ginette Kolinka et Milo Adoner accompagné d’un dossier pédagogique à étudier avec vos élèves. dossier pédagogique
La vie malgré tout : épisode 1/2 du podcast Née à Bergen-Belsen Épisode 1 : La vie malgré tout Sage-femme, elle accouche seule, en pleine nuit, de son bébé, 5 mois plus tard malgré un univers de mort et le dissimule contre sa poitrine jusqu’à la libération du camp. C’est une petite fille. Elle l’a prénomme Yvonne. Le bébé et la mère survivent à cette déportation. Pendant son enfance et son entrée dans la vie d'adulte, Yvonne tente de comprendre sa naissance à Bergen-Belsen. Depuis cette découverte, chaque année, à Noël, Yvonne apporte des chocolats à Francine, en guise à la fois de reconnaissance et d’amitié. Intervenants Yvonne Salamon, psychiatre, née à Bergen-Belsen Francine Christophe, Victor Perahia, Jean Serge Lorach, tous trois enfants déportés à Bergen-Belsen avec leurs mères Remerciements à Frédérique Agnès, journaliste et co-auteur avec Yvonne Salamon de Je suis née à Bergen-Belsen (Plon, 2020) et Maryvonne Braunschweig, historienne. Elle ne réfléchit pas. Un documentaire de Dominique Prusak et François Teste. 2 min Bibliographie Actualités
Jalons Pour l'histoire du temps présent Le reportage se situe quelques jours après le débarquement. Le commentateur accompagne d'un ton assez tragique les vues générales sur les baies de Normandie vers lesquelles continuent d'affluer des navires chargés d'hommes et de matériel. Il est vrai que l'heure est difficile car les premières vagues de débarquements ont fait des milliers de victimes, beaucoup d'hommes étant morts avant de pouvoir poser le pied sur le sol français. Grâce à des vues tournées à bord d'une barge, le spectateur peut vivre ce débarquement en "réel", aux côtés des hommes qui se précipitent dans l'eau déchaînée au moment où la porte bascule. Cependant, le reportage ne cherche pas à minimiser les pertes, puisqu'il revient ensuite sur des images montrant les conditions épouvantables du débarquement et les morts sur les plages, mais aussi les premiers prisonniers allemands. Françoise Berger
Chante, Luna - Paule du Bouchet L'histoire se passe à Varsovie en 1939. Luna est une jeune juive d'origine polonaise. Elle a 14 ans lorsque l'armée allemande envahit la Pologne et entre dans la ville. Elle n'est pas différente de ses camarades de classe d'autant plus qu'elle est si blonde que tout le monde la croit d'origine polonaise. Son signe particulier ? C'est un roman absolument magnifique à faire lire aux adolescents dès l'âge de 13 ou 14 ans. Lien : La deuxième guerre mondiale en Première - La déportation et le système concentrationnaire nazi par Jean-Pierre Husson Même si la mortalité dans les camps de concentration de l'Allemagne nazie a été élevée, il convient d'emblée de bien distinguer les termes de camps de concentration et de camps d'extermination. Le terme de camp de concentration n'a pas été inventé par les nazis. Il a été utilisé dès le début du XXème siècle par les Britanniques, lors de la guerre des Boers qui les a opposés en Afrique du Sud aux descendants des colons néerlandais. Dans l'Allemagne hitlérienne, la fonction des camps de concentration était une fonction d'exclusion et de terreur. Ces camps étaient destinés à recevoir non seulement les adversaires des nazis, mais aussi tous les individus considérés comme dangereux pour le régime nazi. Chronologiquement, l'ouverture des camps de concentration a précédé celle des camps d'extermination. 1. 2. Des convois affluèrent de toute l'Europe occupée vers ces camps placés sous le contrôle des SS. 1. 2. 3. Au total, 1 million de déportés sont morts dans ce camp. Le bilan de la Shoah
Jalons Pour l'histoire du temps présent La véritable Radio Paris, l'une des meilleures radios de France émet jusqu'au 17 juin 1940. L'occupant allemand, qui en a réquisitionné les locaux et le matériel, va usurper ce nom pour en faire, en zone occupée, l'outil principal de sa propagande, dès le 18 juillet 1940. Disposant de moyens financiers importants, cette radio allemande en langue française recrute de nombreux journalistes collaborationnistes et antisémites. Profitant des nombreux concerts et spectacles donnés à Paris, elle joue la confusion avec la radio de Vichy (qui n'est pas au début, autorisée en zone Nord). Radio Paris peut diffuser dans l'Europe entière et l'Afrique du Nord grâce à un émetteur de très forte puissance. Les messages personnels diffusés sur les ondes de la radio de Londres (BBC) permettent de maintenir le contact entre la résistance intérieure et les Alliés. Françoise Berger
La guerre de Catherine | L’école des loisirs, Maison d’Édition Jeunesse Rachel Cohen s’appelle désormais Catherine Colin. Elle doit oublier son ancien nom et celui de ses parents. Mais aussi sa vie d’avant, quand il n’y avait pas la guerre et que les Juifs ne devaient pas se cacher. Et puis il faut partir. Dans sa fuite, Catherine emporte son Rolleiflex et des films. Julia Billet à propos de son livre : « Cette histoire s’inspire donc de faits du réel, de personnages ayant existé et à qui je souhaite rendre hommage. […] mais La Guerre de Catherine reste avant tout un roman, un roman qui s’inscrit dans une période de l’histoire et vient rappeler que, même quand les loups hurlent à la mort, des femmes et des hommes savent rester fidèles à leur humanité. » La Guerre de Catherine a été adapté en BD chez Rue de Sèvres.
LA TELE ET MAI 68 Une jeunesse au temps de la Shoah : Extraits d'Une vie Simone Jacob commence par nous raconter son enfance, passée à Nice, tout en nous décrivant sa famille dont le parcours est jalonné de vicissitudes plus ou moins heureuses jusqu'à l'aube de la 2nde guerre mondiale. La montée du nazisme et de l'antisémitisme y sont décrites dans leurs différentes étapes (méfiance envers les juifs, leur interdiction d'exercer leur métier,…). Jusqu'en 1943, les juifs se trouvent plus ou moins en sécurité à Nice. Mais durant l'été, les Italiens signent l'armistice et quittent la région. Les Allemands débarquent dans la région et c'est là que le danger les menace fortement : de nombreuses arrestations ont lieu. Un témoignage court mais poignant et efficace.
Jalons Pour l'histoire du temps présent Le document enchaîne des plans rapprochés montrant les affiches de recrutement, les hommes qui se présentent d'un air décidé, les "Ausweiss" qu'on leur délivre pour leur voyage, puis le départ dans une gare où la caméra s'attarde sur les services de ravitaillement à destination des volontaires. Tout est fait pour suggérer que les conditions de travail qui attendent ces ouvriers seront les meilleures possibles. Dernier gros plan sur une poignée d'hommes jeunes, accoudés à la fenêtre d'un compartiment, qui semblent satisfaits de partir. Ce document fait partie des actualités cinématographiques diffusées du 7 août 1940 au 14 août 1942 sous le label "Actualités mondiales". Françoise Berger