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Paul Jorion

Paul Jorion
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Jorion[1], né le 22 juillet 1946[2] à Bruxelles, est un chercheur en sciences sociales, de nationalité belge, ayant fait usage des mathématiques dans de nombreux champs disciplinaires : anthropologie, sciences cognitives, et économie[3]. Anthropologie[modifier | modifier le code] Modélisation algébrique des systèmes de parenté[modifier | modifier le code] Élève de Claude Lévi-Strauss et du mathématicien Georges-Théodule Guilbaud, Paul Jorion a fait progresser la modélisation algébrique de systèmes de parenté, résolvant en particulier le système matrimonial des Pendé du Congo (en collaboration avec Gisèle de Meur et Trudeke Vuyk), et réconciliant plusieurs interprétations contradictoires du système de parenté des Murngin d'Australie (à partir d’une recherche menée en commun avec Edmund Leach, son professeur à l’université de Cambridge[réf. nécessaire]). La transmission des savoirs traditionnels[modifier | modifier le code]

Long Term Capital Management Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Long Term Capital Management est un hedge fund apparu en 1994 et dont la quasi-faillite en 1998 fit courir un risque majeur au système bancaire international et créa des perturbations importantes sur les marchés financiers. La société[modifier | modifier le code] La convergence des marchés obligataires de la future zone Euro vers l'union monétaire de janvier 1999 fournit tout d'abord des profits aisés et importants à LTCM grâce à des effets de levier très importants. Le fonds cultive le secret sur ses méthodes et ses positions, mais les traders de LTCM, presque tous passés entre les mains du professeur Robert Merton à l'université, sont considérés comme des génies des mathématiques financières, et leurs modèles semblent pouvoir les faire gagner à tous les coups. La chute[modifier | modifier le code] Le 23 septembre 1998, LTCM est au bord de la faillite. Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Joseph Schumpeter - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph Schumpeter Il est l'auteur d'une Histoire de l'analyse économique, parue en 1954 et qui fait encore référence. Biographie[modifier | modifier le code] En 1908, il publie son premier ouvrage, devenu très vite un classique de la statistique économique, Nature et essence de l'économie théorique, ce qui lui permet d'obtenir en 1909 un poste de professeur associé en économie politique à l'université de Czernowitz. Il publie la première édition de sa Théorie de l'évolution économique en 1911, ouvrage qui s’affranchit du cadre néoclassique et témoigne de son intérêt pour la dynamique et les lois du changement économique. En 1913-1914, il est professeur invité à l'université Columbia de New York. En 1925, il devient professeur de finances publiques à l'université de Bonn et se remarie avec Anna Reisinger. Les États-Unis[modifier | modifier le code] Il se remarie une troisième fois avec une économiste du nom d'Elizabeth Boody en 1937.

Michel Aglietta Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Spécialiste des questions de régulation économique, Michel Aglietta a en particulier travaillé sur les nouvelles stratégies boursières sacrifiant l'emploi à la rentabilité et leur impact macroéconomique. Biographie et travaux[modifier | modifier le code] En octobre 1974, Michel Aglietta soutient sa thèse intitulée Régulation du mode de production capitaliste dans la longue période. Prenant exemple des États-Unis (1870-1970). Michel Aglietta est l'un des fondateurs en 1976, avec Robert Boyer, de l'école de la régulation[3]. Il est un spécialiste d’économie monétaire internationale et connu pour ses travaux sur le fonctionnement des marchés financiers, qui ont permis de mieux connaître l'Histoire des bourses de valeurs. Aglietta a étudié les relations entre les structures des systèmes financiers et la croissance économique. L'économiste Jacques Sapir a critiqué les opinions de Michel Aglietta dans son ouvrage Faut-il sortir de l'Euro.

La croissance, est-elle une réussite en soi Elle est certainement un élément de preuve de réussite, mais elle n’est pas la preuve de la réussite. Car elle recèle également en son sein un véritable danger qui guette l’entreprise sur au moins trois dimensions : la culture d’entreprise, le stress, la gouvernance. Au début de la vie d’une entreprise, sa réussite repose beaucoup sur la réactivité et la capacité des équipes à s’affranchir de règles implicites ou explicites. Cela se traduit souvent par un état d’urgence permanent qui occupe le temps et qui façonne la culture : on pare au plus pressé, on livre le client…, et on n’a pas le temps de se poser pour s’organiser, on devient "baroudeurs", "pompiers", les "coups" sont les seuls éléments valorisés. Il faut être dans l’action pour exister. La culture de la remise à plat y est souvent considérée comme une perte de temps : on n’aime pas les règles, les procédures, on est dans le règne de la débrouille, seul le résultat compte. Par Stéphane Lescure - Proconseil

Goldman Sachs, le trait d'union entre Mario Monti, Lucas Papadémos et Mario Draghi Le président de la BCE, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec ont en commun d'avoir été associés à la banque américaine. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marc Roche Qu'ont en commun Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos ? Le nouveau président de la Banque centrale européenne, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec appartiennent à des degrés divers au "gouvernement Sachs" européen. A tout concours, il faut une hiérarchie. Deux autres poids lourds tiennent le haut du pavé dans la défenestration de l'euro, Otmar Issing, ex-président de la Bundesbank et Jim O'Neill, l'inventeur du concept des BRICS, l'acronyme désignant les marchés émergents à fort potentiel de croissance (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Pourtant, au-delà des apparences, le réseau d'influence qui a fait sa puissance avant ou pendant la tourmente politique financière de 2008 a perdu de son efficacité.

Karl Polanyi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Polanyi. Dans le nom hongroisPolányiKároly, le nom de famille précède le prénom, mais cet article utilise l’ordre habituel en français KárolyPolányi où le prénom précède le nom. Son livre majeur « La Grande Transformation »[1] souligne l'absence de naturalité et d'universalité de concepts comme « l'homo oeconomicus » ou « le marché » souvent présentés à ses yeux comme évidents ou ayant valeur ou signification uniques et/ou intemporelles. Vision erronée et utopique qui résulte selon lui du « désencastrement » de l'économie (opéré et réussi par le libéralisme) et de son autonomisation en dehors de toute Société globale. Son idéal -d'après son traducteur B. Biographie[modifier | modifier le code] Le Cercle Galilée[modifier | modifier le code] La Liberté d'esprit : « Par liberté d'esprit nous n'entendons ni déni de la vérité, ni déni de l'éthique, de la loi ou de l'autorité. Fin de vie[modifier | modifier le code]

Découvrez la liste des 29 banques dont le risque est considéré comme "systémique" Vingt-neuf grandes banques à dimension internationale, parmi lesquelles quatre françaises, devront renforcer sensiblement leurs fonds propres d'ici 2019 en raison des risques que leur taille ou leur complexité feraient peser sur le système financier international si elles étaient en difficulté. BNP Paribas , Crédit agricole , Société générale et BPCE (Banque populaire-Caisse d'épargne) figurent au nombre des 29 institutions financières recensées par le Conseil de stabilité financière (CSF) qui devront également faire l'objet d'une supervision renforcée. Le sommet du G20 a entériné les décisions prises par les ministres des Finances le mois dernier à Paris, l'objectif étant que ces banques disposent d'un capital suffisant pour que les Etats ne se trouvent pas contraints de se porter à leur secours lors d'une prochaine grande crise. Le niveau exact de cette surcharge pour chacune de ces "global sifis" sera fixé en 2014. La liste complète :

Bulle immobilière Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une bulle immobilière est une bulle spéculative sur tout un marché immobilier, caractérisée par une hausse rapide de la valeur des biens immobiliers. Elle se traduit par un écart important et persistant entre le prix des immeubles et la variation de ses déterminants fondamentaux économiques comme les salaires ou le rendement locatif[1]. Cette spéculation immobilière, lorsqu'elle est effectuée à crédit, fait courir des risques aux créanciers comme aux emprunteurs. Quelle que soit la liquidité du marché, le dégonflement de la bulle peut être lent ou rapide : la correction des prix prend alors la forme d’un krach immobilier, laissant de nombreux propriétaire en negative equity (le montant restant à rembourser est supérieur à la valeur du bien immobilier). Contexte et histoire[modifier | modifier le code] La notion de bulle spéculative a souvent été observée au niveau du marché de titres. Causes conjoncturelles[modifier | modifier le code]

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