Fabrique Spinoza - Existe-t-il un revenu optimal pour être heureux ? » Fabrique Spinoza On connaît tous les proverbes assez prosaïques qui mettent en avant l’importance de l’argent dans une vie heureuse: l’argent ne fait pas le bonheur… mais y contribue fortement, faute d’argent, c’est douleur non pareille ou encore on ne vit pas d’amour et d’eau fraîche. Cette perception de l’argent qui serait facteur de bonheur se retrouve d’ailleurs dans différentes enquêtes: c’est ainsi que d’après une enquête IFOP, 61% des Français affirment « manquer d’argent pour être tout à fait heureux » contre 33% qui préfèrent l’amour. Des nations riches mais moins heureuses que d’autres Pourtant, lorsqu’on regarde les classements des pays les plus heureux, la France où le PIB/tête est le 5ème plus important au monde, apparaît loin derrière des pays dont les habitants ont un niveau de vie bien inférieur aux Français […] Pour lire la suite de l’article complet Les recommandations de la Fabrique Spinoza Inspirée par ces recherches, la Fabrique formule quelques propositions.
L’Espace Politique « Firmes et géopolitique » 1Les communications réunies dans ce numéro de L’Espace Politique sont issues du colloque « Firmes, géopolitique et territoire » organisé les 10 et 11 septembre 2010 à la Maison des Sciences de l’Homme de l’université de Nancy 2. Ce colloque, initié conjointement par les commissions « géographie politique » et « industrie et emploi » du CNFG, a donné lieu à 35 communications de chercheurs français et étrangers permettant de réfléchir et de proposer une image objectivée de la place qu’occupent les firmes en tant qu’acteurs géopolitiques. Outre ce numéro, d’autres communications ont été publiées par la Revue Géographique de l’Est. 2La crise financière et économique, l’instabilité des marchés, les spéculations sur les États, la concurrence pour les ressources, les multiples problèmes environnementaux locaux ou globaux ont mis les firmes sur le devant de la scène. 3L’approche des relations entre politique et économie a variée au fil du temps.
Dubaï, territoire d'un nouveau type dans le monde arabe Pôle émergent de l'espace mondial, l'émirat de Dubaï (ou Doubaï), qui fait partie de la Fédération des Émirats arabes unis (EAU), est une cité-État aux caractères très spécifiques au sein du monde arabe. Elle a un rôle de synapse important dans le fonctionnement régional, mais ses ambitions s'exercent aussi à l'échelle internationale. Ce territoire de 3 885 km² et d'1,2 million d'habitants pourrait-il devenir un modèle pour le monde arabe ? Au début des années 1960, Dubaï comportait quelques maisons en pisé, un souk, un port ensablé, accessible aux seuls boutres à fond plat qui sillonnaient le Golfe et la mer d'Oman. En 2002, avec un PIB de 18,8 milliards d'USD, Dubaï produit 26,5% de la richesse de la Fédération, après Abu Dhabi (57,7%) et le PIB/hab y dépasse 17 000 USD. Présentation de la Fédération des Émirats arabes unis (EAU) En pop-up : données générales et ligne de temps Localisations et contexte géopolitique régional Dubaï, synapse dans l'espace régional et mondial Le Burj Al-Arab
la Planète financière "L'Internationale des riches" / Le Monde diplomatique Numéro coordonné par Martine Bulard et Pierre Rimbert Lire, dans Le Monde diplomatique de juin 2008, le compte rendu de ce numéro par Laurent Cordonnier. A quoi servent-ils ?Pierre Rimbert I. Le petit monde des grandes fortunes Une croissance à faire rêver les gouvernements : 8,3 %. Illustration grinçante de la thèse selon laquelle la mondialisation ne profite pas qu’aux Occidentaux, le club des grandes fortunes accueille de nouvelles têtes. Si l’internationalisation des échanges renforce le pouvoir de l’élite mondialisée, l’arbre de la « superclasse » dissimule le buisson des nantis qui prospèrent à l’ombre des nations. Tous milliardaires...Mathias Roux Les inconnus des statistiquesAlain Bihr et Roland Pfefferkorn Naissance d’une bourgeoisie africaineJean-François Bayart Bienvenue dans « bling-bling India »Cléa Chakraverty Après le pétrole, les services de luxeAkram Belkaïd Au temps des « barons voleurs »Howard Zinn Les grands d’AmériqueClaude Julien II. Vers une cotation des facultés ? III.
Le tournant territorial de l'économie globale Le fait territorial, insoupçonné en période fordiste, apparaît aujourd’hui sous de multiples formes, en fonction des contextes productifs où il se manifeste. On en trouve en effet des émergences tant dans les économies industrielles que dans celles du Sud et tant dans les villes que dans le milieu rural. G. Ce qui est remarquable n’est pas seulement l’importance quantitative (en nombre, en densité, en volume…) de ces modes d’organisation territoriale que, dans la théorie standard, l’absence d’analyse du phénomène longtemps tenu pour négligeable tant dans la théorie économique que dans les analyses de la globalisation. Les avatars de la forme « district industriel » L’opérateur fondamental de ces formes nouvelles repose sur la notion d’externalité formalisée par A. Au commencement de cette jeune histoire, il y a la (re)découverte des districts industriels marshalliens par les économistes italiens autour de la figure de G. Économie de la connaissance et territoire
Géographie de la finance mondiale Ce mercredi 26 janvier, Planète Terre reçoit deux invités pour un débat autour de la géographie de la finance mondiale : Olivier Crevoisier, directeur de recherche à l’Institut de Sociologie de l'Université de Neuchâtel et Maude Sainteville, chercheuse associée à l'université Paris I au sein de l’UMR Géographie-Cités au sein de l'équipe C.R.I.A. et professeur en classe préparatoire A/L au lycée Descartes à Tours. Paradis fiscaux et capitalisation ©umr géographie-cités ums riate 2007 Comment la géographie appréhende-t-elle la structuration des territoires de la finance mondiale, et avec quels outils théoriques et empiriques ? Retrouvez un nouveau billet de Globe, le blog de Planète Terre : "Territoires et dynamiques spatiales de la finance mondiale". Il présente de nombreuses analyses, cartes et schémas extraits des travaux de nos invités.
Le dessous des cartes | ARTE 72% des millionnaires ne se sentent pas riches Alors que certaines professions gagneraient à se faire discrètes pendant quelques temps, rapport à leur cote de popularité, on apprend que la banque d'investissement UBS Wealth Management Americas a réalisé une étude pour nous expliquer que les millionnaires ne se sentent pas riches. Comme l'écrit ABC News, les investisseurs qui n’ont «qu’un» malheureux million de dollars (environ 750.000 euros) ne sont que moins d’un tiers à se considérer comme riches (28%). Autrement dit, 72% ne se considèrent pas comme riches. publicité L’une des plus grandes surprises, écrit UBS, a été de découvrir que quatre investisseurs sur cinq avaient la charge financière de leur enfant ou de parents âgés. Plus surprenant encore, c’est parmi les jeunes millionnaires que le pessimisme sur le long terme est le plus marqué: ces derniers ont plus peur que leurs aînés de ne pouvoir financer leurs soins médicaux et leur retraite… «Il y a toujours des gens autour de vous qui ont plus que vous. Le fric, c’est re-la-tif.
Qu'est-ce qu'un paradis fiscal ? - Dessine-moi l’éco Transcription automatique corrigée Qu'est-ce qu'un paradis fiscal ? Les entreprises sont imposées sur leurs bénéfices, et les ménages sur leurs revenus. Ils peuvent chercher à réduire le montant de leurs impôts en transférant leurs bénéfices ou leurs revenus dans un paradis fiscal. L'OCDE, organisation internationale qui réalise des études économiques, a défini 3 critères pour qu'un pays soit considéré comme un paradis fiscal. Prenons le cas d'une entreprise. Mais pourquoi ces pays choisissent-ils d'avoir un taux d'imposition si faible ? Aujourd'hui les paradis fiscaux ont signé des accords de coopération avec d'autres pays, pour transmettre des informations sur les entreprises soupçonnées d'évasion fiscale.
Study: Only 28 Percent of Millionaires Think They're Rich If you had investments worth a million dollars, would you consider yourself rich? How about $5 million? Well, hold on to your wallet because a new study has found that the majority of millionaires don't consider themselves rich. According to a study from investment bank UBS, entitled "What is Wealthy? "To us, the surprise was that that many people with $1 million or more did not consider themselves wealthy," said Emily Pachuta, head of investor insights at UBS Wealth Management Americas. According to the opt-in, online survey of 4,450 Americans ages 25 plus with a minimum of at least $250,000 in investable assets (half with at least $1 million in investable assets), 50 percent of investors define wealth as "having no financial constraints on what they do." If this outlook seems a little odd—especially when you consider that the median household income for May 2013 was $51,500 and the average 401(k) account has about $80,000—experts are not especially surprised.
Mondialisation financière Mondialisation financière La mondialisation financière, définie comme la baisse des coûts sur les transactions internationales d'actifs financiers, ou comme l'accroissement des flux financiers entre pays, est un phénomène ancien. Le monde de la fin du 19e siècle était, à bien des égards, aussi intégré financièrement que le monde des années 1960-1970. Une étude approfondie des marchés internationaux d'actifs révèle d'ailleurs que, contrairement aux idées reçues, l'intégration financière mondiale semble toujours limitée en ce début de 20e siècle. Pourtant, cette mondialisation financière, même (ou peut être parce qu') inachevée, semble poser de nombreux problèmes. Quelles sortes de contraintes fait-elle peser sur les politiques économiques des pays ?
Why Don't the 1 Percent Feel Rich? - Matthew O'Brien The merely rich are making more, but they're not worth more. It's the 0.01 percent that are creating our new Gilded Age. Reuters It's hard out there for the 1 percent. Okay, that's not true at all. But they think it is. Well, sure. But just because the rich are making more doesn't mean that they're worth more. Now, remember, income is how much money comes into your bank account each year, and wealth is how much money you already have in it, along with any stocks, bonds, and real estate (minus any debts). Part of it is that the top 1 percent of earners aren't the same people each year. But another part of it is status anxiety. The merely rich don't think they are rich because they aren't rentiers. It belongs to the top 0.01 percent—and they already own it.