Modèle social - John DEWEY Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Dewey. John Dewey XIXe siècle-XXe siècle John Dewey en 1902 Sa philosophie est d'abord marquée par l'instrumentalisme, c'est-à-dire par sa volonté de rompre avec une philosophie classique qu'il voyait comme plus ou moins liée à la classe dominante, pour en faire un instrument permettant aux hommes de mieux s'adapter au monde moderne. Dewey a participé également, en parallèle avec le Nouveau Libéralisme anglais, à la constitution de ce qui est actuellement nommé le « social-libéralisme » dont il se situe à l'aile gauche. Biographie[modifier | modifier le code] Son parcours[modifier | modifier le code] Les années de jeunesse[modifier | modifier le code] Les années à l'université de Chicago[modifier | modifier le code] En 1886, il se marie à Alice Chipman, une femme d'une grande force de caractère dont il a six enfants. Maturité et postérité[modifier | modifier le code] Bibliothèque Harper de l'université de Chicago.
L'épistémologie de Piaget PrésentationCitations Présentation Piaget appelle décentration le processus conduisant de l'égocentrisme et du phénoménisme à l'objectivité, du sujet individuel (subjectivité déformante) au sujet épistémique (activité structurante). Cette décentration du sujet par rapport à sa perspective et à son point de vue propre (égocentrisme) ainsi que par rapport aux apparences les plus immédiates des objets (phénoménisme) est elle-même solidaire de la différenciation et de la coordination progressives des actions (structures initiales de la connaissance) en fonction de leurs interactions adaptatives avec les objets. Elle dépend donc étroitement de l'élaboration même des nouvelles structures de la connaissance. Le principe de la différenciation repose sur le fait qu'une même activité est amenée à se spécifier par accommodation aux caractéristiques propres aux divers objets qu'elle assimile (assimilations et accommodations des schèmes aux objets). ©Marie-Françoise Legendre Haut de page Citations
Pédagogie Montessori La pédagogie Montessori est une méthode d'éducation créée en 1907 par Maria Montessori. Sa pédagogie repose sur l'éducation sensorielle et kinesthésique de l'enfant. Description[modifier | modifier le code] La pédagogue italienne Maria Montessori étudie d'abord en médecine. Ce projet d'éducation nouvelle s'inscrit dans la promotion de la paix et du progrès ; il repose sur trois piliers : une posture particulière de l’éducateur, un environnement préparé et un matériel pédagogique spécifique[2]. Montessori a voulu élaborer une « pédagogie scientifique » s'appuyant sur une démarche expérimentale et des observations, dans le but d'obtenir l’épanouissement de l'enfant[3]. de 0 à 6 ans (petite enfance) : l’enfant veut apprendre à se débrouiller seul. Elle utilise du matériel repris notamment aux professeurs Jean Itard et Édouard Séguin, tout en l'adaptant aux périodes sensibles de l'enfant. Historique[modifier | modifier le code] Montessori aujourd'hui[modifier | modifier le code]
Comportementaliste / Behaviouriste _ SKINNER Burrhus Frederic (B. F.) Skinner (March 20, 1904 – August 18, 1990) was an American psychologist, behaviorist, author, inventor, and social philosopher.[1][2][3][4] He was the Edgar Pierce Professor of Psychology at Harvard University from 1958 until his retirement in 1974.[5] Skinner invented the operant conditioning chamber, also known as the Skinner Box.[6] He was a firm believer of the idea that human free will was actually an illusion and any human action was the result of the consequences of that same action. If the consequences were bad, there was a high chance that the action would not be repeated; however if the consequences were good, the actions that led to it would be reinforced.[7] He called this the principle of reinforcement.[8] He innovated his own philosophy of science called radical behaviorism,[9] and founded his own school of experimental research psychology—the experimental analysis of behavior, coining the term operant conditioning. Biography[edit] Theory[edit]
"Fondements théoriques d'une approche par situation-problème" Thème incontournable de la pédagogie des sciences modernes, décriée par certains - encensée par d'autres, la situation-problème est au coeur du processus d'apprentissage. Elle se base sur les deux idées suivantes: l'élève n'est pas vierge de conception (correcte ou erronée), il a déjà construit des modèles explicatifs des phénomènes qui l'entourent, l'élève est le moteur de son propre apprentissage. L'enseignant qui est confronté à une conception erronée va donc proposer une situation, dite situation-problème, qui consiste à mettre l'apprenant dans l'impasse: le modèle explicatif de l'élève ne permettant pas de donner une réponse acceptable au problème posé (l'expérience montrant une issue différente de celle qu'il a prévue). L'enseignement par situations-problèmes comporte donc deux phases : l'identification de la conception erronée et la construction d'une situation adaptée. Cette partie du site comporte les deux parties suivantes:
Constructivisme Le constructivisme est une théorie de l’apprentissage fondée sur l’idée que la connaissance est élaborée par l’apprenant sur la base d’une activité mentale. Cette théorie repose sur l’hypothèse selon laquelle, en réfléchissant sur nos expériences, nous nous construisons et construisons notre propre vision du monde dans lequel nous vivons. Développée par Jean Piaget (1964) en réaction au behaviorisme, la théorie constructiviste met en avant le fait que les activités et les capacités cognitives inhérentes à chaque sujet lui permettent de comprendre et d’appréhender les réalités qui l’entourent. Ainsi, une personne confrontée à une situation ou à un problème donné va être amenée à mobiliser un certain nombre de structures cognitives, nommées schèmes opératoires. L’enseignement constructiviste est fondé sur la croyance que toute personne apprend mieux lorsqu’elle s’approprie la connaissance par l’exploration et l’apprentissage actif, les mises en pratique remplaçant les manuels.
Humaniste - Carl Rogers Portrait de Carl Rogers Il a principalement œuvré dans les champs de la psychologie clinique, de la psychothérapie, de la relation d'aide (counseling), de la médiation et de l'éducation. Sa méthode met l'accent sur la qualité de la relation entre le thérapeute et le patient (empathie, congruence et considération positive inconditionnelle). Une étude publiée en 2002 dans la Review of General Psychology a classé Carl Rogers comme le 6ᵉ psychologue le plus important du XXe siècle[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance et études[modifier | modifier le code] Les trois attitudes rogériennes[modifier | modifier le code] Selon Rogers, les trois attitudes fondamentales du psychothérapeute (ou de l'aidant) sont l'empathie, la congruence et le regard positif inconditionnel. L'empathie (ou verbalisation) s'exprime par des messages verbaux et non verbaux. La « chaleur » (ou considération positive, non-jugement), enfin, consiste en l'accueil inconditionnel du patient / client. 1930.
La démarche de situation-problème Exemple de déclinaison d'une situation-problème avec degrés de difficultés En partant de la vie quotidienne Toute situation de vie est susceptible de nous donner des idées de situation-problème, puisqu'elle mobilise nécessairement des savoirs, des savoirs-faire et des savoirs-être. Une publicité, une émission TV, la préparation d'un repas, une ballade en forêt, le choix d'un logement, une carte postale à écrire, un concert, une chanson,... Tout ce que les hommes réalisent depuis qu'ils existent constitue un réservoir de tâches susceptibles de devenir porteuses sur le plan pédagogique ou éducatif. Pensons surtout aux situations de vie que rencontrent les élèves... A titre d'exemple, nous avons sélectionné une série de tâches-types, déclinées plus particulièrement pour des professeurs de géographie ou de sciences humaines. En partant des objectifs-obstacles 1. 2. Réfléchir en termes d'obstacles, c'est inventer une situation qui crée le besoin d'apprendre. - L'agenda du Premier Ministre.