Life of Pi Theory Take any O’Henry short story and you will find a twist in the end, a literary jack-in-the-box. You have most definitely read him, at least in an abridged version in school. You will probably, on some prodding, remember The Gift of The Magi. This is the story in which newlyweds want to surprise each other with a Christmas gift but have no money. Girl sells her hair to get a chain for boy’s watch. O’Henry springs it using deft dialogue and imagery—‘White fingers and nimble tore at the string and paper. As a novel, Life of Pi is average pseudo spiritual fare with one big idea of the allegory. Another hour of slavery politics would still keep you riveted. It is, in fact, easy to make a good movie of an ordinary or even bad novel. A novel’s quality often does not matter to its movie adaptation because cinema works at the surface level—there is no sophisticated way to depict thought as thought.
Groupement 1 : L’œuvre de Romain Gary / Emile Ajar - Les Voix de Romain Gary Télécharger en pdf DOCUMENTS EN LIBRE SERVICE :Groupement 1 : L’œuvre de Romain Gary / Emile Ajar : La promesse de l’aube : L’œuvre de Romain Gary est marquée par la quantité et surtout la diversité de sa production. Voici, pour vous aider à mieux vous l’approprier, quelques extraits de ses différents romans. Commentez en quelques mots chacun de ces extraits pour dire quels aspects de La Vie devant Soi ils vous rappellent ou vous permettent de mieux comprendre. La promesse de l’aube : Paru en 1960, bien avant La Vie devant Soi, La Promesse de l’aube est un roman autobiographique où Romain Gary raconte son enfance, sa jeunesse, bref sa vie, jusqu’à son retour de guerre. Extrait 1 : Chapitre I : Extrait 2 : Chapitre II : Ce fut à treize ans, je crois, que j’eux pour la première fois, le pressentiment de ma vocation. Elle refusait d'y toucher elle-même et m'assurait qu'elle n'aimait que les légumes et que la viande et les graisses lui étaient strictement défendues. Extrait III : Chapitre IV :
Autobiographie Historique du mot[modifier | modifier le code] Le mot « autobiographie » est venu trop tard pour s'imposer d'emblée et absorber d'autres dénominations qui existaient avant lui et ont continué leur chemin après sa naissance. Une certaine confusion a présidé à son apparition, qui s'est faite par étapes successives, avec des refus, des réticences, des hésitations[1]. Il semble qu'il ait d'abord été employé en Allemagne à la fin du XVIIIe siècle[2]. Pourtant, en 1809, l'un des grands poètes romantiques anglais, Robert Southey, l'utilise dans un article publié par le The Quarterly Review[4], toujours avec le trait d'union. En France, le mot autobiographie apparaît en 1842[6]. Définition[modifier | modifier le code] L'analyse littéraire moderne s'accorde à définir avec lui l'autobiographie comme « un récit rétrospectif en prose qu'une personne réelle fait de sa propre existence, lorsqu’elle met l’accent sur sa vie individuelle, en particulier sur l’histoire de sa personnalité[7]. »
"Death of a Salesman": The American Dream Theme Some may argue that the appeal of Arthur Miller's play "Death of a Salesman" is the struggle each character encounters as they try to pursue and define their American Dream. The "rags to riches" idea—where hard work and persistence, coupled with high hopes and inner and outer struggles that often accompany it, should lead to success—seems timelessly relatable and represents one of the central themes of the story. Miller fabricated the character of a salesman without an identified product, and the audience connects with him that much more. Creating a worker broken by a vague, unfeeling industry stems from the playwright’s socialist leanings, and it has often been said that "Death of a Salesman" is a harsh criticism of the American Dream. However, according to Miller, the play is not necessarily a critique of the American Dream as our forefathers thought of it. Willy Loman’s American Dream BIFF: I Crossed my eyes and talked with a lithp. WILLY [laughing]: You did? Ben’s American Dream Sources
lettres - pourquoi et comment dire l’indicible ? Lire une oeuvre intégrale de manière collaborative Étape 1 : Esthétique du choc et problématiqueDistribution des ouvrages et lecture de la préface de l'éditeur à l'édition Pocket Jeunesse. Travail de brainstorming sur les mots-clefs de cette préface "Comment dire l'indicible ?" puis étayage avec les hypothèses interprétatives formulées à la lecture de l'image de couverture. Visionnage d'un extrait de la version filmique de Polanski qui correspond au chapitre 18, intitulé "Le nocturne en ut dièse mineur". A l'issue de cette projection, la classe dégage des axes de travail pour les groupes.Les hypothèses sont institutionnalisées lors du cours en un paragraphe argumenté écrit au tableau où cohabitent les éléments analysés entre guillemets et leurs interprétations. Six groupes sont constitués : G1 : Portraits des personnages (rôle, psychologie, physique), rapports entre eux, évolutions, caractérisations. Étape 5 : Finalisation du documentLe groupe de webmestres propose une version PDF du document collaboratif à la classe.
Définition de la Dystopie The Great Gatsby and the American dream | Books In the New York Times earlier this year, Paul Krugman wrote of an economic effect called "The Great Gatsby curve," a graph that measures fiscal inequality against social mobility and shows that America's marked economic inequality means it has correlatively low social mobility. In one sense this hardly seems newsworthy, but it is telling that even economists think that F Scott Fitzgerald's masterpiece offers the most resonant (and economical) shorthand for the problems of social mobility, economic inequality and class antagonism that we face today. Nietzsche – whose Genealogy of Morals Fitzgerald greatly admired – called the transformation of class resentment into a moral system "ressentiment"; in America, it is increasingly called the failure of the American dream, a failure now mapped by the "Gatsby curve". "How would you place them?" Suddenly she pointed to an American girl going into the water: "Perhaps she will have, some day." Wall Street crashed 10 days later. It was 1927.
Autoportraits d’artistes célèbres Histoire de l'autoportrait L'histoire de l'autoportrait remonte très loin dans l'histoire de la peinture des arts. Les peintres de la renaissance ont peint plusieurs autoportraits aujourd'hui très célèbres. À partir du quinzième siècle, au début de la renaissance, les artistes ont commencé à être identifiés comme des personnages importants en se représentant eux-mêmes comme sujet principal. C’est ainsi qu’en 1433, l’artiste Jan Van Eyck se représenta comme un homme avec un turban. Ce genre de représentation fut vénérable, mais pas jusqu'à la Renaissance. L'utilisation du miroir par l'artiste Le miroir est l’outil de prédilection des portraitistes qui désirent produire un autoportrait. Dans l'époque moderne, les artistes hommes et femmes se peignent au travail. En 1524, un autoportrait de l’artiste Parmigianino dans un miroir montre le phénomène. Indices du miroir Plus souvent, le visage peint est donc une image vue du miroir plutôt que celle que le reste du monde a vue. P.
PEAC académie de Bordeaux : Tout savoir ! (Prezi) Teaching “The Great Debaters” “The Great Debaters” is an inspiring story of courage, creativity and resolve. Debate begins with a resolution. It starts with a point to prove. It is a form of battle, fought with words. A great quote from the movie is: “Now is always the right time to do the right thing.” One of the most important lessons in The Great Debaters is found in one of its memorable lines: “We do what we got to do, so we can do what we want to do.” Pre-study activities: I plan to use The Question Formulation Technique here. Watch the movie! After- movie activities and discussion topics: Did the movie answer any of your questions? Like this: Like Loading... Related Teaching short stories by Roald Dahl Pre-study activities: To learn about Roald Dahl and his writing. In "Lesson plans" What Can the World Learn from Educational Change in Finland? I have just read this book by Pasi Sahlberg. In "Staff development"
Exposition Autoportraits, de Rembrandt au selfie Autoportraits, de Rembrandt au selfie est la première exposition réalisée dans le cadre d'un partenariat entre la Staatliche Kunsthalle de Karlsruhe, les National Galleries of Scotland à Edimbourg et le musée des Beaux-Arts de Lyon. L’exposition évoque les différentes approches de l’autoportrait du XVIe au XXIe siècle à partir d’une sélection d’œuvres en provenance de trois grands musées européens. Véritable genre artistique, l’autoportrait apporte, au-delà des questions de style propres à chaque époque, de nombreuses informations sur la personnalité de son auteur, ainsi que sur son environnement historique et social.
Hiroshige et Hokusaï, deux voyages à travers le Japon ancestral Nés dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, morts à peu d’années d’intervalle, Katsushika Hokusaï (1760-1849) et Ando Hiroshige (1797-1858) sont l’un et l’autre deux parmi les plus célèbres maîtres de l’estampe, deux dessinateurs inspirés, deux artistes emportés par leur affection envers le Japon et poussé par leur ardeur à en rendre jusque dans le quotidien les moindres bruissements, au point que le premier vers la fin de sa vie, se nommera lui-même « le vieillard fou de dessin » et qu’Edmond de Goncourt, avec la même intuition, qualifia d’« affolé de son art ». Chacun dans son registre, chacun dans son répertoire, chacun défenseur d’une éthique esthétique mais tous deux réunis « dans une image unique » et produisant « cent mille impressions dispersées d’un bout à l’autre de leurs jours ». Avec Hokusaï et Hiroshige, nous sommes constamment conviés aux événements quand ils se déroulent, à en être les garants, sur le champ. Dominique Vergnon