Anagène
Biodiversité : Environ 15% de la faune endémique menacée en Martinique
La biodiversité en péril en Martinique. Près de 15 % de la faune endémique de Martinique est « en danger », à cause de l’urbanisation, de la pollution, du tourisme et de la pêche, révèle mercredi une étude de l' Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). 15 espèces ont disparu « Sur les 427 espèces indigènes évaluées, près de 15 % apparaissent menacées », selon des analyses réalisées par le Comité français de l’UICN, l’Office français de la biodiversité (OFB), le Muséum national d’Histoire naturelle, et des spécialistes de la faune martiniquaise. « Au total, 15 espèces ont déjà disparu, 62 sont menacées et 56 autres sont quasi menacées », ajoute l’UICN. L’UICN met en cause l’urbanisation, qui détruit les habitats, notamment dans « les forêts semi-humides du sud », ou un escargot comme le « pleurodonte déprimé » est « en danger critique » dans la liste rouge de l’UICN. Pesticipes et pollutions lumineuses La biodiversité en péril en Martinique. 15 espèces ont disparu
La chute de la biodiversité s'accélère : 58 % des populations de vertébrés ont disparu en seulement 40 ans
La 6e extinction massive du vivant se confirme : selon l'édition 2016 du rapport Planète Vivante du WWF, les populations d'animaux vertébrés ont chuté de 58 % entre 1970 et 2012, un chiffre catastrophique qui trouve ses origines dans notre empreinte écologique devenue insoutenable... Tous les deux ans, l'ONG WWF réalise une analyse scientifique de la santé de notre planète, du vivant et l'impact des activités humaines intitulé Rapport Planète Vivante. Le rapport 2016 s'intitule "risque et résilience dans l'Anthropocène", en référence à cette nouvelle "ère géologique" marquée par l'empreinte des activités humaines sur notre planète. En seulement 40 ans, 58 % des populations animales de vertébrés ont disparu Le déclin se poursuit donc malgré la mobilisation, sans précédent, de la société civile et en dépit de la tenue régulière de grands sommets sur la Terre... "Que la biodiversité poursuive sa chute, et le monde naturel que nous connaissons aujourd'hui s'effondrera d'un seul tenant. Notes
Un million d’espèces en danger d’extinction
C’est un chiffre choc, propre à frapper les esprits, les consciences et peut-être les cœurs : un million d’espèces animales et végétales – soit une sur huit – risquent de disparaître à brève échéance de la surface de la Terre ou du fond des océans. Telle est l’alerte, lancée lundi 6 mai, à Paris, à l’adresse des gouvernants et des peuples, par la Plate-forme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES). Pour engager à l’action plutôt qu’à la résignation, celle-ci veut pourtant garder espoir : éviter le pire est encore possible, à condition de mettre fin à la surexploitation de la nature. Réunis depuis une semaine à la Maison de l’Unesco, les représentants de 110 pays, sur les 132 que compte cette organisation onusienne, souvent appelée le « GIEC de la biodiversité », ont négocié, terme à terme, avant de l’approuver à l’unanimité selon la règle, un « résumé pour les décideurs », d’une quarantaine de pages.
#TeamSorciers Oooooh la belle... - L'Esprit Sorcier
Les herbivores sont plus à risque d'extinction que les prédateurs Par AFP - Publié le 05/08/2020 à 20h07 - Mis à jour le 06/08/2020
Les animaux herbivores courent un plus grand risque d'extinction que les prédateurs et les omnivores, selon une étude parue mercredi dans la revue Science Advances -- et ce, qu'ils soient des mammifères, des oiseaux ou des reptiles. Le risque est particulièrement élevé pour les reptiles herbivores, comme les tortues, et les grands herbivores, comme les éléphants. Mais la tendance se vérifie quels que soient l'habitat (désert, forêts...) et la classe (mammifères, oiseaux, reptiles), selon cette analyse portant sur plus de 24.500 espèces vivantes et disparues. Les auteurs de l'étude, issus de plusieurs universités dont celle de l'Utah et l'Imperial College London, écrivent que les prédateurs sont souvent perçus comme les plus vulnérables, en raison de leurs territoires étendus et du rythme faible de la croissance de leurs populations, et parce que des études nombreuses se sont intéressées à des prédateurs spécifiques et charismatiques, effectivement en danger. Des exceptions existent
multinationales
On l’a donné hier pour les OGM : OGM : le parlement européen ouvre une voie royale à Monsanto et Pionner, ce qui est une ÉNORME news, hé bien le reste arrive, c’est une réelle menace …. : il est temps d’être plus vigilants que jamais . Z . Un nouveau tour de vis vient d’être donné aux politiques agroalimentaires en Europe. Il s’agit du Traité de libre-échange entre les États-Unis et l’Union européenne (UE), plus connu sous le nom de TTIP (son sigle en anglais pour Transatlantic Trade and Investment Partnership), l’ombre grandissante de l’agroalimentaire qui s’étend des champs à l’assiette. Comme des vampires assoiffés de sang, les multinationales du secteur attendent pour se sucrer, et ce beaucoup, grâce à ces nouvelles mesures de libéralisation commerciale. Mais en quoi consiste le TTIP ? Et en ce qui concerne l’agriculture et l’alimentation ? Si le Traité de libre échange entre les États-Unis et l’Union européenne devait être approuvé, quels impacts aurait-il dans nos assiettes ?
Coronavirus : la dégradation de la biodiversité en question
« Nous envahissons les forêts tropicales et autres paysages sauvages, qui abritent tant d’espèces animales et végétales – et au sein de ces créatures, tant de virus inconnus. Nous coupons les arbres ; nous tuons les animaux ou les envoyons sur des marchés. Nous perturbons les écosystèmes et débarrassons les virus de leurs hôtes naturels. C’est ainsi que l’écrivain américain David Quammen résume, dans une récente tribune au New York Times, pourquoi nous sommes en grande partie responsables de la pandémie de Covid-19. Huit ans plus tard, depuis sa maison du Montana, il observe cette crise avec frustration. « Lorsque je travaillais sur mon livre, les experts me prédisaient exactement ce qui est en train de se passer, raconte-t-il. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Coronavirus : « L’origine de l’épidémie de Covid-19 est liée aux bouleversements que nous imposons à la biodiversité » Cette crise sanitaire sans précédent était-elle donc totalement prévisible ?
La disparition des dinosaures by lacfr on Genial.ly
LA DISPARITION DES DINOSAURES,Une extinction massive,Au cours des 165 millions d’années que dura l’existence de ce groupe, les paléontologues estiment que plusieurs milliers d’espèces de dinosaures ont dû exister.Lors de la crise Crétacé/Tertiaire ,il y a 65 Ma, les dinosaures disparaissent totalement de la surface de la Terre…,Des indices géologiques,Quelques connaissances scientifiques, Une extinction massive,Accueil,Un règne sans partage,D'autres victimes...,Un grand nombre d'espèces, voire de groupes entiers furent décimés à la même époque. C'est ainsi que le groupe des Ammonites ou celui des Ichtyosaures ont totalement disparu.