Les expériences medicales dans les camps nazis Compte-rendu du Commandant RAPHAËL, du Service Cinématographique des Armées. « Le vendredi 1er décembre 1944, au cours d'une visite à l'Hôpital Civil de Strasbourg pour rechercher du matériel photographique provenant de l'Institut allemand, le Commandant Raphaël, du Service Cinématographique de l'Armée, a constaté la présence dans le sous-sols du bâtiment de l'Institut d'Anatomie de cadavres entassés, dans des cuves peines d'alcool. Ces cadavres étaient destinés aux expériences du Professeur Hirth, Directeur de l'Institut. D'après les déclarations des employés alsaciens : Peter, Wagner et Gabel, ces corps auraient été livrés à l'Institut, sur la demande du Professeur Hirth, par un camp d'internés politiques (Schirmeck ou Struthof). Sur 120 cadavres commandés, 86 ont été livrés (dans la même journée, en plusieurs fois) à 5h du matin. Les corps étaient transportés nus, à raison de 50 par camion. Mr Bong devait être fusillé, et n'a pas été exécuté, afin de servir de témoin.
Enfants dans la Shoah « La véritable partie plaignante à votre barre est la Civilisation », déclara le procureur américain Robert Jackson, devant le tribunal militaire international, à l’ouverture du procès de Nuremberg (20 novembre 1945). Mais de quelle Civilisation pouvait-il encore s’agir ? « C’est en Allemagne que se produisit l’explosion de tout ce qui était en train de se développer dans tout le monde occidental sous forme d’une crise de l’esprit, de la foi » concluait au sortir de la Seconde Guerre mondiale le philosophe Karl Jaspers. Le surgissement inédit dans le conflit démocratique d’un parti constitutivement criminel fut une éventualité qui n’avait jamais été envisagée par aucun des laudateurs ou détracteurs de la démocratie. Que le nazisme ait pu s’emparer de l’appareil d’État allemand et le mettre en affermage, constitue dorénavant un fait irréversible et irrémissible.
Samudaripen, le génocide des Tsiganes, par Jean-Jacques Gandini (Le Monde diplomatique, octobre 2000) Parce qu’ils étaient considérés comme des « asociaux », entre 250 000 et 500 000 Tsiganes, sur les 700 000 qui vivaient en Europe, ont été exterminés pendant la seconde guerre mondiale par les nazis et leurs alliés, à l’exception de la Bulgarie. L’imprécision de ces statistiques est due à la fois à la pénurie de documents les concernant et à leur propre tradition : « Le peuple tsigane n’est pas un peuple du souvenir, mais de l’oubli. » Et même les juifs sont « rares à se souvenir de ces misérables, aussi désemparés qu’eux, conduits à la chambre à gaz ». Génocide oublié auquel participa également la France de Vichy en les plaçant, dès octobre 1940, dans des camps d’internement, placement facilité par la loi de 1912 ordonnant leur fichage comme « nomades ». Ceux qui échappèrent à la déportation à l’Est, synonyme d’extermination, restèrent internés jusqu’en... 1946.
Les Einsaztgruppen Cette fiche sera complétée par les élèves grâce à trois types de documents : une vidéo (France 3) permet de contextualiser et la "Shoah par balles". L’abbé Desbois (le découvreur de cette Shoah) explique le sens de ses recherches. Soir3 par minchetrev (Attention à bien prévenir les élèves car certains ont été choqués par l’extermination des enfants et par les cadavres photographiés ou filmés par les bourreaux nazis). une carte des mouvements des Einsatzgruppen disponible dans la plupart des manuels un court extrait de livre de Stéphane Audoin-Rouzeau, « Les violences de guerre. 1914-1945 » Ed. Einsatzgruppen Enfin, l’activité s’achève par l’étude d’une carte des camps d’extermination nazis. Afin que les élèves appréhendent l’idée d’une "Guerre d’anéantissement", un tableau à double entrée (Einsatzgruppen et Guerre du Pacifique) est proposé en restitution finale. Ressources complémentaires : Shoah par balles (version française) - Juif.org par ben26ben
Holocaust Timeline: Nazis Liquidate Lidice On May 27, 1942, SS Obergruppenführer Reinhard Heydrich, Deputy Reich Protector of Bohemia and Moravia, had been attacked in Prague by Free Czech agents who were trained in England and brought to Czechoslovakia to assassinate him. They shot at Heydrich as his car slowed to round a sharp turn, then threw a bomb which exploded, mortally wounding him. Heydrich managed to get out of the car, draw his pistol and shoot back at the assassins before collapsing in the street.
Le génocide oublié des Tziganes Un soir d’ennui, Margit Sztojka, une Rom hongroise, regarde la télévision chez elle, au sud de Budapest, avec l’un de ses petits-enfants, Ani. Alors que la première chaîne diffuse un documentaire évoquant les crimes commis par les nazis, elle ne peut s’empêcher de laisser couler de grosses larmes devant son petit-fils, surpris. Jamais elle n’a évoqué sa propre histoire et les ténèbres de sa longue déportation. Une décennie après, nous la retrouvons chez elle. C’est l’été. Au début de l’année 1944, alors qu’elle n’a que 17 ans, elle est raflée à Budapest, avec toute sa belle-famille (elle s’est mariée à 15 ans), par des membres des Croix fléchées hongroises, un parti fasciste et pro-nazi. Tandis que Margit Sztojka poursuit son récit, plusieurs de ses descendants prennent place autour d’elle, attirés par ses premiers mots.
Chronologie du système concentrationnaire nazi (1933-1945) Chronologie des mesures antisémites nazies et des débuts de la Shoah 30 avril 1933 - loi instaurant un numerus clausus dans les écoles et universités allemandes 29 septembre - loi interdisant aux Juifs d'être propriétaires de terres allemandes 4 octobre - interdiction aux Juifs en Allemagne de publier des journaux 17 mai 1934 - les juifs sont privés d'assurance-maladie 22 juillet - interdiction pour les Juifs, en Allemagne, d'obtenir un diplôme de droit 21 mai 1935 - les juifs sont exclus du service militaire en Allemagne 15 septembre - lois de Nuremberg janvier 1937 - adoption de lois allemandes interdisant aux juifs l'exercice de dizaines de professions dont comptables, restaurateurs, pharmaciens, docteurs, banquiers, professeurs pour Allemands, infirmiers, suppression des allocations familiales pour les Juifs 26 avril 1938 - adoption dans le Reich d'une loi exigeant des Juifs qu'ils annoncent leurs propriétés et leurs biens 9-10 novembre - nuit de cristal D'après S. RETOUR au CATALOGUE
déportés et fusillés ( Belgique) Before you go . Woorden om even stil te staan Je m’appelle François Nivarlet, n° matricule 54.343 j’ai été déporté à Buchenwald, Dora, Harzungen puis Ellrich, j’ai fait le convoi de la mort jusqu’Oranienburg(usine Heinkel) puis libéré le 24/04/45 par les Russes et je suis toujours vivant. Ils ne m’ont toujours pas eu !!! Merci de ne pas nous avoir oublié… Rechtzetting informatie Henri Van Borm Op de website stond verkeerdelijke informatie betreffende Henri Van Borm . Onderstaande informatie werd mij door de archivaris van Breendonk overgemaakt : Het verhaal van Henri Van Borm is niet eenvoudig. Op het proces van Mechelen moest hij ook verschijnen als beklaagde; als Zugführer (kameroverste) in Breendonk had hij bij sommige medegevangenen geen correcte indruk gemaakt. Niettemin is het wel duidelijk dat hij het tijdens de bezetting goed kon vinden met de Duitsers. Wegens stopzetting van mijn hobby zijn alle boeken over het verzet in WO 2 te koop . Patrick.Praats@Pandora.be yjlehegarat@wanadoo.fr
Le génocide des Tsiganes européens, 1939-1945 numéro 1 sur 2 numéros 1 à 1 sur 2 Items 1 through 1 of 2 Les Tsiganes furent l’un des groupes persécutés pour des raisons raciales par le régime nazi et ses alliés dans toute l'Europe. Les Nazis considéraient les Tsiganes comme "racialement inférieurs" et s’appuyaient sur les préjugés sociaux de nombreux Allemands non nazis à leur encontre. En de nombreux points, le sort des Tsiganes s’apparentait à celui des Juifs. Le 21 septembre 1939, Reinhard Heydrich, chef de l'Office central de Sécurité du Reich, rencontra les responsables de la Police de Sûreté (Sipo) et du Service de la sûreté (SD) à Berlin. Il y eut néanmoins des déportations de Tsiganes du Reich vers la Pologne occupée en 1940 et 1941. Près de la moitié des Tsiganes mourut dans les premiers mois suivant leur arrivée, par manque de nourriture, de chauffage, d’abri et de médicaments. En décembre 1942, Himmler ordonna la déportation de tous les Tsiganes du grand Reich. Carte historique Crédits: US Holocaust Memorial Museum
Jalons-INA L'agrandissement du canal de Panama Le projet MOSE : protéger Venise des inondations Le charbon, une source d'énergie massivement utilisée La remise du prix Nobel de la Paix à l'Union européenne en 2012 La décentralisation culturelle vue de Lens Le vieillissement de la population allemande Les centres d'appels délocalisés en Tunisie Jean Prouvé, un créateur à la croisée de l'architecture, de l'artisanat et du design La destruction des mausolées de Tombouctou au Mali Aucun document ne correspond à votre recherche !