L'histoire d'Anonymous et leurs faits d'armes dans une infographie « Nous sommes les Anonymous. Nous sommes légion. Nous ne pardonnons pas. Nous n’oublions pas. Vous allez nous voir. » Cette devise martiale est celle d’un groupe d’activistes organisé et agissant sur Internet, les Anonymous. Ces hackers, qui militent notamment pour la liberté d’expression, se sont illustrés par des actions médiatisées contre l’Eglise de scientologie, les services de paiement Paypal, Mastercard ou Visa ou encore la censure du Web tunisien mise en place par le régime de Ben Ali. L’infographie ci-dessus revient sur leurs récentes menaces contre Facebook et remonte aux origines de ce groupe, qui a choisi comme emblème le masque grimaçant d’un personnage du film « V pour Vendetta ». Infos pratiques Les anonymous : pirates informatiques ou altermondialistes numériques ? Frédéric Bardeau, Nicolas Danet, Cyril Fievet et Martin Wolf
Reporters sans frontières lance un site contre la censure Reporters Sans Frontières parle d’« un projet fondamental ». Wefightcensorship.org a été mis en ligne ce mardi. Plus d’un an de travail et de sécurisation pour permettre des publications sensibles, toujours contextualisées et éditorialisées. Avec aussi un kit de survie numérique pour protéger ses données. Aller jusqu’à « rendre caduc la censure ». Les documents se présentent en version française et anglaise, et toujours dans leur langue d'origine. 7 juillet 2011, une explosion ravage un entrepôt militaire d’Abadan, au Turkménistan. Comme une vidéo qui correspond à la première guerre de l’information 2 point 0 au Turkménistan ou des documents plus historiques, notamment un discours de l’ayatollah Khomeiny censuré en Iran ! Lucie Morillon, la responsable des nouveaux médias de RSF, évoque ces premières publications, qu'elle souhaite très partagées sur les réseaux sociaux et diffusées via des sites miroirs et des traductions mis au point par les internautes :
Comment le masque des « Indignés » et des Anonymous enrichit la Warner Un « Indigné » manifeste à Madrid, le 24 juillet 2011 (Susana Vera/Reuters) Avec son sourire équivoque et ses lignes anguleuses, le masque « V » est devenu un symbole de protestation mondiale et un signe de ralliement qui court des Anonymous aux « Indignés » du monde entier. Cette année, il pullulait dans tous les sit-in d’« Occupy Wall Street ». Récemment, un des grands noms du street art, Shepard Fairey, rhabillait l’affiche d’Obama qui a fait sa célébrité d’un de ces masques, pour soutenir « Occupy together “. L’artiste Shepard Fairey revisite son affiche ‘Hope’ avec le masque V (Shepard Fairey/Obeygiant) Assange lors d’une manifestation ‘Occupy’ à Londres En octobre dernier, Julian Assange, porte-parole de WikiLeaks, exhibait le masque lors d’une des manifestations ‘ Occupy ’ à Londres, en octobre 2011. Alan Moore, auteur de la géniale BD ‘ V pour Vendetta ’, d’où le masque est tiré, ne s’était jamais vraiment exprimé sur la popularité soudaine du ‘ V ’. Bande-annonce de ‘V pour Vendetta’
Licenses Explained | Creative Commons Ceci est la traduction en français d'une création originale de Creative Commons, A Spectrum of Rights. (Credits de la version originale : Cartoon concept and design by Neeru Paharia. Original illustrations by Ryan Junell, Photos by Matt Haughey.) Vous pouvez télécharger toutes les images au format PNG en cliquant ici. Les images ont été dimensionnées de façon à être imprimées sur une page A4 paysage. Les images ont été fabriquées grace à gimp, gif2png et inkscape. Ces travaux ont également été produits sous d'autres formats (pdf, Oo, flash, etc...) sur le site de Framasoft This work is licensed under a Creative Commons License.
Hackers libertaires : "Notre but, c'est partager la connaissance" Guyzmo au milieu de son matériel (Céline Chadelat). Sous les néons du quatrième étage d’un immeuble du quartier du Marais, à Paris, baptisé le Loop (Laboratoire ouvert ou pas), se retrouvent depuis quelques mois les hackers de la région parisienne, devenus squatteurs par la même occasion. Ce mardi soir, ils sont une dizaine, âgés entre 18 et 35 ans. Ils passent environ dix-huit heures par jour reliés aux flux d’informations, portent les cheveux longs « par flegme ». Un doux parfum libertaire flotte dans l’air. Une fougère s’épanouit dans le creux d’un modem éventré. Erreur404, c’est son pseudo, un tuyau d’aspirateur à la main, gonfle des rouleaux plastiques destinés à soutenir une tente de conférence pour un futur festival. Guyzmo, un des pionniers du lieu, assis entre son ancien lave-vaisselle et un paquet de puces RFID estime que « les hackers et les squatteurs sont proches : les squatteurs, en transformant l’espace, sont un peu les hackers du bâtiment ». « C’est aussi pour aider.
La loi "HADOPI". Éducation civique 4ème What It's Like to Participate in Anonymous' Actions - Gabriella Coleman - Technology Anonymous, who have been on a week long sprint/spree to paralyze website sites like Mastercard and Paypal, are often described in the news as a "group" with "members." This is usually followed by a series of prolonged qualifications and caveats because many characteristics we usually associate with groups don't seem to apply comfortably with Anonymous: there are no leaders, anyone can seemingly join, and participants are spread across the globe, although many of them can be found on any number of Internet Relay Chat Channels where they discuss strategy, plan attacks, crack jokes, and often pose critical commentary on the unfolding events they have just engendered. Earlier this week, The Economist listened in on the IRC channels, opening a fascinating window into the order behind the seeming chaos of Anonymous and providing a sense of how the Distributed Denial-of-Service attacks are coordinated by a trusted group of Ops who leverage the labor of thousands of other contributors.
La mise en place de l'Hadopi - Discours publics, discours politiques Le 2 octobre 2010, la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) a envoyé ses premiers courriels d’avertissement aux internautes soupçonnés de télécharger illégalement de la musique ou des films. La mise en place de l’Hadopi a suivi un long processus qui débute en 2007 avec la publication du rapport de Denis Olivennes, "Le développement et la protection des oeuvres culturelles sur les nouveaux réseaux". Suivant les conclusions du rapport, un accord est signé le 23 novembre 2007 à l’Elysée par des représentants des différents secteurs de la musique et du cinéma et les fournisseurs d’accès à internet. Les termes de l’accord sont repris dans le projet de loiProjet de loiProjet de texte législatif déposé au Parlement à l’initiative du gouvernement. "Création et Internet" qui est présenté en Conseil des ministresConseil des ministresFormation collégiale réunissant l’ensemble des ministres. en juin 2008.
anonymes-France | Petit guide des Creative Commons « Si une image, une vidéo ou autre média est sur Internet, pas besoin d’autorisation pour l’utiliser… ». Ceci est un mythe. En effet, les droits d’auteur sont valables également sur Internet. Mais pour beaucoup d’internautes, partager leurs créations est un aspect important et le cadre très strict de la loi ne facilite pas cette idée. Les licences Creative Commons ont été créées afin d’aider les créateurs à conserver leurs droits tout en permettant au public de reproduire, distribuer ou modifier leurs réalisations. Voici la signification des icônes et abréviations : Chaque icône peut être associée à une autre : Pour en savoir plus: Creative Commons (site officiel) Creative Commons Search, un outil de recherche de contenu libre de droit (Sébastien Reinders, Pedago-TIC) Licence Creative Commons (Wikipédia) Tags: creative commons, guide, image, licence, média, video