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Vidéo éco « La croissance n’est pas la solution, c’est le problème Jean Gadrey est économiste et membre en 2008-2009 de la « Commission Stiglitz ». On nous dit que, sans croissance, c’est la régression sociale, on ne peut pas réduire les dettes, ni le chômage, ni la pauvreté, et l’on n’aura pas les moyens d’engager la transition écologique. Pourtant, je propose de dire « Adieu à la croissance », qui est le titre de mon livre (voir les bonnes feuilles sur le site d’Alternatives économiques). Il serait temps que les économistes, s’ils veulent être « responsables », prennent en compte les risques écologiques et qu’ils se posent les questions suivantes : et si ce culte de la croissance relevait d’un aveuglement des élites économiques et politiques ? Et si la quête de la croissance, fondée sur des gains de productivité sans fin, était l’un des facteurs de crises, voire la plus grave des menaces à terme pour l’humanité ? Et si, quoi que l’on fasse, la croissance ne revenait jamais dans les pays « riches » ? Ces hypothèses sont de plus en plus crédibles.
R-éveillez vous | Création monétaire et autres problèmes économique 1° : La finance pour néophyte : Pour tenter d’expliquer le fonctionnement des banques, nous allons prendre comme image, dans un premier temps, une piscine. La piscine vide représente la banque, l’eau quant à elle représente l’argent. Comment la piscine se remplit, c’est-à-dire d’où vient l’argent qui est dans les banques ? Mais la piscine se vide aussi régulièrement. Seulement, souvent la piscine n’a pas assez d’eau pour en prêter à celui qui veut emprunter une quantité, et donc le banquier va voir chez les autres banques si elles ont plus d’eau pour en prendre une partie. Seulement la banque qui demande doit avoir suffisamment d’eau pour être crédible et que l’autre pense qu’il pourra rembourser, sinon il y a ce qu’on appelle une crise de confiance. Maintenant un peu d’histoire : la banque a très vite servi grâce aux lettres de change, de création de moyen pour faciliter l’échange de marchandises (création de facilités commerciales,). Par le veilleur et Guilaume L. appendices :
Retrouvez en vidéo toutes les émissions de ce nouveau magazine Justice proposé sur LCI © LCI 2013 - Tous droits réservés Pour mieux en comprendre les mécanismes, elle nous ouvre les portes de lieux symboliques de la justice et nous plonge au cœur des rouages du droit avec ceux qui le pratiquent au quotidien, figures emblématiques du barreau, avocats généralistes ou spécialistes, qui décryptent l'actualité judiciaire et juridique du moment ou des problématiques juridiques nouvelles en prise directe avec les préoccupations quotidiennes de chacun. Emission n°58 du vendredi 4 juillet 2014 proposée en vidéo - Cliquez ici • Le dossier de la semaine s'intéresse à cette thématique : « GPA : de nouveaux droits pour les enfants » | Dans sa chronique "Au cœur du Code", Ségolène Chaplin nous explique les contours de la notion d'« adoption » | La rubrique « Droit dans les yeux » s'intéresse à la thématique « Publicité : la guerre des panneaux » ...
Théorie | Les Mauvais Jours | Page 3 Membre de l’Union européenne depuis 2004, la Hongrie est dotée depuis ce début d’année d’une nouvelle Constitution. Imposé par la droite extrême du premier ministre Viktor Orban, ce texte liberticide est bien plus qu’une régression démocratique. C’est une alarme pour tous les Européens sur ce que serait un fascisme d’aujourd’hui, son nouveau credo et ses nouveaux atours. Les projets actuels d’inscription des règles d’équilibre budgétaire dans les Constitutions des pays membres de la zone euro ne sont pas seulement la conséquence de la crise : approfondissant la logique du traité de Maastricht, ils font écho aux théories économiques qui ont balayé le keynésianisme à partir des années 1970. La théorie économique a connu un changement d’orientation brutal au cours des années 1970 : la crise économique de l’époque va conduire à la contestation radicale des idées keynésiennes, jusqu’à alors dominantes. Prelude : We disagree with David Greaber about his historical perspective.
Goldman Sachs - La grande machine à bulles Bonjour et merci de votre visite, Savez-vous qu’en 1958 un logement valait en moyenne 70 loyers et que 40 ans plus tard, en 1998, il fallait dépenser en moyenne 133 loyers pour devenir propriétaire ? Savez-vous qu’en 2008, au plus haut de la bulle, un logement coutait en moyenne 262 loyers et que les prix étaient surestimés de 80% ? L'objectif de ce blog est de vous permettre de suivre l’actualité du marché immobilier et de vous aider à comprendre pourquoi les prix peuvent monter mais aussi descendre. Vous pourrez ainsi acheter, vendre ou louer votre logement en sachant exactement où vous mettez les pieds. N'hésitez pas à vous inscrire à la newsletter, cela vous permettra d’être informé d'une nouvelle publication. La plupart des graphiques sont disponibles en version PDF par un simple clic sur l'image. Si de votre côté vous avez un article intéressant à me proposer, n'hésitez pas à me contacter à l'adresse suivante: bulle.immo160@free.fr Nombre de visites
untitled Les 5 raisons pour lesquelles nos entreprises ferment | Les entreprises manufacturières qui produisent encore en France sont mises sous la pression des coûts depuis le début de la crise économique de 2009. Dans un pays ou le coût de la main d’œuvre est 4 à 6 fois plus élevé que des voisins à moins de 2h d’avion, ou les compétences techniques ne sont plus un réel avantage compétitif et dans lequel les clients sont devenus extrêmement exigeants sur les prix, les délais et la qualité de part l’accès à la mondialisation, les dés semblent pipés d’avance. Ce jeu fait de nouvelles victimes toute les semaines sous couvert du contrôle des coûts, du maintient des marges, de la profitabilité et de la fameuse compétitivité des entreprises françaises. Pourtant il suffit de creuser un peu pour constater qu’il n’y a pas que le coût du travail qui est responsable de la non-compétitivité des entreprises françaises et qu’une résolution par les coûts ne fera que retarder leur échéance. Vos produits ? Votre conception? Vos accords avec vos salariés?