Le français Parrot connecte les plantes vertes Pour réconcilier les geeks avec le jardinage, le groupe d'Henri Seydoux a inventé le Flower Power, un capteur destiné à faciliter la vie des jardiniers en herbe. Quand arroser ses plantes? Ont-elles besoin d'engrais, de lumière, de chaleur? Pour tous ceux qui se sont déjà posés la question, et qui disposent d'un iPhone ou d'un iPad récent, Parrot apporte une réponse, le Power Flower. Ce drôle d'accessoire à planter dans un pot de fleur est un petit concentré de technologie. Fiché dans un pot ou en pleine terre, à proximité d'un végétal, le Power Flower mesure le taux d'humidité du sol, son taux d'engrais, la température ambiante et la luminosité. Les étourdis qui oublient d'arroser leurs plantations n'auront plus d'excuses: les informations sont transmises à une application dédiée sur iPhone ou iPad, indiquant les besoins en eau, lumière, chaleur ou engrais.
Le mensonge à portée de l’I.A. : le robot menteur On reproche souvent aux robots (et aux intelligences artificielles qui les dirigent) une certaine froideur tirée de leur logique systématique et leur rationalité nécessaire, deux propriétés régulièrement associées à l’ordinateur (à tort!) que l’on cite notamment lorsque l’on tente de différencier l’homme de la machine. En la matière, une limite a été franchie au cours de l’année 2010, lorsque des chercheurs américains travaillant pour l’armée, se sont mis en tête de fournir aux robots l’aptitude au mensonge. Mentir est une capacité qui n’appartient pas seulement à l’espèce humaine : des insectes qui se déguisent pour échapper aux prédateurs, jusqu’aux écureuils qui cachent leur nourriture, l’ensemble des espèces semble détenir quelque penchant pour la duplicité. Mais le mensonge peut avoir valeur sociale, les exemples ne manquant pas, en fait, de situations pour lesquelles chacun d’entre nous aura pris le parti de dissimuler, voire de distordre des vérités. Tiré de Minogue K. (2010).
Le dessin de presse, entre liberté d'expression et censure : exposition à imprimer - Depuis 1830, le dessin de presse et la caricature commentent l’actualité, défendent des opinions, accompagnent les polémiques, les crises politiques et les luttes sociales. Avant comme après la grande loi sur la presse de 1881, nombreuses ont été les entraves à la liberté d’expression, jusqu'au terrible drame du mercredi 7 janvier 2015. Quelles ont été les conséquences des différents types de contraintes juridiques, politiques, administratives ou économiques, sur le dessin de presse et les dessinateurs ? Exposition proposée en deux versions permettant d'explorer l'histoire de la caricature politique dans ses confrontations aux différents types de censures juridique, politique, administrative, économique et de poser la question de la liberté d'expression, de sa définition, de ses limites. La question du "choc des cultures" et le rôle d'internet dans ces tensions. Vous pouvez choisir de présenter TOUT ou PARTIE de l'exposition. NOUS CONTACTER : caricadoc@ymail.com ou 06 17 20 52 57
le 1er espace de débat en ligne sur les éco-quartiers et la ville durable Depuis la révolution industrielle, notre système économique est basé sur un schéma linéaire d’extraction et de transformation de matières premières, de consommation de biens et de création de déchets. L’aménagement du territoire n’échappe pas à la règle avec une « production de la ville » qui prend très peu en compte l’impact global de l’urbanisation sur les ressources. Pourtant, depuis quelques années, le concept d’économie circulaire se diffuse rapidement dans les ambitions affichées de nombreuses politiques publiques. Il a même fait une entrée fracassante dans le premier article du Code de l’Environnement en 2015 (loi de transition énergétique) ; le deuxième article du même code propose une définition de l’économie circulaire qui mérite d’être soulignée tant elle est complète et ambitieuse pour les territoires. la fabrique de la ville est au cœur des enjeux d’économie circulaire Le deuxième levier formidable des projets urbains est la façon dont ils impactent nos modes de vie.
Le pouvoir au citoyen Le pouvoir au citoyen L’avènement des réseaux sociaux bouleverse tous les domaines : ils interfèrent avec la scène politique, ils déstabilisent les modèles économiques traditionnels, ils reconfigurent les rapports au quotidien. Ils réinterrogent ainsi la démocratie représentative qui est encore le principal instrument du pouvoir citoyen dans les Etats modernes. Six propositions sont présentées ici pour mobiliser les réseaux sociaux afin de rénover la démocratie politique et économique : Cet article et ses propositions seront complétées par différentes références recueillies au fil de l’eau et stockées sur la plateforme de curation pearltrees . Dépasser la démocratie représentative L’introduction de la démocratie représentative ne s’est pas faite en un jour. Des propositions pour une démocratie d’appropriation Une carte de citoyenneté “interopérable” La carte électorale doit être revisitée pour permettre de nouvelles expérimentations de vote dans tous les domaines.
Le pouvoir au citoyen Le pouvoir au citoyen L’avènement des réseaux sociaux bouleverse tous les domaines : ils interfèrent avec la scène politique, ils déstabilisent les modèles économiques traditionnels, ils reconfigurent les rapports au quotidien. Ils réinterrogent ainsi la démocratie représentative qui est encore le principal instrument du pouvoir citoyen dans les Etats modernes. Six propositions sont présentées ici pour mobiliser les réseaux sociaux afin de rénover la démocratie politique et économique : Cet article et ses propositions seront complétées par différentes références recueillies au fil de l’eau et stockées sur la plateforme de curation pearltrees . Dépasser la démocratie représentative L’introduction de la démocratie représentative ne s’est pas faite en un jour. Des propositions pour une démocratie d’appropriation Une carte de citoyenneté “interopérable” La carte électorale doit être revisitée pour permettre de nouvelles expérimentations de vote dans tous les domaines.
La robotique open source Par Rémi Sussan le 08/06/11 | 8 commentaires | 3,921 lectures | Impression Les fondus d’électronique n’ont pas attendu la vogue actuelle du Do it yourself (DIY) pour se pencher sur la robotique, qui a toujours fait leur bonheur. Pourtant, jusqu’à récemment, il existait une nette séparation entre les travaux souvent brillants des amateurs et ceux des roboticiens professionnels. Une des causes étant peut-être l’absence de systèmes open source d’un haut niveau de complexité permettant aux amateurs de s’inspirer de l’expérience de leurs pairs mais aussi des chercheurs. Jusqu’ici, le choix du logiciel propriétaire restait la norme chez les fabricants. La malheureuse histoire d’Aibo, le chien robot de Sony, en est un exemple. Mais les choses changent. La société Willow Garage, elle, revendique depuis longtemps le modèle open source pour son logiciel de robotique. Récemment, ROS a connu une nouvelle étape dans son développement, puisque Google vient d’annoncer la mise à disposition de ROSjava.
Le roi Dagobert ou comment parler de la liberté d’expression | Enseignement Catholique du Cantal Actualité difficile oblige, les enseignants chercheront sans doute la manière d’aborder à la rentrée le sujet des caricatures, parodies et autre liberté d’expression et de culte. Commençons en chanson, avec Le bon roi Dagobert (arrière-arrière-petit-fils de Clovis et roi des Francs de 629 à 639) : un classique qui remonte non pas aux Mérovingiens mais à l’Ancien Régime pour se moquer du roi Louis XVI, sans risquer la censure et la prison. Les explications sont à entendre ici : Pour continuer avec les arts, deux albums mêlent lecture d’image et littérature avec une grande sensibilité : L’agneau qui ne voulait pas être un mouton de Didier Jean et ZadCe titre de littérature jeunesse amènera sans doute les lecteurs plus loin qu’une simple lecture que l’on croirait destinée aux petits pour évoquer la solidarité et la résistance. *Voir avec la DDEC15 WordPress:
LA PERCEZIONE Quale processo cognitivo ci permette di riconoscere come parole alcuni tratti neri impressi su una superficie bianca? È la percezione, frutto sia dell’informa zione sensoriale che raggiunge il nostro cervello, sia della nostra esperienza pregressa e della nostra conoscenza del mondo (es.: alfabetizzazione). Secondo la teoria percettiva di Helmholtz (1925) le percezioni sono costruite e sintetizzate combinando tra loro sensazioni elementari, limitate, secondo un meccanismo spontaneo ed automatico di inferenze inconsce. Una rielaborazione di Gibson (1966; 1972), tale teoria mostra che i nostri sistemi sensoriali non si limi- tano a fornire sensazioni da cui trarre inferenze, ma, in risposta alla complessità ambientale, si sono evoluti fino a generare esperienza percettive dirette, senza sintesi o inferenze. Come viene elaborata un'informazione nel nostro sistema visivo? Ti sarai accorto che la lettura è diventata difficilissima: perché? Cosa accade allora quando guardiamo un’immagine?