http://www.mon-panier-bio.com/
Une voie étroite pour la sécurité alimentaire d'ici à 2050 Face aux effets conjugués de la croissance démographique et du retard au développement, entre une somme de solutions venant de techniques du vivant, souveraines mais pour longtemps inaccessibles aux déshérités, et des affrontements pour les ressources de survie en terres et en eau, parfois sous couvert de conflits ethniques ou religieux, il reste un passage le plus souvent ouvert, mais quelquefois hasardeux et très dangereux: Une voie étroite pour la sécurité alimentaire d'ici à 2050 Philippe COLLOMB Publié par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture Avertissement concernant les termes géographiques:
Les acteurs de l'agroécologie et de la semence dans le Monde 43.08460, 1.36725 /fr/network/Association%20Kokopelli%20pour%20la%20d%C3%A9fense%20des%20semences%20et%20de%20l'humus Association Kokopelli pour la défense des semences et de l'humus Distribue des semences issues de l'agriculture biologique et biodynamique dans le but de préserver la biodiversité semencière et potagère. /images/content/acteur/1/kokopelli-logo.png 0 1 0 En savoir plus 43.85363, 5.45643 /fr/network/Le%20potager%20d'un%20curieux Le potager d'un curieux Au pied du Luberon, Jean-Luc Danneyrolles cultive depuis plus de vingt ans un potager entièrement dédié à la curiosité et à la biodiversité. /images/content/acteur/20131001-120218/danneyrolles_02.jpg 0 0 0 En savoir plus 44.62028, 4.47608 /fr/network/Didier%20Meunier%20-%20S%C3%A8m'%20La%20Vie%20 Didier Meunier - Sèm' La Vie Agroécologiste sans frontières - Formateur en agroécologie et en production de semences.
[achat] Filets à provisions (pour les légumes et les fruits) Filets à provisions grand modèle Du sac à chaussures, passant par le sac de plage, jusqu'à sac de rangement, le filet à provision grand format répond à toutes vos attentes. Il est solide avec des bordures souples et renforcées. Il est écolo parce qu'il est fabriqué en France, pour limiter les transports et, par extension, la pollution. Marre du chou ? Pourquoi j'ai changé de panier bio Un cageot de légumes bio aux Etats-Unis (Thebittenword.com/Flickr) En trois ans d’expérience dans la livraison des paniers bio, je fais presque figure de vétéran de ce nouveau mode de consommation et je pense avoir quelques réflexions -forcément subjectives- à partager. Témoignage.
La Ruche qui dit Oui au collaboratif Avec un modèle technologiquement innovant et un projet fort et ambitieux pour renouer les liens entre les consommateurs et les producteurs, La Ruche qui dit Oui est devenue une emblème de la consommation collaborative appliquée à la distribution alimentaire. La Ruche qui Dit Oui s’est lancée commercialement en septembre 2011 avec une promesse simple : proposer aux consommateurs des produits locaux et de saison, à un prix raisonnable, partout en France. L’entreprise, fondée par Guilhem Chéron pour le design du système et Marc-David Choukroun dans le rôle de la prouesse technique, est née d’un double constat. D’un côté, l’émergence de nouvelles aspirations alimentaires des français : choix du bio, du local, quête de goût et de qualité, recherche d’un lien direct avec les producteurs ; de l’autre, l’absence d’un outil simple sur Internet permettant aux agriculteurs de vendre leurs produits en direct, en particulier lorsqu’il s’agit de produits frais. La Ruche qui dit oui! Pierre Metivier
Lettre ouverte au président de la FNSEA Un article de , l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Joly. Eva Joly, née Gro Eva Farseth[1] le 5 décembre 1943 à Oslo, en Norvège, est une magistrate française, de nationalités française et norvégienne, devenue femme politique en France. Elle se fait connaître dans les années 1990 en instruisant des dossiers politico-financiers médiatisés, tels que des affaires concernant Bernard Tapie et l'entreprise Elf. En 2009, elle est élue députée européenne dans la circonscription Île-de-France, sur la liste Europe Écologie. Labels et certification de produits alimentaires et agricoles Section 2 - Labels et certification des produits alimentaires et agricoles Art. L.115-21 (loi n° 94-2 du 3 janvier 1994, art. 1er) - Les denrées alimentaires et les produits agricoles non alimentaires et non transformés peuvent bénéficier d'un label agricole ou faire l'objet d'une certification de conformité aux règles définies dans un cahier des charges. Art. L. 115-22 (loi n° 94-2 du 3 janvier 1994, art. 1er) - Les labels agricoles attestent qu'une denrée alimentaire ou qu'un produit agricole non alimentaire et non transformé possède un ensemble distinct de qualités et caractéristiques spécifiques préalablement fixées dans un cahier des charges et établissant un niveau de qualité supérieure. L'origine géographique ne peut figurer parmi les caractéristiques spécifiques que si elle est enregistrée comme indication géographique protégée, sous réserve des dispositions du deuxième alinéa de l'article L.115-23-1.
Comité français d'accréditation Définition ISO/CEI 17000 spécifie des termes généraux et leurs définitions relatifs à l'évaluation de la conformité, y compris l'accréditation des organismes d'évaluation de la conformité, et à l'utilisation de l'évaluation de la conformité pour faciliter le commerce. L'annexe A comporte une description de l'approche fonctionnelle de l'évaluation de la conformité, destinée à apporter une aide complémentaire à la compréhension entre utilisateurs de l'évaluation de la conformité, organismes d'évaluation de la conformité et leurs organismes d'accréditation dans des contextes tant volontaires que réglementaires. La norme ISO/CEI 17000 définit l’accréditation comme une « Attestation délivrée par une tierce partie, ayant rapport à un organisme d’évaluation de la conformité, constituant une reconnaissance formelle de la compétence de ce dernier à réaliser des activités spécifiques d’évaluation de la conformité ». Cadre légal et normatif Les organisations d’accréditeurs
Alimentation: qui sont les locavores? Après les omnivores, voici les locavores. Ce groupe d’idéalistes rassemble des consommateurs autour de l’idée simple qui est de se nourrir localement de manière exclusive. Le locavore est une personne consciente des dérives de notre société de consommation et de nos industries agro-alimentaires et qui décide de s’alimenter autrement. Les locavores, ce sont donc ces personnes qui respectent une discipline alimentaire à la fois nouvelle et complexe : s’alimenter de produits dont l’origine géographique est située à moins de 160 km de leur assiette. Il est vrai que la hausse du prix des denrées alimentaires, la fluctuation des cours du brut, l’envie de polluer moins et de préserver l’environnement jouent en faveur du manger local.
Mon top 5 des projets locavores en 2010 Aujourd’hui, à la manière du top 5 de mes cadeaux écolocavores proposé avant les fêtes dans le cadre de la loop de Noël de quelques éco-blogueurs, je vous propose de revenir sur 5 actualités qui ont marqué, à mon sens, l’année 2010 : Pour commencer, rappelons avant tout que 2010 fut, pour de nombreux analystes, l’année du local: d’ailleurs, plusieurs émissions ont été consacrées au sujet, entre Capital Terre diffusé en mars sur M6, Faut pas rêver en août sur France 3, et l’ensemble des médias qui m’ont interrogée sur le sujet, la thématique du bio et du local a en effet été à l’honneur. Deuxième élément à retenir en 2010 : Jamie Oliver, le chef britannique qui a décidé de provoquer une révolution des pratiques alimentaires chez nos amis anglo-saxons.
1/3 de la nourriture produite dans le monde est gâchée Selon les Nations Unies, environ 1/3 de la nourriture produite chaque année dans le monde est perdue ou gâchée, soit 1,3 milliard de tonnes d'aliments, alors que plus d'1 milliard de personnes sont sous-alimentées. Plus d'1 personne sur 6 est sous-alimentée dans le monde. "Ces personnes ne sont pas assurées de pouvoir se procurer la nourriture dont elles ont besoin pour mener une vie saine et productive" explique le rapport de l'ONU sur la sécurité alimentaire.
Courrier de la planète - Commerce équitable : la crise de croissance Yuna Chiffoleau, Institut national de la recherche agronomique et Benot Prvost , Universit Montpellier Formes de commerce quitable local, les circuits courts rencontrent un succs grandissant : ils intressent des producteurs revendiquant des projets alternatifs et des consommateurs en qute de justice et de relations autant que de produits sains. Si loffre se rvle largement insuffisante, en raison notamment de la disparition des exploitations en zone priurbaine et des normes trs contraignantes auxquelles sont soumis agriculteurs et consommateurs, il nen reste pas moins que ces modes de commercialisation sont lorigine dactions collectives territoriales nombreuses et diversifies.