Mégacités. A l’avenir, les villes auront le pouvoir, pas les pays Les grands centres urbains, de plus en plus connectés au reste de la planète, sont devenus les points névralgiques de l’économie mondiale, faisant même passer les Etats au second plan de la mondialisation, explique Parag Khanna, l’auteur de Connectography. Les villes sont le mode d’organisation sociale le plus stable et le plus durable de l’humanité, elles survivent aux empires et aux nations dont elles avaient été autrefois les joyaux. Aujourd’hui les villes sont devenues des pôles économiques et démographiques de rayonnement mondial. Comme le souligne le sociologue Christopher Chase-Dunn, ce n’est pas la population ou la taille d’un territoire qui donne à une ville son statut de place mondiale mais son poids économique, sa proximité des zones de croissance, sa stabilité politique et la séduction qu’elle exerce auprès des investisseurs étrangers. Les cités entrent en fusion D’ici à 2025, il y aura au moins quarante mégalopoles de ce genre. Parag Khanna Article réservé aux abonnés L’auteur
Un nouveau système urbain? Des villes en réseaux C'est Olivier Dollfus qui proposa en 1996 la première théorisation rigoureuse de l'AMM. Retour haut de page Des lieux de commandement " Il y a aussi d'autres divisions entre les lieux, entre les lieux qui commandent, ceux qui s'adaptent, ceux qui sont largués et ceux qui sont isolés. Dollfus Lieu ou processus ? L'AMM ne se réduit pas à un ensemble de métropoles créatrices d'activités, de richesse et d'innovations, même juxtaposées ou reliées entre elles. L'AMM " … n'est pas un lieu mais un processus par lequel les centres de production et de consommation des services avancés, ainsi que les sociétés locales qui en dépendent, sont reliés au sein d'un réseau global, tandis que leurs relations avec l'arrière-pays se réduisent simultanément " (Castells M.,1998). La " ville globale " La surconcentration des activités dans les villes est une surprise de taille. Propriétés distinctives de la " ville mondiale " Vers la ville monde
L'architecture étrange de maisons à Tokyo par Jérémie Souteyrat Le photographe Français Jérémie Souteyrat vient de publier un livre « Tokyo no ie« sur l’architecture étonnante de petites maisons dans les quartiers résidentiels de Tokyo, vous pouvez vous procurer le livre ici et voir plus d’images là. de: Jérémie Souteyrat éditions: LE LEZARD NOIR Cartographie. Les villes prennent le pouvoir Les mégalopoles sont les nouveaux moteurs de l’économie mondiale. De la Californie au delta de la rivière des Perles, en Chine, l’avenir s’écrit dans des pôles urbains tentaculaires. D’ici à 2025, il y aura au moins quarante de ces villes ultra-connectées dans le monde. Dans ce livre, l’auteur, que le New York Times décrit comme “l’homme le plus connecté du monde” en raison de ses collaborations avec des universités du monde entier, décrit un futur où les frontières nationales reculeront et où les agglomérations – ainsi que les personnes – les plus connectées prendront le pouvoir. Ce constat, c’est aussi celui de l’Institut Mc Kinsey.
La métropolisation de la France : entre fragmentation et hypermobilité - Sciences 26 millions et demi. C'est le nombre de personnes qui habitent, travaillent et vivent dans les 17 aires urbaines métropolitaines de France, c'est à dire dans les 17 agglomérations de plus de 400 000 habitants. Soit 45% de la population hexagonale. Pourtant, l'illusion d'optique est tenace : ces 17 aires métropolitaines d'urbanisation continue étant bien loin d'occuper 45% de la superficie de la France, elles n'éliront pas, loin de là, 45% des députés en juin prochain. Terminé, le territoire découpé en régions plus ou moins rurales, qu'elles fussent agricoles ou industrielles, et polarisées par leurs capitales historiques; disparue, l'armature urbaine de villes connues pour leur spécialisation économique et hiérarchisées en fonction de leur éloignement à Paris. La semaine prochaine, troisième volet de notre série sur la nouvelle géographie de la France : des centres et des périphéries partout! Les portes d'entrée de la France et les systèmes territoriaux des flux ©DATAR
Tokyo : destination affaires | Euronews La mégapole de Tokyo, ce sont 37 millions d’habitants et un PIB qui correspond à lui seul à celui du Mexique. La capitale japonaise qui accueillera les Jeux olympiques de 2020 affiche ses nouvelles ambitions économiques. Elle veut surpasser New York, Londres, Hong Kong ou Singapour et devenir la première place financière au monde. Ces dernières années, une dizaine de zones économiques spéciales ont été mises en place à Tokyo, par exemple dans le quartier de Toranomon. Objectif : créer autant d‘écosystèmes pour le business international, avec tous les atouts pour à la fois, attirer les investisseurs et les entreprises étrangères et développer bien sûr les interactions avec les entreprises japonaises. Des zones économiques aux sérieux avantages Le cinquième producteur mondial de médicaments génériques a récemment installé son centre de recherche et développement dans le quartier de Shinjuku. Une attention toute particulière au cadre de vie
Une cartographie du réseau physique de l'internet mondial Ca fait un moment que l'on nous bassine avec le "Cloud", mais si les smartphones nous font croire qu'internet vient des nuages, dans la réalité c'est une immense toile de câbles (ce n'est pas pour rien qu'on appelle ça le "Web") qui parcourent toute notre jolie planète. Vox a utilisé une cartographie très détaillée de la chose, faite par TeleGeography, et un petit peu d'histoire pour présenter la chose en vidéo. Un seul câble transatlantique en 1858, une vingtaine en 2015, ça va il reste de la place pour les poissons ! Si des câbles courent sur terre pour relier les gens entre eux grâce à la magie de l'internet (ou du téléphone avant ça), une grande partie du réseau se trouve en fait au fond des mers et océans. Le fait de placer des câbles sous l'eau n'est d'ailleurs pas tout neuf, le premier datant de 1858, époque où il servait à la révolution qu'était le télégraphe.
Miami, un décor à l’envers. Géographie comparée de la métropole à travers « Miami Vice » et « Dexter » Dossier : La ville des séries télé « S’il reste des images et des récits aujourd’hui, autour des villes américaines, c’est à la télévision qu’on les trouve en priorité. La télé reconstitue à sa manière la géographie de l’Amérique » – E. Higuinen et O. Miami Beach, à l’endroit à l’envers ? Territoires urbains en série Les séries télévisées ont tendance à inscrire leur récit dans des espaces géographiques – notamment urbains – fortement marqués. Figure 1 : La ville états-unienne des séries. Un partage relativement récurrent des tâches apparaît cependant en fonction de l’ancrage dans certains espaces urbains et une typologie peut ainsi être dégagée (figure 1). Miami, haut lieu des séries Avec les séries Miami Vice et Dexter, qui mettent en scène l’ensemble de l’agglomération floridienne, Miami offre un terrain passionnant pour une investigation géographique. Dialogue associé à l’image (voix-off de Dexter) : Figure 2 : Le crime sous le soleil dans Dexter, épisode 1.1.
Building Structures - Aerial View Pics (Shinjuku) | KAWADA INDUSTRIES, INC. Outline Kawada Group Evolution Domestic and Global Operations The Kawada Group Production Facilities Introduction and Service Flow Suspension Bridges Cable-stayed Bridges Box and Plate Girder Bridges Arch and Truss Bridges Preflexion Beam Bridges Overseas Bridges Engineering and Technical Assistance New Technologies Introduction and Service Flow Aerial View Pics Dome Structures Structures / Special Projects System Buildings Midori-chan Introduction Construction Steps Project Experience Introductory Videos Eco-tank Introduction Construction Steps Project Experience Introduction Humanoid Robot HRP-2 "Promet" Humanoid Robot "HRP-3 Promet MK-II" Upper Body Humanoid Robot HIRO Next-generation industrial robot NEXTAGE Humanoid Robot HRP-4
Les villes globales dans l’économie mondiale Depuis le début de la crise économique en 2008, la notion de développement durable popularisée par la crise écologique a cédé beaucoup de terrain, la priorité étant devenue l’économie et la recherche de la croissance à tout prix. Pourtant la lecture de la préface par Sophie Body-Gendrot de La ville globale : New York, Londres, Tokyo (1996) de Saskia Sassen et l’écoute de la conférence de Pierre Veltz sur « Les villes dans l’économie mondiale » en 2008 nous poussent à nous interroger sur les conséquences de la croissance depuis les années 1970 et sur les piliers économique et social du développement durable. En effet, la notion de durabilité du développement repose non seulement sur son caractère écologique, mais également sur son caractère équitable, fondement de la stabilité du système. Des processus spatialement discriminants Entre les grandes villes du monde Au sein des systèmes de villes nationaux La hiérarchie du réseau de très grandes villes dans le monde Références : Préface de S.
Fichier:Skyscrapers of Shinjuku 2009 January.jpg Ville-réseaux, ville « liquide » Le 27 octobre, en partenarait avec gpmetropole.fr, EDF organisait la troisième session de son cycle intitulé « Grand Paris Histoires et Futurs ». Nous vous proposons d’en retrouver ici les principaux échanges. Deuxième temps : les réseaux numériques. « C’est une sorte d’escale numérique où il s’agirait de faire halte pour s’abreuver aux fluides vitaux de la ville, cette ville “liquide“ où les liens entre citadins sont sans cesse accélérés, estompés et renouvelés », dit Livier Vennin, délégué au Grand Paris chez EDF. L’escale en question, « l’oasis de connexion », c’est le nouvel abribus mis en service par la société Decaux, place de la Bastille, au printemps 2015. La connectivité explose C’est la grande nouveauté de la ville, elle est devenue informationnelle. L’abribus « révolutionnaire » de la place de la Bastille. Le saut techno des réseaux Ces chiffres disent l’ampleur du phénomène de ce tout-connecté. Bancs de poissons Mettre en place de puissants réseaux ne suffit pas. Big or low
Croquis : Une inégale intégration des territoires dans la mondialisation Deux croquis destinés tout particulièrement aux classes de Terminale. Il s’agit en fait du corrigé de l’un des cinq croquis exigibles au baccalauréat en Terminale S, sur le sujet : « Une inégale intégration des territoires dans la mondialisation ». L’objectif est théoriquement pour l’élève de construire le croquis en une grosse heure, ce qui pousse à l’apprentissage par cœur de ces cinq croquis. Il est bien sûr souhaitable de faire construire la carte par les élèves, mais il peut être utile également d’en proposer un corrigé. Oui, je sais, les couleurs en noir et blanc, ce ne sont plus des couleurs, mais vous aurez compris que le but est d’obtenir un document adapté à la photocopie. Sur les deux planisphères, on se heurte aux immenses difficultés du travail de cartographie thématique à l’échelle mondiale. L’un des problèmes inhérents à l’exercice cartographique demandé ici est le classement des pays en grandes catégories.
How We Share the World This interactive graphic shows how the world is divided according to six different socioeconomic variables. The land area of each country represents its share of the worldwide total. Click on a circle to reshape the map For attribution and data sources, scroll to the bottom. I have been having fun experimenting with cartograms lately. For more information about what a cartogram is, have a look at my last two posts, The Housing Value of Every County in the U.S. and A Striking Perspective on New York City Property Values. For this map, I looked at several different socioeconomic variables to include. The GDP-scaled map makes it clear how dominant the U.S. economy is. Government Debt Looking at the world scaled by government debt, the first thing that jumps out is Japan. Population / Births Asia is home to about three fifths of world’s population, and arguably the 10 largest human settlements in the world. Wealth Extreme Wealth Hope you enjoy playing with the map. Attribution Follow Metrocosm