Présidentielle 2017 mouvement utopia Deux femmes, neuf hommes : qui sont les candidats qualifiés pour l’élection présidentielle ? Onze candidats ont obtenu les 500 parrainages nécessaires pour entrer dans la course à l’Elysée, a annoncé samedi le Conseil constitutionnel. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Service politique Ils seront donc onze sur la ligne de départ, un de plus qu’en 2012 lors de la précédente élection présidentielle. Deux femmes et neuf hommes, qui ont obtenu les 500 parrainages nécessaires pour être candidat à l’élection présidentielle, a annoncé Laurent Fabius, président du Conseil constitutionnel, samedi 18 mars. Les trois derniers candidats à entrer dans la course sont Philippe Poutou (Nouveau parti anticapitaliste) qui s’était inquiété de sa capacité à obtenir ses parrainages jusqu’aux derniers jours de collecte, Jacques Cheminade (Solidarité et progrès) et Jean Lassalle (Résistons). Lire aussi : Présidentielle : ce que nous apprend la course aux parrainages Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière) Lire aussi : Nathalie Arthaud, la candidate qui se réclame du communisme Dans son programme, M. M. M.
projetdemoskratos.com Comme Alexandre Jardin, ils sont plus de 40 candidats à l'élection présidentielle (mais pour combien de temps?) POLITIQUE - À quatre mois et demi du scrutin, ils sont encore plus d'une trentaine à espérer être le prochain président de la République. Dernier en date, le romancier Alexandre Jardin qui a annoncé ce samedi 3 décembre être candidat à l'Elysée. Mais comme lui, nombreuses sont les personnalités qui ont fait part de leur intention d'être candidat à la présidentielle et qui ont finalement très peu de chance. Même être sur la ligne de départ semble compromis pour ces candidats sans parti ni réseau d'élus. Car l'envie ne suffit pas. Se qualifier signifie avoir obtenu les fameuses 500 signatures de maires et d'élus locaux. Dans l'infographie ci-dessous, vous trouverez tous ceux qui ont annoncé leur candidature, que ce soit à une primaire ou directement à l'Elysée ainsi que ceux qui pourraient bientôt se déclarer. Ceux qui auront leurs parrainages (en vert) Vainqueur de la primaire de la droite, François Fillon est assuré d'être sur la ligne de départ. À voir également sur Le HuffPost:
Démocratie & Spiritualité Yannick Jadot sera le candidat d’EELV à l’élection présidentielle Le député européen est arrivé en tête avec 54,25 % des voix lors du second tour de la primaire écologiste, qui l’opposait à Michèle Rivasi. Europe Ecologie-Les Verts a son candidat, puisque c’est bien un homme, le seul qui était en lice pour la primaire des écologistes, qui est arrivé en tête du second tour, lundi 7 novembre. Par 54,25 % des voix, Yannick Jadot, député européen, a été choisi par les votants de ce scrutin qui se déroulait par correspondance, après être sorti en tête du premier tour de la primaire. Il avait alors récolté plus de 35 % des voix lors d’un vote qui avait vu Cécile Duflot, ancienne ministre et candidate la plus connue, privée de second tour, à la surprise générale. Face à lui, Michèle Rivasi, également députée européenne, surprise de ce second tour, a obtenu 40,75 % des voix. Elle a félicité le vainqueur et son « super score », l’assurant de « tout (son) soutien ». Créer une dynamique pour les législatives. Lire aussi : Le portrait de Yannick Jadot
Diktacratie - Home Barbara Pompili, sœur sourire de EE-LV «Barbie» ne votera pas le Traité européen sur la stabilité, la coordination et la gouvernance (TSCG). «Héritage du passé», avance-t-elle, legs de Nicolas Sarkozy, qu’elle et ses camarades écologistes ne peuvent se résigner à voter. «Barbie». Forcément, ça allait faire parler. On la retrouve dans un café parisien, à quelques mètres de la gare du Nord. Barbara Pompili, c’est «la bonne copine», entend-on ça et là. En 1999, elle commence par rédiger un rapport sur les dangers du mercure dentaire, pour un député. Petite fille de la mine - ses deux grands-pères y ont trimé -, elle a toujours penché à gauche. Idéaliste - forcément un peu -, Pompili est pourtant (trop ?) Au début pourtant, sa candidature, imposée par les instances écolos, a été perçue comme un parachutage. Apparatchik ? Ado, Barbara Pompili rêvait d’aller dans l’espace et a même suivi des stages d’astronaute entre 14 et 16 ans. Photo Bruno Charoy Barbara Pompili en 6 dates Quentin Laurent
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