Le bloc-note du desordre Jeudi Les éditeurs ne comprenaient pas. A propos d’Au pays du p’tit de Nicolas Fargues La littérature de gare existe vraiment je l’ai rencontrée. De cette façon j’ai découvert récemment Un été de Vincent Almendros qui m’a beaucoup plu pour sa beauté formelle, son jeu très subtil avec quelques stéréotypes à la fois de la vie moderne et de la narration formatée, mais plus encore le Vertige danois de Paul Gauguin par Bertrand Leclair qui m’a bouleversé pour parvenir à nous situer à l’endroit exact de l’absolu doute de tout artiste, bon ou mauvais, mais artiste cela oui, et dans le cas de Gauguin il est effectivement vertigineux de le voir aux prises d’une société danoise hautaine tout entière programmée pour écraser les talents comme le sien et la résistance de celui de Gauguin est admirable, ou encore Requin de Bertrand Belin dont l’incipit est une merveille de poésie et le point de vue de la narration absolument étonnant, cela rivalise avec As I lay dying de Faulkner. Ca part très bien.
Cousu main le livre et l'Internet |2011 | Après le livre| |archives publie.net 2008-2013| |du web comme chemin de fer (ou le contraire)| |écrivain, un métier ?| |l’espace matos| _ millième vidéo, besoin qu’on se parle ! 2400 abonnés, 450 000 visionnages... et la millième vidéo en ligne _ de l’image faussement fixe considérée comme durée l’indissociable neuf du récit et de l’image : le temps, le flux, le geste à repenser d’après Flusser et Talbot, en 20 points _ Gilles Bonnet | au château des blogs parution chez Hermann d’un livre balise, « Pour une poétique numérique » de Gilles Bonnet _ l’Internet comme fosse à bitume contrer le principe d’empilement vertical des billets dans les blogs _ le Print on Demand est mort (et imprimé) l’impression à la demande : petit bilan sur une révolution interne de l’édition _ je te suis, tu me suis (ou pas) : des réseaux des réseaux sociaux et de la création, pour un rapport non soumis aux abonnements des grandes plateformes et des questions induites
La convergence de sciences (3/3) : Une question politique plus q La convergence des nanotechnologies, biotechnologies, technologies de l’information et sciences cognitives (plus connues sous l’acronyme NBIC) est souvent présentée comme le nouvel horizon scientifique, et technologique, de ce XXIe siècle. Le problème, c’est qu’il existe de nombreuses divergences d’interprétation de ce qu’est, ou non, la convergence. Un échange passionnant, à lire en complément de nos précédents articles La convergence des sciences : un choix de société, et La religion de la technologie, qui démontre que l’on est encore très loin d’avoir une vision claire de ce vers quoi les nanosciences et nanotechnologies en particulier, et la convergence NBIC en général, va nous amener. France Culture : La convergence est-elle un simple effet d’annonce, ou une réalité des pratiques de recherche ?
Fabula, la recherche en littérature SILO pêle-mêle - Blog LeMonde.fr 36poses Poésie contemporaine sur Sitaudis.fr, le premier site de poésie comparative [ a m o u r ] l e j o u r n a l d ' a n t o i n e b r e a La Main de Singe