L’urgence écologique - [Carnet de Louis Favreau Chaire de recherche en développement des collectivités (CRDC)]
1. Une planète en péril : la dérive écologique enfonce la société dans la crise La réflexion sociopolitique d’aujourd’hui s’interroge désormais sur la nature globale de la crise dont le déclencheur a été la politique de prêts hypothécaires à haut risque (subprimes) des banques américaines en 2008. Car on ne saurait se satisfaire d’un trop court diagnostic qui considère la crise de 2008 comme étant seulement financière (le crédit débridé) et économique (déstabilisation des entreprises, montée du travail précaire et chute de l’emploi). Il faut pousser plus loin et considérer que la crise est globale sans être totale (puisque certains pays, les émergents notamment, s’en tirent nettement mieux que la majorité) : économique à coup sûr, sociale par la montée des inégalités mais aussi, et à la même hauteur, écologique (alimentaire, énergétique et climatique). Les crises se télescopent : désastre annoncé Des échéances qui peuvent être fatales 2. 2.1. 2.2.
Pétrole, eau, terres... La crise de demain sera environnementale
RIO+20. Au moment où les négociations à Rio +20 patinent et dans un monde déjà tendu, les crises environnementales et l’incapacité des gouvernements à inventer une nouvelle gouvernance du partage des ressources naturelles risquent de déstabiliser de façon majeure le système international. Une vue du ciel au-dessus du Cap Vert, en 2009 (NASA VIDEO/AFP) Nous entrons dans l’ère de la rareté. Alors que se précisent les limites physiques et écologiques du monde, les décideurs réunis à Rio +20 semblent ignorer le potentiel de tension et de conflit qui germe dans les crises écologiques. Ces nouveaux conflits s’inscrivent dans un monde dont le climat change, et qui devra faire face dans les prochaines années à bon nombre d’évènements climatiques extrêmes (sécheresses, inondations, canicule, etc.), dont nous ne mesurons pas aujourd’hui l’ampleur. Ils sont pour l’instant larvés. Arctique : le retour de la course à l’or noir Asie : l’autre front de la guerre de l’eau
Qu'y avait-t-il donc dans le fameux "Rapport du Club de Rome" ?
Documentation > Divers énergie > Divers > Qu'y avait-t-il donc dans le fameux "Rapport du Club de Rome" ? Qu'y a-t-il donc dans le "Rapport du Club de Rome" ? Février 2003 - dernière modification : novembre 2009 site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com L'année 1968 est fréquemment associée, du moins pour nous Français, à un joyeux remue-ménage étudiant et ouvrier, qui est censé avoir marqué d'une pierre blanche un tournant décisif dans notre manière de voir le monde. Mais il est aussi possible d'associer cette année là à la création d'un organisme qui fera beaucoup parler de lui quelques années plus tard, même si sa naissance n'a pas fait tant de bruit : le Club de Rome. Que contient donc ce fameux rapport ? Par contre, à la page 174 de la traduction française, on trouve un tableau indiquant que les réserves connues de pétrole, en 1970, représentent 30 années de consommation (sans intégrer d'augmentation annuelle). Quels résultats donne le modèle ?
Crise écologique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En écologie, une crise écologique se produit lorsque le milieu de vie d'une espèce ou d'une population évolue de façon défavorable à sa survie. Quelques hypothèses sur les origines possibles des crises écologiques[modifier | modifier le code] Une crise écologique peut avoir une ou plusieurs origines.. Il peut s'agir d'un environnement dont la qualité se dégrade par rapport aux besoins de l'espèce, suite à une évolution des facteurs écologiques abiotiques. Enfin, il peut aussi s'agir d'une situation qui devient défavorable à la qualité de vie de l'espèce (ou de la population) suite à une trop forte augmentation du nombre d'individus, ce qui impose une forte pression sur son environnement de vie. Manifestations des crises écologiques[modifier | modifier le code] L'extinction des espèces[modifier | modifier le code] Elles peuvent aussi être d'origine anthropique ou naturelle. Crises locales et crise globale[modifier | modifier le code]
Démêler le vrai du faux dans la flambée des prix agricoles mondiaux
Jacques Berthelot, (jacques.berthelot4@wanadoo.fr), Solidarité (http:/solidarite.asso.fr)15 juillet 2008 Plan I – Classement des causes de la flambée récente des prix agricoles mondiaux II – L’envolée récente des prix des principaux produits agricoles à usage alimentaire III - La baisse de la production et des stocks de grains face à la hausse de la demande IV – La responsabilité des principaux pays dans la flambée des prix agricoles mondiaux A – Excédents & déficits des échanges agricoles et alimentaires dépendent des produits inclus B – Chine et Inde ne sont pas responsables de la flambée récente des prix agricoles mondiaux C – Les Etats-Unis et l’Union européenne portent la responsabilité essentielle 1) Les EU, le bioéthanol de maïs et le biodiesel de soja 2) L’Union européenne, le bioéthanol de céréales et betterave et le biodiesel de colza 3) Les autres responsabilités des EU et de l’UE dans les émeutes actuelles de la faim I – Classement des causes de la flambée récente des prix agricoles
Manicore
manicore.com et jancovici (pas .com), mode d'emploi dernière version : août 2010 source : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com Même si l'être humain sait parfois faire preuve d'une créativité et d'une inventivité surprenantes, une partie des messages électroniques que je reçois (cela a surtout été vrai au début de la mise en ligne de ce site) concerne quelques questions récurrentes sur le fonctionnement de mon site ou de ma liste de diffusion, ou la possibilité de reproduire un texte ailleurs. Il arrive aussi assez souvent que j'ai des réactions "d'incompréhension" parce que je n'ai pas répondu - ou pas encore répondu, plus exactement - à un message que j'ai reçu. Les "réponses aux questions les plus courantes" de cette page sont regroupées en 5 rubriques : Quelques précisions sur ce site Qui se cache derrière manicore.com ? Bien qu'il porte le nom de ma modeste société personnelle (nécessairement modeste puisque j'en suis le seul employé !) La réponse est non.