Histoire des ordinateurs
Précurseurs[modifier | modifier le code] Premiers outils de calcul[modifier | modifier le code] Depuis des milliers d'années, l'homme a créé, fabriqué et utilisé des outils pour l'aider à calculer : Les premiers pourraient être de simples notations de grandeurs tels que les os d'Ishango, dont l'interprétation est néanmoins toujours très controversée. L'un des premiers outils naturels utilisés par la plupart des premières sociétés furent peut être la main (d'où le système décimal ou le système duodécimal), ainsi que d'autres parties du corps, comme auxiliaires de calcul. Calculateurs analogiques[modifier | modifier le code] Lorsque les conditions initiales d'un calculateur analogique sont saisies, il n'est plus modifié que par l'action continue de son stimulateur ; manivelle, pendule/poids, roue d'un véhicule, etc. Un calculateur analogique produit toujours le même résultat pour des conditions initiales identiques. Un odomètre, décrit pour la première fois par le Romain Vitruve vers 25 av.
Boulier
Catégories[modifier | modifier le code] Le boulier est lié au système de numération décimale, mais il existe deux grandes catégories de bouliers. Les bouliers en base 10, pour lesquels chaque boule représente, selon la tige sur laquelle elle se trouve, une unité, une dizaine, une centaine… Ces bouliers se rencontrent essentiellement en Europe. Les décimales peuvent aussi être représentées sur la première tige.Et les bouliers en base alternée (5, 2) pour lesquels chaque tige comprend deux parties : une partie supérieure sur laquelle les boules valent 5 unités (ou 5 dizaines, 5 centaines… selon la position de la tige) et une partie inférieure sur laquelle les boules valent 1 unité (ou 1 dizaine, 1 centaine… selon la position de la tige). Ces bouliers se rencontrent essentiellement en Asie. Fonctions[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] En conséquence la datation des découvertes reste aléatoire. Utilisation contemporaine[modifier | modifier le code]
Pascaline histoire
Les machines à calculer de Blaise Pascal L'histoire de la naissance de la machine à calculer de Blaise Pascal (Pascaline) est relatée sur beaucoup de sites Web et documents écrits. Je n'en rappellerai donc que les grandes lignes dans cette page. Blaise Pascal est né en 1623 à Clermont-Ferrand où il réside peu de temps. Son père, Etienne s'occupait des impôts dans cette ville. Suite au décès de sa femme il part s'installer à Paris en 1626. Aujourd'hui, on recense 9 machines à calculer de Blaise Pascal. 4 exemplaires sont au Conservatoire National des Arts et Métiers à Paris (2 décimales et 2 comptables) 2 machines sont au musée Lecoq de Clermont Ferrand (1 décimale et 1 comptable) 1 se trouve à Dresde (comptable) 1 est dans une collection particulière (c'est la seule machine retrouvée destinée au travail d'arpentage. La capacité de ces machines va de 5 étages (machine comptable du musée Lecoq) jusqu'à 10 étages (machine comptable de Dresde). Le mode d'emploi de la pascaline: Par exemples:
Micro-ordinateur Micral N
utilisation Dans l'histoire de l'informatique, en plein développement depuis la Seconde Guerre mondiale, le Micral N constitue une étape fondamentale puisqu'il est le premier micro-ordinateur au monde. Il a été prototypé en décembre 1972 par le Français François Gernelle au sein du bureau d'étude R2E dirigé par André Truong, en réponse à un appel d'offre de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA). La machine a été baptisée "micro-ordinateur" par son inventeur par analogie avec le terme de "micro-processeur" dont elle est équipée. Le Micral N est commercialisé à partir d'avril 1973 et se vend à plus d'un millier d'exemplaires la première année. description Le Micral N se présente sous forme d'un boîtier métallique muni d'une façade à l'avant équipée de boutons en plastique : avec une interface homme-machine sans écran ni clavier, les entrées sont assurées à l'aide de commutateurs et l'affichage s'effectue sur des voyants disposés sur la face avant. expositions
Apple I
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Apple I de la marque Apple, fut l'un des tout premiers micro-ordinateurs individuels. Historique[modifier | modifier le code] L'utilisation d'un clavier et d'un moniteur distinguait l'Apple I des machines concurrentes, telle que l'Altair 8800, qui étaient généralement programmées avec des interrupteurs et utilisaient des voyants lumineux pour l'affichage. Il existe encore six exemplaires de l'Apple I en état de marche[5], faisant de ceux-ci des objets de collection. Un clone, compatible logiciel de l'Apple I, produit en utilisant des composants de nouvelle génération, a été mis sur le marché en 2003 en quantité limitée pour un prix d'environ 200 dollars. Spécifications techniques[modifier | modifier le code] Processeur : MOS Technology 6502 8 bits cadencé à 1 MHzBus système : 1 MHzMémoire vive : 8 ko, extensible à 64 koROM : 256 octetsAffichage : 40x24 caractères Apple I à l'écran[modifier | modifier le code] ↑ Walter Isaacson (trad.
MacBook
Le MacBook est un ordinateur portable Macintosh développé et produit par la société Apple. Le MacBook succédait à l'iBook et au PowerBook de 12 pouces dans le cadre de la transition d'Apple vers des processeurs Intel. Faisant partie de la famille des MacBook, il était destiné au « grand public » ainsi qu'au monde de l'éducation. Le MacBook a été retiré de la vente le 20 juillet 2011, jour de renouvellement du MacBook Air, du Mac mini et de sortie de Mac OS X Lion. Il était, jusqu'à sa dernière commercialisation, le Macintosh le plus vendu au monde[2]. Le MacBook a connu quatre designs différents. Au printemps 2015, le MacBook a été réintroduit lors de la keynote "Spring Forward" du 9 mars 2015 avec un tout nouveau design (plus fin et plus léger), de nouvelles couleurs (or, gris sidéral et argent) et un écran Retina de 12 pouces[4]. Technologies et fonctionnalités[modifier | modifier le code] Les nouveautés apportées[modifier | modifier le code] Écran[modifier | modifier le code]