L'interaction entre le risque et le temps Christian GollierProfesseur à l'université de Toulouse La théorie de la finance développée récemment permet d'offrir des recommandations de gestion dynamique des risques en accord avec les objectifs du preneur de risque et les représentations de son environnement. Son application la plus évidente concerne la gestion de portefeuille. Faut-il réduire la détention d'actions quand l'horizon temporel de l'investisseur se réduit ? Comment adapter le portefeuille aux signaux qui permettent de mieux prévoir les rendements des actions ? Octobre. Mark Twain, Pudd'nhead Wilson Le temps est consubstantiel au risque. Âge et gestion de portefeuille Commençons par une question : comment prendre en compte l'horizon temporel du décideur dans les choix stratégiques de portefeuille ? À ma connaissance, Paul Samuelson, en 1963, fut le premier économiste à s'intéresser à cette question. Un autre argument repose sur la loi des grands nombres. Diversification temporelle et réserves de stabilisation Note 1.
Protection des données de l’entreprise : conseils pour le salarié en mission Les entreprises sont la cible de nombreuses attaques. Par ailleurs, la négligence (et parfois la malveillance) de leurs salariés les exposent à des pertes de données et d’informations sensibles. Pour remédier en partie au problème. Plusieurs acteurs, dont l’agence de cyber-défense du gouvernement, propose un passeport de conseils à recommander aux employés dont les missions les amènent à voyager. L’Agence nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI), l’agence de cyber-défense du gouvernement, et le Club des Directeurs de Sécurité des Entreprises ont présenté hier un passeport de conseils aux voyageurs destinés aux salariés des entreprises françaises pour qu’ils puissent partir en mission à l’étranger en minimisant les risques concernant les données contenus dans leurs ordinateurs portables, téléphones, et assistant personnel (PDA). Au format d’un passeport, le document comporte 12 pages.
Gestion du risque Qu’est-ce que le risque? Le risque est inhérent à tous les projets. Dans le jargon de la gestion de projet, le « risque » désigne une condition ou un événement incertain ayant une cause et, lorsqu’il se produit, a un effet positif ou négatif sur les objectifs du projet ainsi qu’une incidence sur les coûts, l’échéancier ou la qualité du projet. Par exemple, la cause d’un risque peut être la nécessité d’avoir une salle de classe disposant d'ordinateurs en réseau à l’intention des apprenants participant à votre projet de perfectionnement des compétences. L’incidence est le retard du branchement Internet et la non-disponibilité de la classe à la date prévue de lancement du projet. Cela a des répercussions sur votre objectif qui est d'offrir une formation en informatiques à des adultes sous-employés, la conséquence étant que vous devez louer d’autres installations ou retarder les activités dans le cadre du projet. Identification des risques Élaboration de stratégies de réaction face aux risques
Sauvegarder les données de l'entreprise | CommentCaMarche Les solutions de sauvegardes de données pour les PME La perte de données stockées sur un ordinateur professionnel peut avoir des conséquences dramatiques pour l'entreprise. Vols, sinistres, défaillance informatique, piratage : l'origine des pertes est multiple. C'est pourquoi les solutions de sauvegardes de données sont indispensables. Voici une introduction aux outils adaptés à vos besoins et quelques critères pour choisir. Pourquoi sauvegarder les données de l'entreprise? La sauvegarde des données préserve l'activité de l'entreprise, notamment en cas de défaillance du système informatique. L'entreprise peut faire face à plusieurs types de risques qui mettent en danger ses données : Quels sont les enjeux d'une sauvegarde des données pour l'entreprise ? Sauvegarder son image de marque auprès de ses clients ou de ses partenaires, Assurer une productivité constante et son chiffre d'affaires, Eviter la perte d'informations sensibles : un fichier clients en cas de piratage par exemple.
Les bibliothèques vont-elles survivre? La fréquentation des bibliothèques est en baisse. L'utilisateur lui préfère le confort de son chez lui et les informations glanées sur Internet. Face à ces changements, les biblios ont commencé à muter. Une hybridation à mi-chemin entre numérique et papier. A l’heure où l’information se consomme et se périme aussi vite que des asperges primeur, on pourrait presque se demander à quoi bon encore aller dans une bibliothèque quand tout est accessible depuis notre connexion internet personnelle. Paradoxe : alors que la demande d’information n’a jamais été aussi forte qu’aujourd’hui, les quelques 3.000 bibliothèques publiques (municipales, universitaires et départementales de prêt) de l’Hexagone ne cessent d’accuser une constante diminution de leur fréquentation depuis près de 30 ans. La très officielle enquête des pratiques culturelles des Français de 2008 montre ainsi que nous lisons moins d’imprimés et préférons davantage le web et le multimédia. Librarian, r u has been (lol) ?
Pour les données aussi, les derniers mètres sont les plus difficiles Les flux d’informations dans les interactions entre les entreprises sont un gisement insuffisamment exploité à cause d’a priori de coût, de complexité ou de maturité. Pourtant, leur dématérialisation ouvre de réelles perspectives, à condition de penser autrement qu’en termes de fichiers transmis par e-mail ou d’extranets. Le rôle des flux d’information dans la structure de coût et la vitesse d’exécution est évident. Qui oserait transmettre des informations urgentes avec un pigeon voyageur. PDF, extranet ou EDI ? Oui, le mail est rapide : il va instantanément d’un bout du monde à l’autre. Comment faire alors ? Autre possibilité, mettre en œuvre des portails et extranets où les partenaires viendront saisir leurs informations. Sans compter que l’intégration, les portails ou les solutions tierces ne peuvent être déployés que lorsque le rapport de force le permet. Le "PDF to XML" existe Science-fiction ?
Qu'est ce que la Valeur ? Qu'est-ce que la Valeur ? Qu'est-ce qui n'a pas de prix ? avec Patrick Viveret L'intelligence collective, un véritable avenir pour l'édition Matthieu Nebra, entrepreneur du site du Zéro et cofondateur de Simple IT, propose des tutoriels et des cours destinés aux étudiants en informatique, gratuitement sur son site. Occasionnellement, ces contenus, qui entre temps ont été évalués, revus, corrigés grâce aux commentaires des lecteurs, peuvent être édités par Simple IT. Une façon comme une autre de proposer un ouvrage à jour, précis et bien construit, dans le contexte bien précis de l'édition scientifique. Matthieu Nebra n'y va pas par quatre chemins. « L'auteur est mort », déclare-t-il en guise d'introduction. Mort, ou a-t-il simplement changé de route ? Matthieu Nebra, fondateur du Site du Zéro et cofondateur de Simple IT L'auteur n'est plus le même à l'ère du web Son métier a en effet beaucoup évolué. L'exemple du Site du Zéro D'où provient l'enrichissement du contenu publié ? Sur ce site, l'internaute est invité à participer à la vie du site. Ils peuvent voter sur les cours ou tutoriels qui leur plaisent le plus. Pour approfondir
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