Culture d’entreprise, communication interne et stratégies de changement 1De nouvelles perspectives scientifiques se sont développées ces trente dernières années en matière d’étude de la communication. Une de ces perspectives constitue actuellement une référence incontournable : la pragmatique de la communication que l’on appelle souvent aussi « approche systémique de la communication ». 2Il nous a semblé intéressant de proposer une lecture de la problématique de la communication interne des entreprises à partir de ce point de vue. 3Dans un premier temps, sans doute trop sommairement, nous allons situer le paradigme systémique dans ses grandes lignes. Nous en ferons une application à l’organisation, ce qui nous permettra de définir l’organisation en termes de communication. En troisième lieu, nous discuterons la notion de « culture d’entreprise » pour aboutir, dans un quatrième point, à nous poser la question du changement organisationnel au travers de l’action du management sur la culture et la communication interne. 17On connaît la formule de H.
Stratégie d'entreprise Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La stratégie d'entreprise[1] désigne l'ensemble des choix d'allocation de ressources qui définissent le périmètre d'activité d'une organisation en vue d'assurer sa rentabilité, son développement et/ou sa pérennité. Elle correspond aux axes de développement choisis pour l'entreprise et se concrétise à travers un système d'objectifs et un modèle économique (ou une chaine de valeur). Qu'est-ce que la stratégie d'entreprise ? Plusieurs définitions de la stratégie d'entreprise existent dans la littérature : Il ressort de ces définitions que la stratégie d'entreprise consiste fondamentalement à répondre à trois questions[9],[10] : Quel modèle de création de valeur (V) utiliser afin d'assurer des profits durables à l'entreprise (quel est son modèle économique) ? Ces trois dimensions, Valeur-Imitation-Périmètre (ou modèle VIP), résument l'essentiel des questions stratégiques. Au Ve siècle av. . Les choix stratégiques[modifier | modifier le code]
Top 10 Civilizations That Mysteriously Disappeared | Top 10 Lists | TopTenz.net - StumbleUpon Throughout our history, most civilizations have either met a slow demise or were wiped out by natural disasters or invasion. But there are a few societies whose disappearance has scholars truly stumped: 10. The Olmec One of the first Mesoamerican societies, the Olmec inhabited the tropical lowlands of south-central Mexico. Where did they go? Around 400 BC the eastern half of the Olmec’s lands was depopulated- possibly due to environmental changes. 9. The Nabateans were a Semitic culture that inhabited parts of Jordan, Canaan and Arabia from around the sixth century BC. During the fourth century AD, the Nabateans abandoned Petra and no one really knows why. 8. The Aksumite Empire began in the first century AD in what is now Ethiopia and is believed to be the home of the Queen of Sheba. According to local legend, a Jewish Queen named Yodit defeated the Aksumite Empire and burned its churches and literature. 7.The Mycenaeans 6. 5.The Cucuteni-Trypillian Culture 4. 3.The Minoans 2.The Anasazi 1.
Management et communication interne : les six dimensions qu’il faut considerer 1Définir la communication interne est à la fois une chose facile et une chose difficile. C’est une chose facile si l’on prend une position d’observateur et que l’on recherche une définition neutre. On dira alors que : la communication interne, c’est l’ensemble des principes et pratiques qui permettent les échanges de messages, d’idées et de valeurs entre les membres d’une même organisation. 2C’est une chose difficile lorsque l’on veut en quelques mots exprimer que la communication interne c’est une dimension à part entière du management d’une organisation et qu’elle est indissociable de l’évolution des conceptions en la matière. 3La prise de conscience récente que la communication interne n’est plus un état naturel et spontané mais un levier de management qui influence les performances de l’organisation, conduit très logiquement à intégrer la communication interne dans le management de l’organisation. La communication interne, une réponse fonctionnelle à l’évolution du management
Management du système d'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le management du système d'information (aussi appelé dans un sens plus restreint : informatique de gestion et parfois management de la performance) est une discipline du management regroupant l'ensemble des connaissances, des techniques et des outils assurant la gestion de données et leur sécurité, et plus généralement l'organisation et la protection du système d'information. Le système d'information doit être organisé, finalisé, construit, animé et contrôlé, ce qui constitue un moyen d'optimisation de la performance de l'entreprise. C’est une science en perpétuelle évolution en raison des nouveaux métiers émergents dans les systèmes d’information. Enjeux et évolution du management de l'information[modifier | modifier le code] Enjeux du management de l'information[modifier | modifier le code] La sécurité des systèmes d’information est un enjeu majeur du management des SI. L’information est un principe fondamental de la stratégie.
12 Brawny Business Intelligence Products For SMBs -- InformationWeek Business intelligence isn't just for the big boys anymore. Check out our short list of star SMB options, from easy-to-deploy SaaS choices to affordable versions of the biggest BI suites. 1 of 14 12 Brawny Business Intelligence Options For SMBsBusiness intelligence started out as a technology geared to large organizations with big budgets and plenty of IT support. The good news for small and midsize businesses is that BI has gone mainstream and that trend has led to plenty of low-cost, easy-to-deploy, and easy-to-manage BI options. There are desktop-analysis tools that enable power users to distribute reports, dashboards, and data visualizations across your organization. Working smarter--not harder--is what business intelligence is all about. Midmarket CIOs Rate Analytics As Top To-Do Item 5 Factors In Agile BI Cost, IT Support Top BI Obstacles For SMBs What's Next In Analytics Can Open Source Solve Big Data For SMBs? The Ultimate Shortcut To Fast Analysis More Insights
Décloisonner l'entreprise - Collaborer: Les Outils Collaboratifs, TCAO et conduite du changement. Le décloissonnement de l'entreprise est devenu un enjeu fondamental pour sa survie. Le mettre en oeuvre se heurte violemment à notre culture et à la gestion du pouvoir. Le management et les comportements doivent opérer des mutations profondes. Le socle de cette mutation est la confiance entre les acteurs et le partage d'un objectif commun et accepté. Les outils qui permettent ce changement profond sont: * La mise en en place un langage commun et le partage d'un référentiel * L’amélioration continue * La mobilisation des acteurs et favoriser les initiatives. * De passer d'une logique de métier à une logique de flux et de processus, c'est le rôle du Système de Management de la Qualité (SMQ) Le décloissement, par nature est tranversal. Décloisonner c'est répondre à des impératifs stratégiques: * L'innovation et la création de valeur * Raccourcir les délais, améliorer la flexibilité et être plus réactif sur son marché * Mieux satisfaire les clients en lui proposant une organisation à son service.
Gestion des ressources humaines Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gestion des ressources humaines, ou GRH, anciennement dénommée gestion du personnel, recouvre l'ensemble des pratiques mises en œuvre pour administrer, mobiliser et développer les ressources humaines impliquées dans l'activité d'une organisation. Ces ressources humaines sont l'ensemble des collaborateurs de tous statuts (ouvriers, employés, cadres) appartenant à l'organisation mais aussi -et de plus en plus liés- à elle par des rapports de sujétion (ainsi les collaborateurs des sous-traitants sont considérés comme faisant partie de fait du périmètre des ressources humaines de l'entreprise)[1]. Enjeux[modifier | modifier le code] La motivation positive et la motivation négative ont chacune leur efficacité. La sanction peut être démotivante pour l'intéressé. Ce point est essentiel, car il caractérise une part des obligations contractuelles (statutaires pour un fonctionnaire) d'une entreprise (d'un service public) envers son salarié.
Culture Eats Strategy For Lunch Get on a Southwest flight to anywhere, buy shoes from Zappos.com, pants from Nordstrom, groceries from Whole Foods, anything from Costco, a Starbucks espresso, or a Double-Double from In N' Out, and you'll get a taste of these brands’ vibrant cultures. Culture is a balanced blend of human psychology, attitudes, actions, and beliefs that combined create either pleasure or pain, serious momentum or miserable stagnation. A strong culture flourishes with a clear set of values and norms that actively guide the way a company operates. Employees are actively and passionately engaged in the business, operating from a sense of confidence and empowerment rather than navigating their days through miserably extensive procedures and mind-numbing bureaucracy. Performance-oriented cultures possess statistically better financial growth, with high employee involvement, strong internal communication, and an acceptance of a healthy level of risk-taking in order to achieve new levels of innovation.
Théorie des Contraintes Cette découverte l'a amené à associer à ce processus d'optimisation un système de mesure de la performance qui fait litière des systèmes traditionnels du monde de la comptabilité par les coûts (Cost Accounting) au profit d'une comptabilité originale, la comptabilité du Throughput (Throughput Accounting). Goldratt a justifié ce concept en remarquant avec d'autres que l'optimum global d'un système n'était jamais la somme des optimums locaux. Autrement dit, il ne sert à rien d'améliorer ou d'optimiser la performance d'une ressource qui n'est pas la contrainte, sauf si cette amélioration contribue à protéger la contrainte. C'est même, le plus souvent, un gaspillage contre-productif. Outre le But, quelques livres ont été traduits en français (principalement ceux de Goldratt).
Sciences de gestion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sciences de gestion, qui ne doivent pas être confondues avec le management et la gestion (qui sont des pratiques, et non des sciences), "constituent un corps autonome de connaissances qui a pour objet d’éclairer l’action conduite de façon collective par des groupes humains organisés : entreprises, associations, administrations, etc." (préambule du classement des revues scientifiques en sciences de gestion de juin 2013, édité par la FNEGE). Les sciences de gestion regroupent plusieurs disciplines : finances, ressources humaines, marketing, comptabilité-contrôle, systèmes d’information, logistique, entrepreneuriat, théorie des organisations, stratégie, etc.
Armes de réussites massives - Blogs Intelligence économique Comment voulez-vous comprendre sans savoir ? Les débats qui nous entourent dans cette année électorale foisonnent d’hypothèses ou d’affirmations, de questions et de préoccupations auxquelles répondent des propositions et des solutions sans que l’on sache si ceux qui parlent savent de quoi ils parlent. Cela ne veut pas dire qu’ils sont ignorants, mais qu’à défaut de « simplexité », la complexité des sujets à traiter ne s’accommodent pas de jugements péremptoires. Il existe aujourd’hui de ces questions largement mises sur la place publique qui pourraient être cités comme cas d’école. Quel jugement peut-on s’aventurer à faire à partir de données disparates et isolées alors que cela nécessite à l’évidence un examen global des forces et faiblesses comparées ? Cela dit cette performance devrait pouvoir être atteinte sans copier le modèle industriel allemand dans sa totalité.
Mobiliser les talents exige de nouveaux modèles de management Et si après un siècle de standardisation du travail, de taylorisme, de productivité, de méthodes lean 6 sigma, de mise en chiffres, en équation, en indicateurs de la performance humaine - comme si in fine on supposait que manager est une science, avec ses équations, ses variables, ses paramètres, avec l’homme comme variable, figé, réduit, incarcéré dans univers de plus en plus « efficient » -, et si après cette longue parenthèse l’entreprise redécouvrait l’homme dans ce qu’il a de plus singulier : son talent et son génie créateur ? Stress, drames, perte de motivation, d’engagement, effet boomerang de la « mise en processus », on assiste à la redécouverte de la performance créatrice, logée dans l’aptitude émotionnelle de chaque collaborateur. Un passage accéléré de l’homme désincarné résumé à des fonctions techniques (ses bras, son énergie, ses compétences) à l’homme au cœur de l’entreprise. C’est pourquoi il est urgent de remettre l’homme au cœur du sens de l’entreprise.