Comment mieux manger en dépensant moins -Les ventes directes court-circuitent les intermédiaires A la ferme, dans des boutiques de producteurs, sur Internet… Les solutions pour acheter des produits locaux et de qualité se multiplient. Souvent plus savoureux que les aliments de supermarché, mais pas forcément plus chers. Les primeurs, la viande ou le fromage, tout vient du coin. C’est abordable et meilleur qu’à l’hypermarché !» Danièle, une retraitée de Grenade, en grande banlieue de Toulouse, ne tarit pas d’éloges sur son magasin favori, Soyons fermes, où elle fait toutes ses courses d’alimentation depuis l’ouverture il y a deux ans. Bien que située en zone commerciale, la supérette est d’un genre nouveau : une boutique de producteurs gérée et approvisionnée par un groupement d’agriculteurs de la région. Comme le raconte Danièle, il est donc possible, sans se ruiner, de manger bien mieux qu’en faisant ses courses à l’hyper, en passant par ce que les professionnels appellent les «circuits courts». Pour partie, cette tendance recouvre des pratiques séculaires.
Bientôt, tous obligés d'être végétariens? ALIMENTATION Selon des experts des ressources en eau, l'humanité va devoir considérablement changer son mode d'alimentation... Audrey Chauvet Créé le Mis à jour le Mots-clés alimentation On ne s’en rend pas compte, mais manger un steak revient à boire beaucoup d’eau. Ce n’est pas que les vaches soient de grandes assoiffées, mais les milliers de litres qui ont servi à produire la nourriture pour le bétail impactent considérablement «l’empreinte eau» de nos assiettes de carnivores. De 20% à 5% de viande dans l’assiette De 20% de nos assiettes, la part d’aliments carnés devrait être portée à 5% seulement si l’on veut que les deux milliards d’humains supplémentaires en 2050 aient aussi accès à la viande. Une nouvelle recette pour nourrir le monde Il va donc falloir faire un choix: manger de la viande ou produire de l’électricité grâce à la force hydraulique, et des compromis en partageant équitablement les ressources avec les pays en forte croissance démographique.
décembre Découvrir toutes les recettes bio Les fruits et légumes de saison et locaux : décembre Les fruits de décembre Les légumes de décembre Retour au calendrier des fruits et des légumes de saison Cuisine-Saine.fr,le blog cuisine bio est une marque déposée Tous droits réservés Copyright © 2014 Design Shemu Développement Freelance web Film « Vers une restauration collective bonne, propre et juste » Le film « Vers une restauration collective bonne, propre et juste – produits frais et bonnes pratiques » présente le portrait de deux chefs de cuisine de restauration scolaire dont les pratiques sont remarquables à bien des égards, André Parra et Dominique Valadier. Parmi les bonnes pratiques mises en œuvre par ces deux cuisiniers on retrouve l’utilisation de produits frais, bruts, de saison, en provenance de producteurs locaux et en partie issus de l’agriculture biologique. Ils brisent ainsi certaines idées préconçues sur la restauration collective et donnent de nombreuses pistes permettant de tendre vers une cuisine gastronomique en collectivité. L’éducation au goût est aussi une dimension abordée dans ce document (présentation des plats, gestion des déchets, sensibilisation des professeurs et des élèves, etc.). André Parra travaille au lycée Paul Héraut de Gap dans les Hautes-Alpes. TÉLÉCHARGER ICI LE COUPON DE COMMANDE à renvoyer à l’adresse: Slow Food 153, avenue de Grammont vvv
L'agriculture est plombée par le prix du pétrole, voici des solutions « Une agriculture qui dépend du pétrole est une agriculture qui va dans le mur », prédisait il y a deux ans Olivier De Schutter, rapporteur spécial des Nations Unies sur le droit à l’alimentation. Un rapport publié ce jeudi lui donne entièrement raison. L’Ademe (Agence de l’environnement et de la maitrise de l’énergie) y tire le signal d’alarme en montrant que l’agriculture française consomme toujours plus d’énergie, que ce soit sous la forme d’électricité ou de fuel, ou encore sous la forme d’engrais et de nourriture importés. Et – puisque le prix de l’énergie ne cesse lui aussi de grimper – les budgets des agriculteurs s’en ressentent. « Le montant total des charges liées à l’énergie a augmenté de 130% entre 1990 et 2009 » s’inquiète l’Agence, ce graphique à l’appui : Pire, la hausse à venir du prix de l’énergie devrait aggraver toujours plus la dépendance des agriculteurs. N’en jetez plus ! 1) La prairie plutôt que le maïs 2) Le trèfle plutôt que le soja 3) La fin de l’engrais
R.I.B. Coordonnées bancaires S'inscrire à la lettre d'information de François Couplan En notant votre adresse e-mail dans le cadre ci-dessous, vous recevrez régulièrement, gratuitement et sans engagement, des informations sur les plantes et leurs usages, avec des recettes, ainsi que les dernières nouveautés concernant nos projets, nos stages et les nouveaux livres de François Couplan. À très bientôt ! Cliquez ici pour télécharger notre première lettre d'information. Si elle vous plaît, inscrivez-vous gratuitement en entrant ci-dessus votre adresse e-mail. Au secours, la terre disparaît ! - Agriculture Photo : source « C’est un problème plus grave encore que le réchauffement climatique », prévient Daniel Nahon, professeur de géosciences à l’université Paul-Cézanne d’Aix-en-Provence. La qualité des sols agricoles se dégrade. Aux États-Unis, de nombreuses études analysent le problème. La terre, une ressource non renouvelable Or pour nourrir la population mondiale grandissante, il faudra doubler la production agricole dans les prochaines décennies. Les sols se renouvellent grâce à l’altération de roches dures par la pluie, ce qui crée des minéraux meubles – l’argile – qui permettent aux végétaux de pousser. Malgré d’importants défrichements en Amazonie ou en Indonésie (environ 12 à 13 millions d’hectares/an, ce qui pose aussi le problème de la déforestation), la superficie des terres arables n’a pas augmenté depuis les années 1970. Où sont passés les vers de terre ? En France, rares sont ceux qui tirent la sonnette d’alarme. Comment en est-on arrivé là ? Photo : source Agnès Rousseaux
Le topinambour Topinambours sautés : une fois qu'ils sont cuits et épluchés, coupez les topinambours en gros cubes et faites-les sauter avec du beurre ou de l'huile d'olive dans une poêle. Salez et poivrez-les. Saupoudrez-les de ciboulette ou de cerfeuil frais ciselé. Purée de topinambours : une fois qu'ils sont cuits et épluchés, passez les topinambours au moulin à légumes, ajoutez un peu de beurre, salez et poivrez, mélangez. Soupe de topinambours : lavez 1 kilo de topinambours en les frottant soigneusement (sans les éplucher). Au bout de ce temps, mixez le tout jusqu'à l'obtention d'une texture veloutée. Les amis du topinambour : l'ail, la ciboulette, le cerfeuil, le poireau, les volailles, l'amande. Les vertus du topinambour : moyennement calorique (44 kcal/100g), le topinambour est très riche en fibres, pauvre en protéines et en graisses. Conserver le topinambour : le topinambour se conserve une journée à l'air libre, et plusieurs semaine voire jusqu'à 6 mois au réfrigérateur (sans être lavé).
Les abeilles et les fleurs communiquent grâce au courant électrique Les fleurs émettent un faible champ électrique qui signale aux insectes pollinisateurs la présence de nectar dans leur corolle. C'est ce que dévoile une nouvelle étude publiée dans la revue Science Express et menée par les scientifiques de l'École de sciences biologiques de l'Université de Bristol. "Quand un bourdon s'approche d'une fleur, on voit les grains de pollen sauter sur lui avant qu'il se pose. C'est étonnant", rapporte Daniel Robert, de l'université de Bristol. Le bourdon est chargé positivement alors que la fleur émet un faible champ électrique chargé négativement. Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques de l'École de sciences biologiques de l'Université de Bristol ont observé plus de 200 abeilles pendant la collecte de pollen de pétunias.
Étiquetez-les vous-mêmes: nouvelle campagne contre les OGM USA / / Amérique du nord Si les militants ont perdu la bataille pour l’étiquetage obligatoire des OGM en Californie cette année, ils n’abandonnent pas leur combat. Malgré l’échec de la campagne Yes on Prop 37 (« Oui à la Proposition 37 »), elle a permis de donner naissance à un nouveau mouvement de « campagne décentralisé et autonome » qui encourage les citoyens à assurer l’étiquetage des OGM, eux-mêmes, dans leurs supermarchés locaux. © Label It Yourself Une défaite mais pas la fin du combat La Californie aurait pu devenir le premier état américain à autoriser l’étiquetage des OGM. Devant ce faible écart, les militants américains n’ont pas dit leur dernier mot. Il faut savoir qu’environ 90 % du maïs et du soja américains comportent des gènes modifiés – souvent pour leur permettre de tolérer l’herbicide Roundup de Monsanto. Comment étiqueter les aliments ? Pouvez-vous avoir des ennuis en collant ces étiquettes sur des produits dans votre épicerie ?
Quels bois pour le potager en carrés L’offre concernant les carrés de potager est plutôt comparé à ce que l’on peut trouver sur les sites anglophones. Pour le moment dans les jardineries en ligne, on trouve que des carrés . Les prix sont très variables en fonction de l’essence et de la dimension. Dans le cadre de l’auto construction on me demande régulièrement quel bois j’utilise pour faire mes carrés. Podcast: Lire dans une autre fenêtre | Télécharger Choisir le bois pour ses carrés de potager. Avant de choisir l’essence il faut répondre à la question du . Ma position rapport au traitement du bois. Il faut savoir que de traitement de bois utilise des mélanges de Il sera très difficile de connaitre la composition du produit imprégnée dans la planche que vous allez acheter. Pour obtenir un bois de type on va imprégner sous une pression de de bois. Le est une solution aqueuse de . De plus, je trouve aussi que ce traitement qui nous inquiète n’est rien à côté de la que l’on absorbe par le biais des . Google+
Pourquoi devenir végétarien ? Raison 1 : l’environnement « Végébon Cet article est le premier d’une série sur les raisons pour lesquelles on peut vouloir être végétarien. Je commence par la raison écologique, non pas parce que c’est la plus importante (à chacun de voir) mais parce que ça a été un sujet d’actualité pendant tout le début de l’hiver, avec le sommet de l’ONU pour le climat, tenu en décembre à Copenhague. A cette occasion, certains d’entre vous ont peut-être aperçu cette bannière sur des blogs, pour alerter sur l’importance de la consommation de viande (poisson inclus) sur le changement climatique. J’ai voulu éviter la simple traduction de vieux chiffres portant sur l’élevage aux USA, et je vous présente ici ce que j’ai pu trouver de plus récent et adapté à la France, en cherchant sur des sites internationaux comme celui de la FAO (branche de l’ONU qui promeut l’agriculture), des sites français gouvernementaux, des sites de professionnels de l’élevage en France et des articles publiés dans des revues scientifiques (notamment cet article). a
Agriculture urbaine : l'avenir est sur les toits