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Outils Collaboratifs Pourquoi Comment

Outils Collaboratifs Pourquoi Comment

Les 4 règles de base du Community Management Fidéliser les internautes, recruter de nouveaux prospects, augmenter l’engagement avec la marque… Le web 2.0 est le nouvel eldorado marketing. Mais avant de se précipiter sur les outils, il y a quelques étapes préalables… 1- Définir une stratégie La tentation est grande de se ruer sur les fonctions sociales de WordPress, Drupal ou Joomla. C’est assez simple à mettre en place et bien meilleur marché qu’autrefois. Quel est l’objectif prioritaire de cette communauté ? - S’agit-il de créer de la notoriété pour lancer un produit, une marque ? Méfiez-vous de la réponse d’évitement : “les trois mon capitaine”. De cette réponse dépendra la mise en place de dispositifs différents, de moyens plus ou moins concentrés dans le temps, d’une politique éditoriale et communautaire spécifique. Un site de e-commerce ayant choisi de développer une stratégie de marque sur le long terme n’aura pas la même approche communautaire qu’un site préférant une action promotionnelle sur un laps de temps réduit.

Collaboration / Coopération Un article de Wiki Paris Descartes. Des clés pour comprendre l'Université numérique « Plus qu’un travail de groupe, des stratégies pédagogiques variées sont développées pour apprendre ensemble. « La collaboration et le partage de connaissances facilitent l’ apprentissage , lequel est essentiellement considéré comme un processus social qui accorde une place prépondérante aux interactions sociales (e.g., Doise & Mugny, 1981 ; Vygotsky, 1985 ; Webb & Palincsar, 1996). Avec le Web 2.0 sont apparues les interfaces qui permettent aux internautes d'interagir à la fois avec le contenu des pages mais aussi entre eux : le web est devenu interactif, communautaire et collaboratif. Collaboration « Travailler ensemble » : élaboration en commun d’une solution négociée et consensuelle. « Dans le cas d’un travail collaboratif, il n’y a pas de répartition a priori des rôles : les individus se subsument progressivement en un groupe qui devient une entité à part entière. Voir : des outils collaboratifs .

Vous avez dit outils coopératifs et collaboratifs ? Quelle est l’origine d’Outils Réseaux ? Il y a 10 ans que le projet Outils Réseaux a démarré. Il est né du besoin de certaines structures d’éducation à l’environnement d’améliorer leur travail en commun. Ca a aussi coïncidé avec ma rencontre avec David Delon. Donc au départ, il y a quelques structures qui ont commencé à échanger autour de ces problèmes : les écologistes de Lozières, Téla Botanica, École et nature (réseaux de structures d’éducation à l’environnement), l’APIEU (éducation à l’environnement urbain). Puis, nous avons commencé à avoir des demandes d’autres structures pour partager nos « échanges de tuyaux ». Au début, le projet a été hébergé par Téla Botanica. Quel bilan tirez-vous de ces 10 ans ? En 10 ans, il y a eu une grande évolution au niveau des outils. En 10 ans, nous avons aussi accompagné plus de 200 collectifs, groupes de personnes qui voulaient plus coopérer/collaborer. Quel est votre positionnement par rapport à l’ESS ? Nous sommes un acteur de l’ESS à 300%.

Pédagogie et TBI Quand utiliser le TBI ? Pour bien comprendre l'apport du TBI, voici un parallèle avec les manuels scolaires. Dans de nombreux manuels, la page dédiée à une leçon se présente de la façon suivante : Une partie de découverte de la notion à aborder (Les situations sont souvent incompréhensibles pour les élèves n’ayant pas déjà des notions du sujet abordé…). Prenons en compte ces trois temps pour comprendre le principal apport d’un TBI : La première phase est à mon avis celle ou le TBI est le plus intéressant. La seconde phase, celle de mise en place de la trace écrite, règle ou autre peut se faire avec un simple vidéoprojecteur sans TBI (même si l’apport du TBI peut encore être intéressant à ce stade). La troisième phase, celle d’entrainement est à mon sens plus du ressort de l’utilisation individuelle ou en petit groupe de l’informatique. Bernard-Yves Cochain Les avantages les plus souvent avancés justifient-ils l'acquisition d'un TBI ? Rester devant son auditoire La mémoire du cours

Les tableaux blancs interactifs: fonctionnalit?s et p?dagogie | La Vitrine Technologie-?ducation Par Mélissa Bricault, conseillère pédagogique en intégration des TIC, Commission scolaire de la Seigneurie-de-Mille-Îles, et animatrice Récit et Marc-Antoine Parent, secrétariat technologique du GTN-Québec Dossier de La Vitrine Technologie-Éducation Mise en situation Guillaume Pelletier, enseignant de mathématiques, de sciences et de technologie au secondaire, intègre le tableau blanc interactif (TBI) SmartBoard dans ses cours. Source: Guide Sankoré De plus, il lui offre la possibilité de manipuler directement les objets étudiés, parfois abstraits, de noter les observations du groupe, de compiler le tout dans un tableur accessible par les étudiants et dans lequel tous peuvent collaborer. Source: Guide Sankoré Guillaume exploite une panoplie de ressources en ligne et de logiciels dans ses cours: encyclopédies en ligne, logiciels Phet et Phun, des logiciels de simulation d’expériences de physique. Source: Source: Démonstration sur Youtube Études sur le terrain M.

Du stage à l'écosystème d'apprentissage La formation professionnelle a institué le stage comme moyen d'enseigner et d'apprendre. Cette forme tourne autour de la relation maître-éléve-savoir. Il permet de comprendre le monde. Par écosystème d'apprentissage je comprends l'enrichissement du milieu d'apprentissage classique sous format "stage" par de nouvelles interactions avec l'environnement. Niveau 1 : le stage intégre des témoignages, des études de cas réels, des apports décalés, des jeux de rôle mélangeant contenu et mise en action du contenu (intégration d'une approche de développement personnel). Niveau 2 : le stage est organisé en combinaison avec d'autres moyens pédagogiques : des échanges de pratiques, des réseaux professionnels, des clubs, du coaching, des journées d'actualité ou atelier-experts, des mises à disposition de ressources d'auto-apprentissage, des modalités de formation action (intra ou vrai projet d'entreprise).

La formation professionnelle des éducateurs sportifs : au croisement des compétences et de la complexité 1Le développement de nouveaux dispositifs d’apprentissage hors de la sphère scolaire oblige à prendre en compte la complexité de situations plutôt rétives à toute délimitation institutionnelle et pratique. C’est cette complexité et ses effets de désordre et d’incertitude qu’il convient de placer au cœur de la réflexion didactique et pédagogique. La description et l’analyse de la manière dont les dispositifs didactique et pédagogique tentent de circonscrire et d’organiser la situation d’apprentissage dans une formation d’éducateur sportif montrent à quel point cette réalité n’est guère prise en considération. La mise au jour et l’analyse du fonctionnement du triptyque – dispositif didactique / dispositif pédagogique / situation d’apprentissage – dans le cadre de ces dispositifs de formation particuliers, illustrent le réductionnisme et la relative inefficacité de cet arrangement. 4La compétence est située ici à un niveau général, celui de la réalisation dans l’activité. Tableau 1.

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